Édification Chrétienne "Les Anciens Sentiers"
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Attendre n’est jamais facile.

« ...comme il se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre... » (Actes 1 v. 4).

Tout un livre, dans le nouveau testament, est consacré aux actes des apôtres, mais, chose remarquable, le livre commence dans l’inaction totale. C’est une sorte de souffrance, de renoncement personnel, d’autant plus aigüe que nous sommes entourés de dangers, de besoins. Il y a des pressions financières, un monde à évangéliser, une vie conjugale à sauver, un monde qui nous observe et auquel il faut bien montrer que ce christianisme que nous professons est authentique. Cependant, après une expérience personnelle extrêmement intense auprès de Jésus trois années durant, après avoir été instruits sur le royaume pendant quarante jours par le Seigneur ressuscité, voilà qu’il était demandé aux disciples d’attendre.

Jésus le savait bien : La tâche qui les attendait était trop importante pour qu’ils s’en acquittent en comptant sur leurs connaissances et sur leur expérience. Il leur dit d’attendre une puissance, moins pour pouvoir « donner leur témoignage » que pour être des témoins (Actes 1 v. 8). Cette nécessité d’être est toujours plus importante et plus exigeante que la nécessité de faire.

Jésus a instruit ses disciples au sujet du Royaume pendant autant de jours que la pluie tomba lors du séjour de Noé dans l’arche. Ecouter Jésus en personne enseigner sur le royaume, c’est peut-être moins une école qu’un baptême, par lequel toutes nos idées sur le Royaume, sur l’église et sur le témoignage sont submergées sous les eaux et évacuées. Si nous pouvions recevoir cet enseignement-là, nous serions bien plus disposés à attendre : nous serions incapable de faire autre chose que d’attendre la puissance d’en haut.

 

Arthur Katz et Paul Volk - « L'Esprit de vérité »

Des brebis affamées.

« Il me fait reposer dans de verts pâturages ... » (Psaume 23 v. 2).

Dans un songe, je voyais des brebis qui étaient très maigres et qui se trouvaient dans un enclos, où il n'y avait pas d'herbe. Et le Seigneur me disait : « Je veux emmener ces brebis dans de verts pâturages, mais elles n'entendent pas ma voix. Cela vient de ce qu'elles se sont trop habituées à la voix des hommes. Mais ces hommes ne sont pas aptes à emmener mes brebis dans de verts pâturages, et d'ailleurs, aucun homme n'est apte à le faire. Pour emmener mes brebis dans de verts pâturages, il faut être un avec moi, comme je suis un avec mon Père. Mais beaucoup de bergers s'appuient sur eux-mêmes au lieu de s'appuyer sur moi, qui suis le bon berger. Il n'y a que moi qui sois en mesure de conduire mes brebis, l'homme livré à lui-même en est incapable ».

Ce que je ressentais, c'est que le problème de ces brebis ne venait pas de la bergerie. Mais des brebis elle-même, parce qu'elles ne suivaient plus le bon berger (Jean 10 v. 27 à 30) : « Mes brebis entendent ma voix ; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous ; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père. Moi et le Père nous sommes un ».

Elles n'étaient pas affamées, ou plutôt, elles étaient résignées, elles ne voyaient pas la nécessité de chercher le Seigneur, elles préféraient suivre des hommes, car c'est plus facile de suivre ce qu'on voit. 2 Corinthiens 5 v. 7 : « car nous marchons par la foi et non par la vue ». Et si elles étaient résignées à écouter l'homme, c'était parce qu'elles étaient devenues tièdes. Apocalypse 3 v. 16 : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche ».

Mais le point sur lequel le Seigneur voulait mettre l'accent, c'est que les brebis ne cherchaient pas le bon berger. Jean 10 v. 11 : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis ». En fait, ce que je comprends, c'est que les brebis ont besoin de se retrouver dans une bergerie, c'est évident, mais leur regard doit être fixé sur le grand berger, et non sur les bergers. Les bergers sont justes établis sur le troupeau pour, justement, apprendre aux brebis de suivre le grand berger. Prenez l'exemple les chiens de berger, ils conduisent les brebis à suivre le berger, pour qu’elles ne s’égarent pas.

 

Jean (un songe)

Le véritable Évangile.

« ....la croix de notre Seigneur Jésus-Christ, par qui le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde » (Galates 6 v. 14).

Nous avons impérativement besoin de retrouver le véritable Evangile : non pas un Dieu « Maître d'hôtel » à notre service, mais nos vies entièrement livrées entre ses mains dans une pleine confiance, dans une totale dépendance. Mais le gros problème, c'est qu'il y a du laxisme chez beaucoup de chrétiens : on obéit quand cela ne nous dérange pas trop, quand cela ne touche pas à nos droits, à notre liberté, à notre indépendance. Il ne sert à rien de parler d'engagement, de consécration, ou de vouloir être au service de Dieu si nous ne sommes pas prêts dans notre vie chrétienne à envisager la possibilité de rencontrer les problèmes les plus difficiles à résoudre ! Si nous espérons tirer le plus grand profit de la vie présente, au même titre que les païens, c'est que nous n'avons rien compris. L'apôtre Paul pouvait dire : « C'est par beaucoup de tribulations qu'il nous faut entrer dans le royaume de Dieu » (Actes 14 v. 22).

Dieu a besoin d'un peuple capable de se discipliner, d'endurer l'ardeur de la chaleur de l'épreuve quand elle vient, ou l'intensité du froid face à l'horreur, ou encore d'endurer la faim quand il y a privation de nourriture, et de ne pas se laisser assoupir par l'abondance quand il y a abondance. Dieu a besoin d'un peuple qui soit fort pour qu'il se laisse former, pas d'un peuple qui refuse toute contrainte !

L'Esprit de Dieu cherche des gens de tous âges, qui acceptent d'abdiquer de tous leurs droits pour laisser Jésus-Christ régner sur eux, des personnes attentives, disponibles, qui acceptent la formation de Dieu. Oui, Dieu cherche des personnes qui acceptent de se détacher du monde, qui prennent du temps pour prier et méditer, des personnes qui sont prêtes pour la pluie de l'arrière-saison.

 

Pierre Truschel - 1940-2003

Grâce à l'affliction.

« Lorsqu'il fut en particulier, ceux qui l'entouraient avec les douze l'interrogèrent » (Marc 4 v. 10).

Quand Dieu nous a fait enfin atteindre la solitude, grâce à l'affliction, au désespoir, à l'épreuve, à la maladie, par la rupture d'une vieille amitié ou la formation d'une amitié nouvelle ; quand enfin nous sommes seuls, absolument seuls, brisés et confondus, alors il commence à nous expliquer ce qu'il faut que nous sachions. Considérez la manière dont Jésus faisait l'éducation des douze. Ils lui posaient bien plus de questions que la foule. Ils le pressaient de questions, et lui ne se lassait pas de leur répondre. Mais ils n'ont vraiment compris qu'après avoir reçu le Saint-Esprit.

« Mais le consolateur, l'Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit » (Jean 14 : 26).

Si vous marchez avec Dieu, la seule chose qui vous apparaît clairement, la seule chose dont Dieu veut que vous la voyiez clairement, c'est la manière dont il s'y prend pour conduire votre âme. Quant aux tristesses, quant aux perplexités de votre prochain, tout cela n'est pour vous que pénombre et mystère. Nous nous imaginons que nous savons où est tel ou tel de nos frères, jusqu'à ce que Dieu nous administre, comme une noire potion, la vision de notre propre corruption.

Il y a en nous d'épaisses couches d'obstination et d'ignorance que le Saint-Esprit peut seul nous révéler, et il ne peut le faire tant que Jésus ne nous a pas là, devant lui, seul à seul. Regardez bien : êtes-vous parvenu à cette solitude, ou bien votre esprit est-il sans cesse occupé de mille futilités encombrantes, relatives à votre santé, à votre extérieur, à vos petites activités, soi-disant au service de Dieu ? Jésus ne peut rien nous expliquer, tant que nous n'avons pas fait taire tout ce tintamarre, tant qu'il n'est pas seul avec nous.

 

Oswald Chambers - 1874-1917

L’Esprit oui, mais pas sans la Parole.

« Fortifie toi seulement et aie bon courage, en agissant fidèlement selon toute la loi… ne t'en détourne ni à droite ni à gauche… Que ce livre de la loi ne s'éloigne point de ta bouche ; médite le jour et nuit, pour agir fidèlement selon tout ce qui y est écrit… » (Josué 1 v. 7 et 8).

Le chemin le plus difficile, celui qui nous mène aux plus rudes combats, celui qui n’est que le chemin de la victoire et du repos, qui nous fait avancer profondément dans la connaissance de Dieu, c’est le chemin dans lequel nous sommes en pleine communion avec la Parole Dieu. C'est Elle, vivifiée par le Saint-Esprit, qui est la source de toute joie ; ce sont les arrhes et l’avant-goût du bonheur éternel et infini. L’Éternel exhorte Josué à l’étude assidue de ce Livre de la loi, « c'est alors que tu auras du succès dans tes entreprises, c'est alors que tu réussiras » (Josué 1 v. 8).

Voilà donc les deux grands principes de la vie chrétienne et de l’activité spirituelles : l° La présence assurée de la toute puissance de Dieu, de sorte que rien ne pourra subsister devant son serviteur ; 2° la réception de sa Parole ; l’obéissance et la soumission à sa Parole ; l’étude assidue de sa Parole, la prenant pour guide absolu du chemin, ayant le courage de le faire sans contestation aucune, à cause de la promesse et de l’exhortation de Dieu.

En un mot, l’Esprit et la Parole sont le tout de la vie spirituelle. Munie de cette force, la foi va en avant, fortifiée par la parole encourageante de notre Dieu. Dieu a un chemin dans le monde où Satan ne peut nous atteindre : « Regarde et fait d’après le modèle qui t’est montré sur la montagne » (Exode 25 v. 40).
C’est le chemin où Jésus a marché. Satan est le prince de ce monde, mais il y a un chemin divin pour le traverser et il n’y en a pas d’autre. C’est là qu’est la puissance de Dieu. La Parole en est la révélation. Ce fut ainsi que le Seigneur lia l’homme fort.

 

John Nelson Darby - 1800-1882

Un esprit brisé.

« Les sacrifices qui sont agréables à Dieu, c'est un esprit brisé : O Dieu ! tu ne dédaignes pas un cœur brisé et contrit » (Psaume 51 v. 17).

Il existe deux erreurs à éviter : la dictature et l'absence de loi. Les églises non organisées permettent généralement un lien plus étroit dans la communion fraternelle que celles qui sont organisées. Les sectes commencent généralement par un effort honnête à préserver et restaurer quelque vérité perdue de longue date, mais elles finissent dans la division. L'histoire se répète. Aucune institution religieuse n'a jamais pu se rétablir après avoir perdu son « premier amour ». Ressembler à Jésus est la norme que Dieu a établie pour nous. Si le ciel est réel, nous devrions le vivre, cela produira la Pentecôte. L'esprit humain est trop souvent dominateur, tandis que l'amour et l'humilité sont vêtus de loques et sont assis sur le bord de la route en train de mendier. Le péché et la chair tueront toute Pentecôte.

Nous avons besoin de la sainteté du cœur. C'est une erreur vitale que de substituer la lumière à la chaleur. « La connaissance enfle, mais l'amour édifie » (1 Corinthiens 8 v. 1). Relisons 1 Corinthiens 13 une fois encore. La foi obtient tout, l'amour est ce qui fonctionne le mieux, l'humilité est ce qui nous garde le mieux.

La vision de Dieu vient chez les hommes humbles. Celui qui cherche à laisser son empreinte et à faire des choses sublimes va à l'échec. Celui qui se pose lui-même en conscience est un perdant. Laissez l'égo faire intrusion et tout se corrompt. L'excellence est proportionnelle à l'oubli de soi. Celui qui se nourrit de compliments a perdu Dieu. La conscience de soi-même doit partir. Nous sommes trop conscients d'autrui, nous avons besoin de la conscience de Dieu. L'infaillibilité, et non l'humilité, donne lieu à des créatures déchues. L'infaillibilité est le sommet que Satan tend comme proposition à l'homme. Nous devons expérimenter la plus profonde repentance et l'humilité ainsi que nos propres fragilité et faiblesse avant de connaître la force de Dieu. Les armes qui dégainent disparaissent hors de vue après l'éclat du feu, de la même façon devons-nous aussi passer par le feu, pour notre sécurité. Nous avons besoin d'être brisés.

 

Frank Bartlemen - 1871-1935

Froid ou bouillant ?

« Puisses-tu être froid ou bouillant ! » (Apocalypse 3 v. 15).

Le zèle est un élément contagieux mais pas populaire. Nos pères prenaient leur thé brûlant ; nous le prenons, quant à nous, glacé. Le christianisme glacé est plus populaire et a plus de saveur que le thé glacé. Nous pouvons supporter dans nos églises juste assez de chaleur pour calmer les frissons, mais pas plus, sinon cela devient offensif. Nous avons ajouté de bonnes choses dans nos prédications, mais celles-ci ne remédieront pas au manque de ferveur. Une flamme tremblotante détruit les forces agressives vitales dans la vie de l'Eglise. Dieu doit être représenté par une Eglise remplie de feu ou alors il n'est pas représenté véritablement. Dieu est entièrement en feu, et l'Eglise, si elle était comme lui, doit aussi être enflammée d'un grand et éternel intérêt pour la religion. Christ était aussi loin que possible de l'excitation nerveuse, tout à fait à l'opposé du zèle bruyant et intolérant, et pourtant le zèle de la Maison de Dieu le consumait.

Le manque d'ardeur dans la profession ou l'action chrétienne est un signe certain d'un manque de profondeur et d'intensité. Le manque de feu est un signe certain d'un manque de la présence de Dieu. Dieu peut tolérer beaucoup de choses relatives à l'infirmité ou à l'erreur. Il peut pardonner pleinement quand quelqu'un est repentant, mais deux choses lui sont intolérables, ce sont la fausseté et la tiédeur : « Puisses-tu être froid ou bouillant ! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche » (Apocalypse 3 v. 15 et 16).

Le feu est le moteur qui anime la vie chrétienne. Les principes chrétiens qui ne sont pas oints de feu n'ont ni force, ni parfum. La flamme constitue des ailes avec lesquelles la foi effectue son ascension, et la ferveur est l'âme de la prière. Elle s'embrase dans le feu. Le christianisme ne peut s'accommoder de rien si ce n'est d'une flamme faible. Le caractère chrétien a besoin de s'affirmer dans le feu. Le manque de chaleur produit plus d'infidèles que le manque de foi. Ne pas être ardemment enflammé pour les choses célestes, c'est ne pas les vouloir du tout. Les âmes enflammées sont celles qui remportent des victoires dans le combat céleste.

 

E.M. Bounds - 1835-1913

Connaître Dieu que par l’Esprit Saint.

« ...Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies... » (Ésaïe 55 v. 8).

Nous sommes dans une longue période, au cours de laquelle l’Église évangélique s’est précipitée sur la psychologie pour avoir une certaine aide. Ne sachant pas que la psychologie chrétienne ne dispose d’aucune technique pour sonder tout ce qui, dans le christianisme, relève de la sphère divine. Il y a une énorme différence entre la connaissance intellectuelle au sujet de Dieu et la connaissance révélée par l’Esprit.

Il est possible d’avoir grandi dans une église, d’avoir suivi l'école du dimanche, de s’être soumis, dans les limites du raisonnable, à tous les rites, pratiques et cérémonies existants. Mais quand nous avons fait tout cela, nous pouvons ne pas connaître Dieu du tout. Dieu, en effet, ne peut se connaître au moyen de toutes ces choses extérieures. Nous sommes aveugles et empêchés de voir, car l’homme ne peut connaître les choses de Dieu, si ce n’est par l’Esprit de Dieu.

Le Saint-Esprit a dit, par l’intermédiaire de Paul : « …personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n’est l’Esprit de Dieu » (1 Corinthiens 2 v. 11). Dieu se connaît lui-même, et le Saint-Esprit connaît Dieu parce que le Saint-Esprit est Dieu ; et aucun homme ne peut connaître Dieu que par l’Esprit Saint. L’homme qui ne tient aucun compte de cette vérité exclut totalement les choses spirituelles de sa compréhension.
Dieu nous a donné un esprit pour le comprendre, lui, et une intelligence pour comprendre la théologie, cela fait toute une différence ! « Dieu nous les a révélées par l’Esprit » (1 Corinthiens 2 v. 10).

Les choses spirituelles ne peuvent se comprendre par l’œil, ni par l’oreille, et elles ne peuvent pas même être comprises par l’intelligence. C’est le Saint-Esprit qui les révèle, « car l’Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu » (1 Corinthiens 2 v. 10).

 

Aiden W. Tozer - 1897-1963

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Le manque de victoire chez le chrétien, provient, en très grande partie, du manque d'union vivante avec Christ crucifié et ressuscité. Si un chrétien ne désire rien de plus que le pardon de ses péchés, il se dessèche...
Revenons à la croix dans la lumière que l’Esprit nous donnera, ce fut là tout le secret de vie de Christ, et de ces auteurs proposés.

Tous ces serviteurs, vivant maintenant dans la gloire, nous attendent ; et à travers tous leurs écrits, ils nous font de grands signes. Ils continuent à nous inciter à revenir à l'essentiel et à nous recentrer sur Christ lui-même.

Bien que l’homme ait toujours échoué pour garder ce que Dieu lui avait confié, Dieu est toujours fidèle et miséricordieux ; il se souvient de ses promesses et il se maintient toujours un témoignage. C’est ce que nous révèle l’étude des « vainqueurs » dans l’Écriture. Le Seigneur recherche des « vainqueurs », qui écouteront sa voix et qui laisseront le Royaume de Dieu s'établir dans leur vie. Ce sont eux qui constituent le vrai « reste » de l’Église, à chaque période de son histoire. 
 
« Sachez donc apprécier de tels hommes ! »
1 Corinthiens 16 v. 18

 

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