12.Je vis le ciel ouvert

12.Je vis le ciel ouvert

Chap: 5 - Au seuil de l’éternité - Il nous faut examiner ce qui nous est présenté dans les Psaumes et dans les prophètes de l’Ancien Testament. Ils contiennent de nombreuses descriptions de cette époque extraordinaire sur la terre.

Les deux derniers paragraphes du ch. 20 de l’Apocalypse, du v. 7 à 10 et 11 à 15) nous conduisent directement jusqu’aux portes de l’éternité. Une impression de sainte gravité nous envahit, quand nous y pensons. Le verset 7 commence ainsi : « Et quand les mille ans seront accomplis ». Nous nous mouvons ici dans un laps de temps qui commence après la fin du millénium, et qui s’étend jusqu’au début de l’éternité. Sa durée n’est pas révélée. Nous pouvons pourtant supposer que les choses qui sont présentées ici, se dérouleront rapidement, pour autant qu’elles concernent la terre.

La dernière mise à l’épreuve.

Le « jour du Seigneur », comme nous l’avons déjà mentionné, aura non seulement son « matin » et son « midi », mais aussi son « soir » : le règne de paix de Christ, qui durera mille ans, prendra aussi fin, un jour.

L’ouverture de ce règne, en quelque sorte son « matin », comportera des jugements terribles. Il ne s’agira plus, alors, des jugements de la providence de Dieu, caractéristiques de ceux qui auront lieu pendant les sept années avant l’apparition du Seigneur, lesquels nous sont représentés symboliquement dans les ch. 6 à 18 de l’Apocalypse par les sept « sceaux », les sept « trompettes », et les sept « coupes du courroux de Dieu ».

À la différence de ceux-ci, au « matin » de son jour, le Seigneur Jésus sortira, en personne, du ciel et lui-même jugera directement ses ennemis (19 v. 11).

« Le soleil de justice », ayant la guérison dans ses ailes (Malachie 4 v. 2) se tiendra ensuite au zénith du ciel, pendant mille ans. Israël fleurira et poussera, et remplira de fruits la face du monde (Ésaïe 27v. 6). La création sera affranchie de la servitude de la corruption (Romains 8 v. 21), et une adoration universelle sera rendue au Seigneur Jésus : « Toute la terre se prosternera devant toi, et chantera tes louanges ; elle chantera ton nom » (Psaume 66 v. 4).

« Et j’entendis toutes les créatures qui sont dans le ciel, et sur la terre, et au-dessous de la terre, et sur la mer, et toutes les choses qui y sont, disant : À celui qui est assis sur le trône et à l’Agneau, la bénédiction, et l’honneur, et la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! » (Apocalypse 5 v. 13).

Ce sera un temps merveilleux pour la terre. Nous pouvons à peine nous représenter les résultats glorieux qui seront alors produits du fait que Satan sera lié, que la présence de Christ sera manifestée en puissance et dans l’exercice de sa justice. Le livre de l’Apocalypse n’offre pas, selon le conseil de Dieu, le cadre adéquat pour la description de ce temps glorieux et béni.

Pour en savoir plus, il faut examiner ce qui nous est présenté dans les Psaumes et dans les écrits des prophètes de l’Ancien Testament. Ils contiennent de nombreuses descriptions enthousiastes de cette époque extraordinaire sur la terre.

Le « soir » du jour du Seigneur.

Mais le jour du Seigneur finira aussi par décliner et aboutir à sa fin. Son   « soir » s’annoncera par des signes annonciateurs de certains malheurs, que je voudrais juste aborder. Il y a tout d’abord le fait que beaucoup de ses ennemis se soumettrons à lui « en dissimulant » à cause de la grandeur de sa force (Psaume 18 v. 44 ; 66 v. 3). Ils se soumettent, certes, mais il n’y a pas de foi, pas de véritable humilité, et ils ne le font que par obligation.

Par-dessus tout, il y a là encore le mauvais cœur de l’homme, que nous connaissons bien, de par nous-mêmes. Dans le chapitre précédent, nous nous étions déjà occupés du fait que le péché subsistera encore pendant le Millénium. En ces jours-là, comme aujourd’hui encore, les enfants naîtront avec un cœur méchant, mais ils auront été accoutumés, dès leur jeune âge, à la gloire et à la puissance publiques de Christ.

Certes, beaucoup d’entre eux se convertiront au Seigneur Jésus. Mais il est aussi certain que beaucoup s’habitueront aux miracles de la domination céleste, s’endurciront et deviendront ainsi des instruments appropriés pour le diable, lorsqu’il sera délié encore une fois pour un peu de temps.

Sommes-nous étonnés de tant de dureté de cœur en face de toute la puissance et de toute la gloire du Seigneur ? Les choses, hélas, ne sont pas différentes actuellement, en principe. La grâce de Dieu, a-t-elle jamais resplendi avec autant de clarté que dans le temps présent de la grâce ? Les hommes se sont aussi habitués à cela et ils rejettent la grâce.

Un passage remarquable du livre du prophète Ésaïe vise ce grand groupe de méchants dans le temps du règne, avec les conséquences auxquelles on peut s’attendre : « Si l’on use de grâce envers le méchant, il n’apprend pas la justice ; dans le pays de la droiture il fait le mal, et il ne voit pas la majesté de l’Éternel. Ô Éternel, ta main est élevée, mais ils ne voient point ; mais ils verront ta jalousie pour le peuple et seront honteux. Oui, le feu qui attend tes adversaires les dévorera » (Ésaïe 26 v. 10 et 11). « Le feu les dévorera », ce sera la réponse de Dieu. Nous retrouverons cela tout de suite dans notre paragraphe dans l’Apocalypse.

Lorsque l’on compare entre elles les différentes parties de la Parole prophétique, on a l’impression que, selon la distance d’un pays par rapport à la Palestine, la crainte de l’Éternel sera plus ou moins grande d’un pays à l’autre. En Israël même, où le soleil ne se couchera plus, « eux tous, seront justes » (Ésaïe 60 v. 19 à 21).

Leurs descendants et les descendants de leurs descendants jouiront constamment des bénédictions « dès maintenant et à toujours » (Ésaïe 59 v. 21). L’Éternel aura les yeux sur les fidèles du pays, pour les faire habiter avec lui. Mais « celui qui pratique la fraude n’habitera pas au-dedans de ma maison ; celui qui profère des mensonges ne subsistera pas devant mes yeux » (Psaume 101 v. 6 à 8). L’Égypte et l’Assyrie seront des nations privilégiées, elles « serviront l’Éternel » (Ésaïe 19 v. 23 à 25).

En revanche, ceux dont le méchant cœur est resté inchangé, se retireront d’un pays où même toute chaudière sera une chose sainte, consacrée à l’Éternel (Zacharie 14 v. 21). Cette sanctification absolue pour le Seigneur sera insupportable à un entendement non renouvelé. Lorsque Satan sera finalement relâché hors de l’abîme, pour un peu de temps, il saura exactement vers où se tourner, pour trouver ceux qui lui prêteront l’oreille docilement vers les nations aux « quatre coins de la terre » :

« Et quand les mille ans seront accomplis, Satan sera délié de sa prison ; et il sortira pour égarer les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, pour les assembler pour le combat, eux dont le nombre est comme le sable de la mer » (Apocalypse 20 v. 7 et 8).

La dernière mise à l’épreuve, une nécessité (« il faut »).

On pourrait se demander : « Est-il donc nécessaire que Satan soit relâché une fois encore, après l’expiration de ce temps béni, et sans précédent, pour lui permettre de séduire une nouvelle fois les hommes ? »

Or le verset 3 de notre chapitre dit expressément : « après cela, il faut qu’il soit délié pour un peu de temps ». Je pense que la nécessité pour cela peut être envisagée sous deux aspects. Sous l’un, Dieu veut montrer que Satan n’a absolument pas changé, malgré son séjour de mille ans dans l’abîme. Il avait séduit les hommes dans le passé et il les séduira également dans le futur. Les mille ans dans l’abîme n’y ont rien changé.

D’un autre côté, avant d’exécuter son jugement définitif, Dieu veut exprimer très clairement et de manière irréfutable, que l’homme aussi est resté le même, tel qu’il est, méchant et corrompu, malgré mille ans de bénédictions surabondantes. Les hommes peuvent prétexter aujourd’hui qu’ils pourraient croire plus facilement en Dieu et à son Christ, si les choses allaient mieux pour eux ; mais qu’avec toute cette misère, cette injustice, ils ne le peuvent pas !

Dieu, par cette dernière grande mise à l’épreuve imposée aux hommes, apportera pour toujours la preuve combien ce raisonnement est erroné. Cela doit arriver. Un employé peut n’avoir encore jamais volé son chef. Mais qu’est-ce que cela indique, s’il n’en a pas encore eu l’occasion ? C’est pour cela que Dieu a permis au diable d’avoir accès au jardin d’Éden, et c’est pour cela qu’Il lui permet aujourd’hui de séduire ses enfants.

C’est pour cela aussi, que toutes ces nations qui ont goûté la domination bénie de Christ, seront encore une fois mises à l’épreuve. Si les hommes, durant les dispensations passées, ont rejeté chaque déploiement de la bonté de Dieu, comment répondront-ils à la domination juste et parfaite du Fils de l’homme ? S’ils n’ont pas reçu Christ pendant les jours de son abaissement, le recevront-ils dans son exaltation ? Ces versets nous en donnent la réponse.

Lorsque l’adversaire aura une nouvelle occasion d’égarer les hommes, il remportera alors un nouveau succès, à un degré effrayant. Il assemblera une armée de combattants nombreux comme le sable de la mer. Les « saints » seront évidemment là aussi, ainsi que la « cité bien-aimée », comme nous le verrons tout de suite. Mais la grande masse des nations suivra Satan.

Ceci sera de nouveau exposé au grand jour, et pour la dernière fois : lorsque l’homme est éprouvé dans les circonstances les plus favorables qui soient, il manifeste toujours son incorrigible méchanceté et sa perversité. Seul un travail intérieur de la grâce peut amener un véritable changement.

Seule la nouvelle naissance peut le rendre capable de se réjouir en Dieu et dans ses bénédictions. Le cœur naturel n’en est pas capable. C’est ce que manifeste également cette dernière mise à l’épreuve de l’homme : « Il vous faut être né de nouveau », a dit autrefois le Seigneur Jésus (Jean 3 v. 7). Cette dernière époque de l’histoire de l’humanité confirmera définitivement la vérité de ses paroles.

Mais quel cadeau de la grâce de Dieu que nous, enfants de Dieu, puissions aujourd’hui déjà, par la foi, comprendre ce que veut dire être « nés d’eau et de l’Esprit » ! Nous n’avons pas besoin d’attendre les jours de gloire là-haut, ni les jours du Royaume ici-bas, pour jouir des bénédictions de Dieu.

En recevant la nouvelle vie, la vie éternelle, Dieu nous a déjà rendu capables de jouir des bénédictions spirituelles, qui dépassent de loin les bénédictions du Royaume, et qui sont le propre des lieux célestes (Éphésiens 1 v. 3). Nous en jouissons déjà, avant d’être introduits par la résurrection dans cette scène où elles ont leur véritable place. Merveilleuse grâce de Dieu !

Gog et Magog.

Nous trouvons dans l’Ancien Testament, ici et là, des indications sur les nations rebelles, au temps du Règne du Seigneur. Nous avons déjà mentionné les Psaumes 66 et 101. Dans le Psaume 18 il est également parlé de soumission « en dissimulant » : « Dès qu’ils ont entendu de leur oreille, ils m’ont obéi ; les fils de l’étranger se sont soumis à moi en dissimulant » (v. 44).

Elles ne se soumettront que par crainte du châtiment. Mais à partir du moment où Dieu permet à Satan de réapparaître sur la scène terrestre, elles manifesteront leur nature rebelle, et se soulèveront contre lui. Il vaut la peine de remarquer, d’ailleurs, que Satan ne peut plus remonter au ciel : cela ne lui est plus permis.

Lorsqu’il est question de Gog et de Magog, au verset 8, il ne faut pas les confondre avec le personnage d’Ézéchiel 38 et 39, où il s’agit du prince de Rosh (Russie), le chef de la coalition nordique contre Israël*, et de « Magog », qui est une désignation symbolique de son pays. Ici, cependant, sont représentées, sous les noms de « Gog » et de « Magog », des nations qui sont « aux quatre coins de la terre ». L’expression, également symbolique, des « quatre coins de la terre », représente la pensée de l’universalité. Ces nations viendront donc de toute la terre, de tous les points cardinaux.**

* Face à la situation politique dans l’Est qui s’est aujourd’hui profondément modifiée, il me semble qu’il est néanmoins important de se reporter aux déclarations de la Parole prophétique, qui signale que la Russie sera de nouveau, au plus tard à la fin de la dispensation de la grâce, le grand adversaire d’Israël, la puissance dominante au nord (de la Palestine). Le développement des événements actuels peut sembler être en contradiction avec ce qui se passe en ce moment, mais il en sera véritablement ainsi.

** Nous avons déjà effleuré la question de savoir comment il est possible qu’il y ait d’innombrables incrédules sur terre à la fin du millénium. Pendant le Règne béni de Christ, la population de la terre augmentera dans une mesure jamais connue ; en un temps où il y aura rarement des morts. Mais beaucoup d’entre les nations, qui naîtront pendant le Règne, n’auront qu’une relation de façade avec Christ, et leurs cœurs lui resteront fermés. Malgré le juste gouvernement du Seigneur, le Royaume ne sera pas caractérisé par le fait que tous les hommes dans ce Royaume seraient nés de nouveau.

Nous avons ainsi établi une autre distinction par rapport à « Gog », le prince de Rosh. Ce chef de la coalition du nord montera avec ses armées et ses bandes « du fond du nord » vers la Palestine (Ézéchiel 38 v. 6) ; et cela se passera, comme nous avons déjà eu l’occasion de le remarquer, juste après l’établissement par Christ de son Royaume de paix.

En revanche, les « Gog et Magog » des temps de la fin viendront des quatre coins de la terre, et cette dernière invasion aura lieu, sans ambiguïté, après le millénium.

Si donc Dieu, par ces expressions, fait allusion aux hordes du nord, qui envahiront la Palestine au début du Règne, cela a naturellement son importance. Nous pouvons bien en déduire que cela montre le parallèle qu’il y a entre ces deux attaques : Dans les deux cas, il s’agit d’une attaque dont le but est de détruire ce qui fait l’objet d’une protection spéciale de la part de Dieu et qui est dans sa faveur : Israël.

La dernière bataille.

« Et ils montèrent sur la largeur de la terre, et ils environnèrent le camp des saints et la cité bien-aimée ; et du feu descendit du ciel de la part de Dieu et les dévora » (20 v. 9).

Il n’y a sans doute jamais eu une invasion de cette ampleur, ils « montèrent sur la largeur de la terre ». Satan mettra en mouvement ces foules immenses de toutes les parties de la terre, pour exterminer entièrement le témoignage de Dieu sur la terre. On peut remarquer que Satan ne se sert plus, maintenant, d’instruments, comme il le faisait avant l’apparition du Seigneur Jésus en puissance. À cette époque-là, il utilisait « la première bête », le chef romain, et la « deuxième bête », le « faux prophète » (Apocalypse 13 v. 1 et 11 ; 19 v. 19 et 20).

Ici, il n’est plus parlé de « rois », mais seulement de « nations », que Satan assemble pour le combat. Il ne confie la conduite du combat à aucune puissance humaine subalterne, mais il prend personnellement les choses en main. C’est comme une dernière tentative, désespérée, pour arracher la domination sur la terre au Roi oint par Dieu, et pour s’en emparer. Quelle tentative insensée ! N’a-t-il pas éprouvé maintes fois la puissance invincible de Dieu contre lui-même ?

N’a-t-il pas été directement « précipité sur la terre » après un combat violent dans le ciel, avant le début des dernières trois années et demie (Apocalypse 12 v. 9). Et après ces trois années et demie, n’a-t-il pas dû se laisser lier sans combat par un seul ange et jeter par lui dans l’abîme (20 v. 1 à 3). N’a-t-il toujours rien appris ? Non. Satan est aveuglé par sa haine contre tout ce qui est divin, et ceux qui le suivent portent tous cette caractéristique, non seulement dans ce temps de la fin, mais déjà actuellement.

Le fait qu’il soit parlé ici de la largeur de la terre est sûrement là pour souligner le contraste avec l’expression « le tiers de la terre » rencontrée plus haut dans l’Apocalypse, par exemple 8 v. 7 (aussi 12 v. 4). Alors qu’il s’agit là d’événements qui ne se rapportent qu’à une partie de la terre prophétique, à savoir la partie occidentale de l’empire romain*, ici c’est la dernière attaque de Satan et de ses armées sur « la largeur de la terre » qui nous est présentée. Cette pensée serait vraiment effrayante, si nous ne savions pas qu’alors aussi, Dieu ne retirera pas ses yeux de dessus le juste (Job 36 v. 7), et que lui sera aussi Maître de cette situation menaçante, et protecteur de ses saints.

* La conquête des Romains ne s’étendit pas seulement sur l’Europe de l’Ouest, mais se prolongea loin à l’Est. Elle embrassa de grandes parties de la Grèce, de la Perse et de la Babylonie. Le véritable empire romain ne fut constitué, en fait, que de sa partie occidentale. Il semble que l’expression « le tiers de la terre » y fasse allusion. On entend, sans aucun doute, par « terre », une sphère prophétique, à laquelle se rapportent les événements déjà décrits. Elle est caractérisée par une certaine stabilité de l’autorité gouvernementale, en contraste avec la « mer » qui symbolise l’agitation des masses populaires.

« Et ils montèrent sur la largeur de la terre, et ils environnèrent le camp des saints et la cité bien-aimée ». Il est étrange que rien ne soit dit du Seigneur Jésus ! N’est-Il donc pas présent ? Les a-t-Il laissés seuls dans cette heure d’extrême détresse. Ils ont vécu pendant mille ans en paix et en sécurité et personne n’a pu les agresser sous la protection du Très-Haut. Ils n’ont jamais utilisé des armes, ni appris à combattre. Et voici cette marée d’ennemis meurtriers qui les assaille de tous côtés.

Cela peut parfois aussi nous arriver, qu’après une certaine période de repos, nous soyons emportés soudainement dans des eaux tumultueuses, et que le vent nous souffle, tout à coup, en pleine figure. Et il nous semble, bien souvent, que le Seigneur nous a laissés seuls dans nos détresses. Or cela est aussi peu vrai maintenant, que dans la suite.

Réfléchissons : Si le Seigneur était intervenu aussitôt avec puissance, la situation n’aurait même pas du tout pu se présenter sous cette forme. Le Seigneur permet ainsi cette mise à l’épreuve redoutable, afin que la foi et la fidélité des siens puissent briller d’autant plus intensément. Gardons cela fermement dans nos cœurs, grâce à son aide.

Suite du chapitre...

 

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