Je souhaiterais que nous nous souvenions que la simplicité à l’égard de Christ est souvent le remède pour les cœurs fatigués, chargés, et découragés.
« Alors paraîtra l'impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu'il anéantira par l'éclat de son avènement (2 Thessaloniciens 2 v. 8) ».
Si nous cherchons à connaître la manière de Dieu de travailler en nous en profondeur, nous avons ici un bon exemple.
Mes yeux sont tombés dernièrement sur un ouvrage intitulé : « Apprendre à prier ». En lisant ce titre, une pensée de l’Esprit s’est imprimée à mon esprit.
Réalisons-nous frères et sœurs, que notre état d’esprit est un facteur déterminant pour notre croissance spirituelle ? Et qu’il peut différer ou annuler les promesses de Dieu ?
Quand les chrétiens font monter à Dieu des prières ferventes et persévérantes, cela permet à Dieu de leur répondre par Ses bénédictions et Ses grâces. Mais il est bon de respecter une règle majeure.
En réponse à tout mal-être spirituel, la Parole du Seigneur dit : « Je te conseille d’acheter de moi … un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies …/… car tu ne sais pas que tu es … aveugle ».
Dans la pensée de Dieu, les ténèbres et la lumière ne peuvent cohabiter. Ces deux entités ne peuvent former qu’une seule, car elles ne sont pas en harmonie.
L’érosion de la falaise par l’océan ne se fait pas en un jour. Il lui faut des dizaines d’années pour entamer la roche et accomplir son œuvre destructrice.
« Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? (Actes 9 v. 4 ) ». De tout temps, l’homme a persécuté le Seigneur en allant à l’encontre de Son œuvre.