1. Tendons à ce qui est parfait !

1. Tendons à ce qui est parfait !

Chap: 1 - La nouvelle alliance dans le sang de Christ - N’oublions pas que l’objectif que Dieu dresse devant nous est la perfection absolue de la nouvelle création que nous sommes en Christ.

Notre Dieu est le Dieu de la perfection. Il est parfait dans ce qu’Il est, mais Il est aussi parfait dans tout ce qu’Il crée ! Il veut manifester tout particulièrement sa perfection dans l’Épouse qu’Il a choisie pour son Fils. Voici comment le Seigneur décrit précisément l’Épouse qu’Il va faire paraître devant lui : « Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l’Église, et s’est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier, après l’avoir purifiée par l’eau et la parole (le texte grec dit : après l’avoir purifiée par le lavage de l’eau dans la parole), afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible » (Éphésiens 5 v. 25 à 27).

Voici comment Christ aime son Église. Voici le but auquel Il la conduit : être une Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible, c’est-à-dire sans le moindre défaut !

Bien entendu, personne n’est capable d’atteindre un tel but, si le Seigneur lui-même ne nous le fait pas atteindre. Tout ce qu’Il demande de nous, c’est de rester dans la foi en l’action de son Esprit et de sa Parole en nous. C’est la nouvelle alliance dans le sang de Christ qui nous permettra d’atteindre ce but, comme nous le verrons plus loin.

Définition d’une alliance.

Le mot hébreu traduit par « alliance » peut aussi être traduit par « testament ». À la place d’Ancien et de Nouveau Testament, nous pourrions donc dire aussi : « Ancienne et Nouvelle Alliance ».

Une alliance peut être définie comme un accord, un engagement solennel, soit entre deux personnes, soit entre Dieu et les hommes.

Alliance entre deux personnes.

Dans la Bible, une alliance entre deux personnes est un accord solennel qui les lie pour la vie, et qui ne peut donc être rompu que par la mort de l’un des deux partenaires.

  Il s’agit bien d’une alliance perpétuelle, mais qui comporte une limite de temps, celle de la vie humaine. C’est le cas de l’alliance conclue entre David et Jonathan (1 Samuel 18 v. 3 et 20 v. 42).

« Jonathan fit alliance avec David, parce qu'il l'aimait comme son âme » ; « Et Jonathan dit à David : Va en paix, maintenant que nous avons juré l'un et l'autre, au nom de l'Éternel, en disant : Que l'Éternel soit à jamais entre moi et toi, entre ma postérité et ta postérité ! David se leva, et s'en alla, et Jonathan rentra dans la ville ».

Un autre exemple est l’alliance du mariage. Dieu considère le mariage entre un homme et une femme comme une alliance perpétuelle, et non comme un contrat qui peut être rompu à tout moment. Cette alliance ne peut être rompue que par la mort de l’un des deux conjoints.

« Voici encore ce que vous faites : Vous couvrez de larmes l’autel de l’Éternel, de pleurs et de gémissements, en sorte qu’il n’a plus égard aux offrandes et qu’il ne peut rien agréer de vos mains. Et vous dites : Pourquoi ? … Parce que l’Éternel a été témoin entre toi et la femme de ta jeunesse, à laquelle tu es infidèle, bien qu’elle soit ta compagne et la femme de ton alliance. Nul n’a fait cela, avec un reste de bon sens. Un seul l’a fait, et pourquoi ? Parce qu’il cherchait la postérité que Dieu lui avait promise. Prenez donc garde en votre esprit, et qu’aucun ne soit infidèle à la femme de sa jeunesse ! Car je hais la répudiation, dit l’Éternel, le Dieu d’Israël, et celui qui couvre de violence son vêtement, dit l’Éternel des armées. Prenez donc garde en votre esprit, et ne soyez pas infidèles ! » (Malachie 2 v. 13 à 16).

Cette notion d’alliance inviolable que représente le mariage est reprise dans le Nouveau Testament, par exemple dans l’enseignement du Seigneur Jésus, ou celui de l’apôtre Paul : « Celui qui répudie sa femme et qui en épouse une autre, commet un adultère à son égard ; et si une femme quitte son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère » (Marc 10 v. 11 et 12).

« Ignorez-vous, frères, car je parle à des gens qui connaissent la loi, que la loi exerce son pouvoir sur l’homme aussi longtemps qu’il vit ? Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu’il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari. Si donc, du vivant de son mari, elle devient la femme d’un autre homme, elle sera appelée adultère ; mais si le mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu’elle n’est point adultère en devenant la femme d’un autre » (Romains 7 v. 1 à 3).

Hélas, aujourd’hui, dans beaucoup d’églises, on ne croit plus au caractère sacré et inviolable de l’alliance du mariage !

Alliance entre Dieu et les hommes.

En ce qui concerne les alliances conclues entre Dieu et les hommes, elles peuvent être, selon les cas, perpétuelle, temporaire ou éternelle. Une alliance perpétuelle entre Dieu et les hommes peut comporter une limite de temps, qui est en général la durée de la vie d’un homme ou la durée de la terre actuelle.

Une alliance temporaire entre Dieu et les hommes n’est en vigueur que jusqu’à ce qu’elle soit abolie pour être remplacée par une nouvelle alliance. Une alliance éternelle entre Dieu et les hommes ne comporte aucune limite de temps, elle est conclue pour l’éternité.

Les principales alliances entre Dieu et les hommes, mentionnées dans la Parole de Dieu.

Pour le moment, parlons des principales alliances entre Dieu et les hommes, mentionnées dans la Parole de Dieu : l’alliance avec Noé, l’alliance avec Abraham, l’alliance avec Moïse, et la nouvelle alliance dans le sang de Jésus.

S’il nous est parlé d’une « nouvelle alliance », c’est qu’il a existé une ou plusieurs autres alliances antérieures qui ont donc pu être qualifiées d’anciennes.

L’alliance conclue entre Dieu et Noé.

Un exemple d’alliance « perpétuelle » est celle que Dieu a conclue avec Noé. Elle est perpétuelle, mais comporte une limite dans le temps, dans le sens qu’elle ne durera que tant que la terre actuelle subsistera. Elle s’achèvera quand la terre actuelle sera détruite par le feu, à la fin du millenium.

Dieu avait dit à Noé : « Et moi, je vais faire venir le déluge d’eaux sur la terre, pour détruire toute chair ayant souffle de vie sous le ciel ; tout ce qui est sur la terre périra. Mais j’établis mon alliance avec toi ; tu entreras dans l’arche, toi et tes fils, ta femme et les femmes de tes fils avec toi » (Genèse 6 v. 17 et 18).

Plus tard, Dieu confirma et étendit cette alliance : « J’établis mon alliance avec vous : aucune chair ne sera plus exterminée par les eaux du déluge, et il n’y aura plus de déluge pour détruire la terre. Et Dieu dit : C’est ici le signe de l’alliance que j’établis entre moi et vous, et tous les êtres vivants qui sont avec vous, pour les générations à toujours : j’ai placé mon arc dans la nue, et il servira de signe d’alliance entre moi et la terre.

Quand j’aurai rassemblé des nuages au-dessus de la terre, l’arc paraîtra dans la nue ; et je me souviendrai de mon alliance entre moi et vous, et tous les êtres vivants, de toute chair, et les eaux ne deviendront plus un déluge pour détruire toute chair. L’arc sera dans la nue ; et je le regarderai, pour me souvenir de l’alliance perpétuelle entre Dieu et tous les êtres vivants, de toute chair qui est sur la terre » (Genèse 9 v. 11 à 16).

Le Seigneur parle ici de notre terre actuelle, et non de la nouvelle terre qu’Il va créer après le jugement dernier.

L’alliance conclue entre Dieu et Abraham.

Il s’agit en revanche d’une alliance éternelle, et d’une véritable perpétuité : « J’établirai mon alliance entre moi et toi, et tes descendants après toi, selon leurs générations : ce sera une alliance perpétuelle, en vertu de laquelle je serai ton Dieu et celui de ta postérité après toi » (Genèse 17 v. 7).

L’épître aux Galates nous apprend que « la postérité » d’Abraham était en réalité le Seigneur Jésus : « Or les promesses ont été faites à Abraham et à sa postérité. Il n’est pas dit : et aux postérités, comme s’il s’agissait de plusieurs, mais en tant qu’il s’agit d’une seule : et à ta postérité, c’est-à-dire, à Christ. Voici ce que j’entends : une disposition, que Dieu a confirmée antérieurement, ne peut pas être annulée, et ainsi la promesse rendue vaine, par la loi survenue quatre cent trente ans plus tard. Car si l’héritage venait de la loi, il ne viendrait plus de la promesse ; or, c’est par la promesse que Dieu a fait à Abraham ce don de sa grâce » (Galates 3 v. 16 à 18).

Ainsi, l’alliance conclue entre Dieu et Abraham s’étendait aussi à sa descendance, c’est-à-dire à Christ, et à tous ceux qui devaient hériter du salut par la foi en Christ.

Il ne s’agit donc pas ici d’une alliance perpétuelle semblable à celle conclue avec Noé. Mais il s’agit d’une alliance éternelle, sans limite de temps, puisque c’est en vertu de l’alliance conclue avec Abraham et sa descendance que Christ devait s’incarner dans ce monde.

Puisque l’alliance conclue entre Dieu et Abraham concernait aussi sa descendance, c’est-à-dire Christ, on peut dire que cette alliance a été conclue en fait entre Dieu le Père et Jésus son Fils unique. On comprend donc que cette alliance puisse être éternelle. Cela signifie aussi que toute l’Église de Christ bénéficie des dispositions inclues dans l’alliance conclue entre Dieu et Abraham !

C’est ce que Paul précise, toujours dans l’épître eux Galates : « Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous, car il est écrit : Maudit est quiconque est pendu au bois, afin que la bénédiction d’Abraham eût pour les païens son accomplissement en Jésus-Christ, et que nous reçussions par la foi l’Esprit qui avait été promis » (Galates 3 v. 13 et 14).

Quelle était la malédiction de la Loi dont nous avons été rachetés ? Elle est décrite dans Deutéronome 28 v. 15 à 68. C’est une malédiction attachée au péché et à la désobéissance. Tous les domaines de notre vie sont concernés par cette malédiction, y compris toutes les maladies possibles et imaginables. Christ nous a rachetés de cette malédiction par son sang, étant littéralement devenu malédiction à notre place. Et Il nous a ainsi rachetés, afin que la bénédiction d’Abraham s’accomplisse pour tous ceux qui sont en Christ.

Non seulement cela, mais la nouvelle alliance nous a aussi permis de recevoir en nous le Saint-Esprit, ce qui n’était pas le cas d’Abraham. C’est en ce sens que la nouvelle alliance dans le sang de Jésus a confirmé et élargi l’alliance conclue avec Abraham.

Quelle est donc cette « bénédiction d’Abraham » promise à tous ceux qui sont en Christ ? Elle comprend toutes les bénédictions déversées par Dieu sur Abraham, que l’on peut ainsi résumer :

– La possession du pays d’Israël, du torrent d’Égypte au fleuve de l’Euphrate. Réalisez-vous que ce pays appartient non seulement à la nation d’Israël, mais aussi à tous ceux qui, en Christ, sont héritiers de la bénédiction d’Abraham ? (Genèse 15 v. 18).

– Le pardon des péchés et la justice obtenue par la foi (Genèse 15 v. 6).

– Une vieillesse longue, heureuse et en bonne santé (Genèse 15 v. 15 et 25 v. 8).

– La prospérité à tous égards (Genèse 13 v. 2 et 24 v. 1).

– La victoire sur tous ses ennemis (Genèse 12 v. 3 ; Genèse 14 v. 14 à 16).

– La bénédiction sur sa famille et ses descendants (Genèse 17 v. 7 et 22 v. 17).

Celle liste n’est pas limitative. Tout ceci nous appartient aussi en Christ, mais bien plus encore !

La grande particularité de l’alliance conclue entre Dieu et Abraham, c’est que non seulement elle ne peut être rompue, et qu’elle ne l’a jamais été, mais qu’elle a été confirmée et élargie par la nouvelle alliance conclue dans le sang de Christ.

L’alliance conclue entre Dieu et Moïse, ou encore entre Dieu et le peuple d’Israël. Quelle est donc cette alliance que le Nouveau Testament appelle « l’ancienne alliance », par opposition à la « nouvelle alliance » ? On l’a compris, il ne s’agit pas de l’alliance conclue avec Abraham.

Il s’agit de l’alliance conclue entre Dieu et Moïse sur le mont Sinaï. Cette alliance a été conclue environ quatre cent trente ans après l’alliance conclue avec Abraham. C’était une alliance « perpétuelle » qui comportait une limite de temps, jusqu’à la venue de Christ, car elle devait être abolie pour être remplacée par une nouvelle alliance, celle conclue dans le sang de Christ. Elle peut donc être définie comme une alliance « temporaire ».

« L’Éternel dit à Moïse : Écris ces paroles ; car c’est conformément à ces paroles que je traite alliance avec toi et avec Israël. Moïse fut là avec l’Éternel quarante jours et quarante nuits. Il ne mangea point de pain, et il ne but point d’eau. Et l’Éternel écrivit sur les tables les paroles de l’alliance, les dix paroles. Moïse descendit de la montagne de Sinaï, ayant les deux tables du témoignage dans sa main » (Exode 33 v. 27 à 29).

« Moïse prit la moitié du sang, qu’il mit dans des bassins, et il répandit l’autre moitié sur l’autel. Il prit le livre de l’alliance, et le lut en présence du peuple ; ils dirent : Nous ferons tout ce que l’Éternel a dit, et nous obéirons. Moïse prit le sang, et il le répandit sur le peuple, en disant : Voici le sang de l’alliance que l’Éternel a faite avec vous selon toutes ces paroles » (Exode 24 v. 6 à 8).

Cette alliance entre Dieu et Moïse n’était pas destinée à remplacer l’alliance conclue avec Abraham. Au contraire, elle était destinée à préserver le peuple d’Israël d’une destruction causée par les transgressions, afin que ce peuple puisse continuer de bénéficier de l’alliance conclue avec Abraham, jusqu’à la venue de la « postérité » annoncée, en la personne du Messie.

C’est ce que nous révèle l’apôtre Paul, dans ce passage d’une importance capitale : « Frères je parle à la manière des hommes, une disposition en bonne forme, bien que faite par un homme, n’est annulée par personne, et personne n’y ajoute. Or les promesses ont été faites à Abraham et à sa postérité. Il n’est pas dit : et aux postérités, comme s’il s’agissait de plusieurs, mais en tant qu’il s’agit d’une seule : et à ta postérité, c’est-à-dire, à Christ. Voici ce que j’entends : une disposition, que Dieu a confirmée antérieurement, ne peut pas être annulée, et ainsi la promesse rendue vaine, par la loi survenue quatre cent trente ans plus tard.

Car si l’héritage venait de la loi, il ne viendrait plus de la promesse ; or, c’est par la promesse que Dieu a fait à Abraham ce don de sa grâce. Pourquoi donc la loi ? Elle a été donnée ensuite à cause des transgressions, jusqu’à ce que vînt la postérité à qui la promesse avait été faite ; elle a été promulguée par des anges, au moyen d’un médiateur. Or, le médiateur n’est pas médiateur d’un seul, tandis que Dieu est un seul. La loi est-elle donc contre les promesses de Dieu ?

Loin de là ! S’il eût été donné une loi qui pût procurer la vie, la justice viendrait réellement de la loi. Mais l’Écriture a tout renfermé sous le péché, afin que ce qui avait été promis fût donné par la foi en Jésus-Christ à ceux qui croient. Avant que la foi vînt, nous étions enfermés sous la garde de la loi, en vue de la foi qui devait être révélée.

Ainsi la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi. La foi étant venue, nous ne sommes plus sous ce pédagogue. Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi en Jésus-Christ ; vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ.

Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d’Abraham, héritiers selon la promesse » (Galates 3 v. 15 à 29).

On peut résumer les points principaux de cette révélation de la manière suivante :

– L’alliance faite avec Abraham n’a pas pu être annulée par la Loi, ou encore par l’alliance conclue avec Moïse, survenue 430 ans plus tard.

– La Loi de Moïse a été donnée à cause des péchés du peuple d’Israël, jusqu’à la venue du Seigneur Jésus. En effet, la Loi comportait des sacrifices de sang, qui permettaient de couvrir les péchés du peuple.

– Ce qui avait été promis à Abraham est aussi donné à ceux qui croient en Jésus-Christ.

– La Loi a été un pédagogue pour conduire Israël à Christ.

– La foi en Christ étant venue, nous n’avons plus besoin de ce pédagogue, c’est-à-dire de la Loi de Moïse.

– Nous sommes la postérité spirituelle d’Abraham, héritiers selon la promesse. Non seulement héritiers de la bénédiction d’Abraham, ce qui est déjà énorme, mais aussi de tout l’héritage que Christ nous a acquis par son sacrifice à la croix.

L’épître aux Hébreux confirme cette révélation reçue par Paul. L’auteur de cette épître explique que l’alliance conclue avec Moïse reposait sur la Loi et ses 613 commandements, sur le sacerdoce lévitique, et sur l’ordre d’Aaron, en tant que souverain sacrificateur.

Tandis que la nouvelle alliance dans le sang de Jésus repose sur un nouveau sacerdoce, celui de Christ, éternel Souverain Sacrificateur, sur un nouvel ordre, celui de Melchisédek, et sur une nouvelle Loi, celle de Christ, ou encore la loi de l’esprit de vie en Christ (Romains 8 v. 2).

Christ est la postérité d’Abraham à qui la promesse avait été faite. Tout ce qu’il nous était impossible de recevoir par l’obéissance complète à toute la Loi, c’est-à-dire la justice parfaite, nous pouvons à présent l’obtenir par la foi en Christ.

 

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« Souvenons-nous que nous serons des problèmes, pour nous-mêmes et pour les autres, jusqu'à ce que nous ayons trouvé la place qui est la nôtre. Toute vie a sa place; et toute vie sera un problème tant qu'elle ne sera pas à sa place, et que cette place aura été acceptée... »

- Théodore Austin-Sparks

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