Édification Chrétienne     Bibliothèque Numérique

La puissance de Dieu
dans la faiblesse humaine.

« Tu ne peux pas maintenant me suivre où je vais, mais tu me suivras plus tard » (Jean 13 v. 36).
Nous lisons plus loin (Jean 21 v. 19) : Après avoir ainsi parlé, Jésus lui dit : « suis-moi ». Trois ans auparavant, Jésus avait déjà dit à Pierre « suis-moi » ! Et Pierre avait suivi sans peine, séduit par Jésus, mais sans le secours du Saint-Esprit. Il aboutit au reniement, et son cœur se brisa. C’est alors qu’il reçut le Saint-Esprit, et Jésus lui dit à nouveau : « suis-moi » ! Jésus seul était devant lui. Le premier « suis-moi » n’avait rien de mystique et Pierre suivit Jésus sur le chemin ; le deuxième le conduira jusqu’au martyre (Jean 21 v. 18).

Entre ces deux appels, Pierre a renié Jésus avec des imprécations, et il s’est effondré avec sa suffisance. Il ne lui reste plus rien de sa confiance en lui-même. Il est prêt à recevoir le Saint-Esprit de la part du Seigneur ressuscité (Jean 20 v. 22).

Quels que soient les changements que Dieu ait opérés en vous, ne vous appuyez sur personne, sinon sur le Seigneur Jésus-Christ, et sur le Saint-Esprit qu’Il donne. Tous nos efforts, toutes nos bonnes résolutions, aboutissent au reniement, parce que nous n’avons pas de puissance pour les réaliser. Mais quand nous sommes effondrés, réellement vidés de nous-mêmes, nous pouvons recevoir le Saint-Esprit : « Recevez le Saint-Esprit ». Laissez-vous envahir par lui, et il n’y aura dans votre vie qu’un vainqueur, le Seigneur Jésus-Christ.

 

Oswald Chambers - 1874-1917

 Adoration.

« Abram… dressa sa tente, ayant Béthel à l’occident et Aï à l’orient : il bâtit là son autel à l’Éternel, et l’invoqua »  (Genèse 12 v. 8).
Adorer Dieu, c’est lui redonner tout ce qu’il nous a donné de meilleur. Chaque fois que Dieu vous accorde un bienfait, rendez-le lui comme un témoignage de votre amour. Prenez votre temps, recueillez-vous devant Dieu et, par un acte d’adoration, redonnez-lui ce qu’il vous a donné. Si au contraire vous le mettiez de côté pour votre usage personnel, cela moisirait en vous, comme la manne que les Israélites mettaient en réserve, Les trésors spirituels que Dieu vous donne, il ne veut pas que vous les gardiez pour vous-même, il faut que vous les lui rendiez pour que d’autres en profitent.

Béthel est le symbole de la communion avec Dieu ; Aï le symbole du monde. Abram dresse sa tente entre les deux. Notre activité pour Dieu dans le monde n’a de valeur que par notre intime communion avec lui, dans notre for intérieur. La précipitation est toujours coupable, le temps ne manque jamais pour adorer Dieu. Vouloir s’isoler du monde pour rester seul avec Dieu, cela n’est pas sans danger. Il nous faut dresser notre tente de manière à pouvoir toujours nous recueillir devant Dieu, quelque tintamarre que mène le monde.

Il est faux de concevoir comme trois étapes distinctes l’adoration, l’attente et l’action. Certains chrétiens sautent, comme des grenouilles, de l’adoration à l’attente, puis de l’attente à l’action. Dieu ne l’entend pas ainsi : les trois doivent marcher ensemble, comme dans la vie de Jésus. Jamais il ne se hâtait, jamais il ne restait sans rien faire. C’est une discipline à conquérir, qui ne s’acquiert pas en un jour.

 

Oswald Chambers - 1874-1917

 L’intimité avec Jésus.

« Il y a si longtemps que je suis avec vous, Philippe, et tu ne me connais pas » (Jean 14 v. 9).
Ce n’est pas une réprimande, pas même l’expression d’un étonnement ; Jésus fait l’éducation de Philippe. L’intimité avec Jésus est la plus longue à conquérir. Avant la Pentecôte, Jésus, pour ses disciples, était celui grâce auquel ils pouvaient vaincre les démons et réveiller les âmes endormies (Luc 20 v.18 à 20.) Ils avaient déjà avec lui une intimité précieuse, mais il y en avait une autre, bien plus profonde, qui devait venir : « Je vous ai appelés mes amis ». La véritable amitié est rare sur la terre. Elle implique l’union parfaite, dans la pensée, dans le cœur, dans l’esprit. La vie tout entière est une discipline qui doit nous permettre de réaliser cette union intime avec Jésus-Christ. Nous recevons ses bienfaits, nous connaissons sa parole, mais lui, le connaissons-nous ?

« Il est avantageux pour vous que je m’en aille ». Jésus veut dire qu’il pourra mieux les faire pénétrer dans son intimité. Jésus se réjouit quand un de ses disciples s’applique à conquérir son amitié. C’est grâce à elle seule que nous pouvons porter du fruit (Jean 15).

Une fois parvenus à cette intimité, il n’y a plus pour nous de solitude. Notre cœur sait toujours où trouver de la sympathie, Nous avons toujours de quoi parler aux autres, sans user d’aucun artifice. Celui qui possède l’intimité de Jésus ne laissera jamais d’autre impression de lui-même, sinon que Jésus est là, sans rien qui lui fasse obstacle ; car Jésus a satisfait toutes les profondeurs de son âme. Une telle vie, c’est l’équilibre puissant, c’est la merveilleuse sérénité que notre Seigneur communique à ses intimes.

 

Oswald Chambers - 1874-1917

Mon sacrifice est-il vivant ?

« Abraham bâtit l’autel… et lia Isaac, son Fils, sur l’autel » (Genèse 22 v. 9).
Le sacrifice d’Isaac est le symbole de l’erreur où nous tombons en nous imaginant que Dieu réclame de nous le sacrifice qui aboutit à la mort. Dieu nous demande le sacrifice de nous-mêmes à travers la mort, qui nous rend capables, comme Jésus l’a fait, de sacrifier nos vies. Il ne faut pas dire : « Je suis prêt à marcher à la mort avec Toi ». Mais bien : « Je suis prêt à m’unir à ta mort rédemptrice, pour pouvoir ainsi offrir ma vie à Dieu ».

Nous nous imaginons que Dieu nous demande de renoncer à une foule de choses. Dieu a voulu débarrasser Abraham de cette erreur ; la discipline que Dieu nous impose dans notre vie quotidienne nous en délivre à notre tour. Dieu ne nous dit jamais de renoncer à quoi que ce soit, pour le plaisir d’y renoncer. Quand il nous ordonne de renoncer à quelque chose, c’est pour acquérir la seule chose qu’il vaille la peine de posséder, la communion avec lui. Il s’agit avant tout de briser les liens qui font obstacle à cette vie. Une fois ces liens brisés, par l’union de notre âme à la mort de Jésus, notre communion avec Dieu devient assez intime pour pouvoir vraiment lui offrir notre vie en vivant sacrifice.

À quoi servirait-il que vous donniez à Dieu votre vie, si ce n’était que pour mourir ? Ce qu’il réclame de vous, c’est votre personne même, offerte en sacrifice vivant ; c’est qu’il puisse disposer de toutes vos capacités, de toutes vos énergies, rachetées et sanctifiées par le sacrifice de Jésus. Cela seul est agréable à Dieu.

 

Oswald Chambers - 1874-1917

En nous l’Esprit œuvre.

« Que votre esprit tout entier, votre âme, votre corps, tout votre être, soit conservé irréprochable » (1 Thessaloniciens 5 v. 23).
« Votre esprit tout entier ». La grande action mystique du Saint-Esprit se fait dans les régions obscures de notre personnalité, que nous ne pouvons atteindre. Le psaume 139 peut se résumer ainsi : « Tu es le Dieu de l’aurore, et le Dieu de la nuit ; le Dieu des sommets, le Dieu des abîmes. Mais mon âme, ô Dieu, a des horizons plus lointains que l’aurore, des ténèbres plus épaisses que la nuit, des sommets plus hauts qu’aucune montagne, des abîmes plus profonds qu’aucun océan. Dieu de toute la nature, sois mon Dieu. Ce qui est en moi me dépasse en tout sens : mes mobiles, mes impulsions, mes rêves m’échappent, O mon Dieu, sonde-moi ».

Avons-nous compris que Dieu peut garder pure notre imagination bien au delà de notre pensée consciente ? « Le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché » (1 Jean 1 v. 7). S’il ne s’agissait là que de notre pensée claire et distincte, nous serions bien à plaindre. Le péché rend notre pensée obtuse ; aussi n’en avons-nous pas conscience. La purification de notre âme doit atteindre ses plus lointaines régions, si nous voulons demeurer dans la lumière, comme Dieu est dans la lumière.

Alors le même Esprit dont la force animait Jésus nourrira notre esprit. C’est quand Dieu met en nous ce gardien formidable, l’Esprit de sainteté, c’est seulement alors qu’en nous l’esprit, l’âme et le corps, sont conservés irréprochables, sans que Dieu puisse réprouver, jusqu’à la venue de Jésus lui-même.
Ces grandes vérités, qui nous viennent de Dieu, savons-nous y faire attention ?

 

Oswald Chambers - 1874-1917

Les yeux qui s’ouvrent.

« ...afin que tu leur ouvres les yeux... pour qu'ils reçoivent » (Actes 26 v. 18).
Je ne connais aucun verset dans tout le Nouveau Testament qui résume en un raccourci plus grandiose, ce que doit être le message d’un disciple de Jésus-Christ.

L’œuvre souveraine de la grâce divine, c’est d’abord ceci : « Afin qu’ils puissent recevoir le pardon de leurs péchés ». Quand un homme n’arrive pas à la véritable vie chrétienne, c’est presque toujours qu’il n’a jamais rien reçu dans ce domaine. Un homme n’est jamais sauvé que s’il a reçu directement quelque chose de Jésus-Christ. Notre fonction à nous, les ouvriers de Dieu, c’est d’ouvrir les yeux des gens, pour qu’ils se tournent des ténèbres vers la lumière. Mais ce n’est pas encore là le salut complet. C’est seulement la conversion, l’effort de l’âme qui se réveille. Je ne crois pas exagérer en disant que la majorité des chrétiens de nom sont comme cela. Leurs yeux se sont ouverts, mais ils n’ont rien reçu. La conversion - on l’oublie trop aujourd’hui - n’est pas la régénération. Quand un homme est vraiment né de nouveau, il sait bien que cela ne vient pas de lui, mais que c’est un don qu’il a reçu de la main du Tout-Puissant. Les gens prennent des engagements, signent des promesses, sont décidés à tenir jusqu’au bout, mais rien de tout cela ne peut les sauver. Le salut suppose que nous sommes en mesure de recevoir directement de Dieu, grâce à Jésus-Christ, le pardon de nos péchés.

Après cela vient l’autre œuvre souveraine de la grâce divine : « L’héritage promis à ceux que Dieu lui-même a sanctifiés ». Grâce à la sanctification l’âme régénérée abandonne à Jésus-Christ tous ses droits sur elle-même, et ne s’intéresse plus qu’aux desseins de Dieu en faveur des hommes.

 

Oswald Chambers - 1874-1917

Être seul avec Dieu.

« Il ne leur parlait point sans parabole ; mais, en particulier, il expliquait tout à ses disciples » (Marc 4 v. 34).
Jésus ne peut pas toujours nous prendre à part et nous expliquer ce que nous ne comprenons pas : il est forcé de tenir compte de ce que nous pouvons comprendre à un moment donné. Les vies des autres sont pour nous des paraboles, grâce auxquelles Dieu nous fait déchiffrer peu à peu le contenu de nos propres âmes. C’est un long travail : Dieu a besoin de toute l’éternité pour façonner à sa guise un homme ou une femme. Notre rôle à nous est simplement de permettre à Dieu de nous conduire à travers tous les replis tortueux de notre personnalité.

Notre ignorance de nous-mêmes est fantastique. Nous ne voyons pas ce qui crève les yeux, notre jalousie, notre paresse, notre orgueil. Jésus nous révèle le triste contenu de notre triste personne, tout ce qu’elle recelait en elle avant que sa grâce ait commencé d’agir en nous. Qui sont ceux qui ont appris à se regarder avec courage ?

Il faut nous débarrasser de l’idée, du préjugé tenace, que nous nous comprenons nous-mêmes. Dieu seul nous comprend. Cette suffisance instinctive est le ver rongeur de notre vie spirituelle. Pour peu que nous ayons pu entrevoir ce que nous sommes aux yeux de Dieu, nous ne parlerons plus jamais de notre grande indignité, parce que nous savons qu’elle existe, et qu’elle est inexprimable. Tant que nous ne sommes pas convaincus de notre indignité, Dieu pèsera sur nous pour nous arracher à nous-mêmes. Tant que persiste notre suffisance, Jésus ne peut rien nous expliquer. Il lui faut frapper à mort notre orgueil, mettre à nu nos attachements coupables. Il faut, pour que Dieu nous parle, la solitude du dépouillement.

 

Oswald Chambers - 1874-1917

Grâce à l'affliction.

« Lorsqu'il fut en particulier, ceux qui l'entouraient avec les douze l'interrogèrent » (Marc 4 v. 10).

Quand Dieu nous a fait enfin atteindre la solitude, grâce à l'affliction, au désespoir, à l'épreuve, à la maladie, par la rupture d'une vieille amitié ou la formation d'une amitié nouvelle ; quand enfin nous sommes seuls, absolument seuls, brisés et confondus, alors il commence à nous expliquer ce qu'il faut que nous sachions. Considérez la manière dont Jésus faisait l'éducation des douze. Ils lui posaient bien plus de questions que la foule. Ils le pressaient de questions, et lui ne se lassait pas de leur répondre. Mais ils n'ont vraiment compris qu'après avoir reçu le Saint-Esprit.

« Mais le consolateur, l'Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit » (Jean 14 : 26).

Si vous marchez avec Dieu, la seule chose qui vous apparaît clairement, la seule chose dont Dieu veut que vous la voyiez clairement, c'est la manière dont il s'y prend pour conduire votre âme. Quant aux tristesses, quant aux perplexités de votre prochain, tout cela n'est pour vous que pénombre et mystère. Nous nous imaginons que nous savons où est tel ou tel de nos frères, jusqu'à ce que Dieu nous administre, comme une noire potion, la vision de notre propre corruption.

Il y a en nous d'épaisses couches d'obstination et d'ignorance que le Saint-Esprit peut seul nous révéler, et il ne peut le faire tant que Jésus ne nous a pas là, devant lui, seul à seul. Regardez bien : êtes-vous parvenu à cette solitude, ou bien votre esprit est-il sans cesse occupé de mille futilités encombrantes, relatives à votre santé, à votre extérieur, à vos petites activités, soi-disant au service de Dieu ? Jésus ne peut rien nous expliquer, tant que nous n'avons pas fait taire tout ce tintamarre, tant qu'il n'est pas seul avec nous.

 

Oswald Chambers - 1874-1917

Demeurez en Christ
vous qui êtes venus à lui.

« Venez à moi... » (Matthieu 11 v. 28) ; « Demeurez en moi... » (Jean 15 v. 4).

C'est à tous ceux qui ont entendu le premier appel de Jésus : « Venez à moi », et y ont prêté l'oreille, que s'adresse cette nou­velle invitation du Sauveur : « Demeurez en moi ». Jamais nous ne nous sommes repen­tis d'être venus à Jésus ; nous avons éprouvé qu'il est fidèle dans ses promesses ; il nous a accordé un pardon complet et gratuit : il nous a rendus participants de la joie et des bénédictions de son amour et nous avons trouvé auprès de lui beaucoup plus que nous ne l'espérions. Néanmoins, avec le temps, les désappointements sont venus ; les bénédictions dont nous avions tant joui d'abord n'ont pas duré ; la joie et l'amour qui avaient rempli nos cœurs à notre première rencontre avec le Sauveur, loin d'augmenter, ont peu à peu disparu. Et nous nous sommes demandé pourquoi.

La réponse est simple : nous nous sommes éloignés de Christ. Les bénédictions qu'il promet sont étroitement liées à ce « venez à moi », et ne peuvent être goûtées que dans une communion intime avec lui.

« Demeurez en moi », dit Jésus, et non seulement avec moi. Il veut établir entre lui et nous une communion de la nature la plus intime ; il veut nous rendre participants de sa vie divine. Venus à lui, nous devons demeurer en lui. Les mêmes motifs qui nous ont poussés à nous approcher, nous pressent maintenant de demeurer. La crainte du péché et de la malédiction qu'il entraîne, le sentiment de lassitude et le désir d'être libérés des liens du péché pour être rendus saints et purs et trouver le repos de nos âmes, le besoin de connaître l'amour infini : toutes ces choses qui nous ont amenés à Jésus doivent nous retenir auprès de lui ; car ce n'est qu'en demeurant en lui que nous conservons le pardon reçu et que nos âmes altérées seront rassasiées.

 

Andrew Murray - 1828-1917

La première promesse de la Bible.

« Et je mettrai inimitié entre toi et la femme ; entre ta postérité et la postérité de la femme ; cette postérité t'écrasera la tête, et tu la blesseras au talon » (Genèse 3 v. 15).

Telle est la première promesse faite à l'homme tombé. À Elle seule elle contient l'Évangile tout entier et exprime l'essence même de l'alliance de grâce. Nous la voyons déjà accomplie dans une grande mesure : la semence de la femme a été blessée au talon en la personne de Jésus-Christ et de quelle terrible blessure !

Combien terrible aussi sera l'écrasement final de la tête du serpent ! Cette prophétie a été virtuellement accomplie une première fois quand Jésus a porté le péché de l'humanité, vaincu la mort et brisé la puissance de Satan elle le sera pleinement et définitivement lors de la seconde venue du Seigneur et au jour du jugement final. Mais, en outre, cette déclaration se réalise pour chacun de nous en particulier : blessés au talon nous le sommes par les tourments que les puissances malignes nous infligent tous les jours, souffrances dont nous pouvons toujours triompher en Christ qui a posé son pied sur la tête du serpent.

Pendant tout le cours de cette année, nous aurons à en faire l'expérience devant les tentations du malin et les attaques des impies qui sont sa semence. Saisissons donc la victoire promise et réjouissons-nous d'avance dans l'assurance que nous régnerons avec Christ, postérité de la femme.

 

Charles Spurgeon - 1834-1892

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- Aiden W.Tozer

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