Édification Chrétienne"Les Anciens Sentiers"
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En nous l’Esprit œuvre.
« Que votre esprit tout entier, votre âme, votre corps, tout votre être, soit conservé irréprochable » (1 Thessaloniciens 5 v. 23).
« Votre esprit tout entier ». La grande action mystique du Saint-Esprit se fait dans les régions obscures de notre personnalité, que nous ne pouvons atteindre. Le psaume 139 peut se résumer ainsi : « Tu es le Dieu de l’aurore, et le Dieu de la nuit ; le Dieu des sommets, le Dieu des abîmes. Mais mon âme, ô Dieu, a des horizons plus lointains que l’aurore, des ténèbres plus épaisses que la nuit, des sommets plus hauts qu’aucune montagne, des abîmes plus profonds qu’aucun océan. Dieu de toute la nature, sois mon Dieu. Ce qui est en moi me dépasse en tout sens : mes mobiles, mes impulsions, mes rêves m’échappent, O mon Dieu, sonde-moi ».Avons-nous compris que Dieu peut garder pure notre imagination bien au delà de notre pensée consciente ? « Le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché » (1 Jean 1 v. 7). S’il ne s’agissait là que de notre pensée claire et distincte, nous serions bien à plaindre. Le péché rend notre pensée obtuse ; aussi n’en avons-nous pas conscience. La purification de notre âme doit atteindre ses plus lointaines régions, si nous voulons demeurer dans la lumière, comme Dieu est dans la lumière.
Alors le même Esprit dont la force animait Jésus nourrira notre esprit. C’est quand Dieu met en nous ce gardien formidable, l’Esprit de sainteté, c’est seulement alors qu’en nous l’esprit, l’âme et le corps, sont conservés irréprochables, sans que Dieu puisse réprouver, jusqu’à la venue de Jésus lui-même.
Ces grandes vérités, qui nous viennent de Dieu, savons-nous y faire attention ?
Oswald Chambers - 1874-1917
Les yeux qui s’ouvrent.
« ...afin que tu leur ouvres les yeux... pour qu'ils reçoivent » (Actes 26 v. 18).
Je ne connais aucun verset dans tout le Nouveau Testament qui résume en un raccourci plus grandiose, ce que doit être le message d’un disciple de Jésus-Christ.L’œuvre souveraine de la grâce divine, c’est d’abord ceci : « Afin qu’ils puissent recevoir le pardon de leurs péchés ». Quand un homme n’arrive pas à la véritable vie chrétienne, c’est presque toujours qu’il n’a jamais rien reçu dans ce domaine. Un homme n’est jamais sauvé que s’il a reçu directement quelque chose de Jésus-Christ. Notre fonction à nous, les ouvriers de Dieu, c’est d’ouvrir les yeux des gens, pour qu’ils se tournent des ténèbres vers la lumière. Mais ce n’est pas encore là le salut complet. C’est seulement la conversion, l’effort de l’âme qui se réveille. Je ne crois pas exagérer en disant que la majorité des chrétiens de nom sont comme cela. Leurs yeux se sont ouverts, mais ils n’ont rien reçu. La conversion - on l’oublie trop aujourd’hui - n’est pas la régénération. Quand un homme est vraiment né de nouveau, il sait bien que cela ne vient pas de lui, mais que c’est un don qu’il a reçu de la main du Tout-Puissant. Les gens prennent des engagements, signent des promesses, sont décidés à tenir jusqu’au bout, mais rien de tout cela ne peut les sauver. Le salut suppose que nous sommes en mesure de recevoir directement de Dieu, grâce à Jésus-Christ, le pardon de nos péchés.
Après cela vient l’autre œuvre souveraine de la grâce divine : « L’héritage promis à ceux que Dieu lui-même a sanctifiés ». Grâce à la sanctification l’âme régénérée abandonne à Jésus-Christ tous ses droits sur elle-même, et ne s’intéresse plus qu’aux desseins de Dieu en faveur des hommes.
Oswald Chambers - 1874-1917
Être seul avec Dieu.
« Il ne leur parlait point sans parabole ; mais, en particulier, il expliquait tout à ses disciples » (Marc 4 v. 34).
Jésus ne peut pas toujours nous prendre à part et nous expliquer ce que nous ne comprenons pas : il est forcé de tenir compte de ce que nous pouvons comprendre à un moment donné. Les vies des autres sont pour nous des paraboles, grâce auxquelles Dieu nous fait déchiffrer peu à peu le contenu de nos propres âmes. C’est un long travail : Dieu a besoin de toute l’éternité pour façonner à sa guise un homme ou une femme. Notre rôle à nous est simplement de permettre à Dieu de nous conduire à travers tous les replis tortueux de notre personnalité.Notre ignorance de nous-mêmes est fantastique. Nous ne voyons pas ce qui crève les yeux, notre jalousie, notre paresse, notre orgueil. Jésus nous révèle le triste contenu de notre triste personne, tout ce qu’elle recelait en elle avant que sa grâce ait commencé d’agir en nous. Qui sont ceux qui ont appris à se regarder avec courage ?
Il faut nous débarrasser de l’idée, du préjugé tenace, que nous nous comprenons nous-mêmes. Dieu seul nous comprend. Cette suffisance instinctive est le ver rongeur de notre vie spirituelle. Pour peu que nous ayons pu entrevoir ce que nous sommes aux yeux de Dieu, nous ne parlerons plus jamais de notre grande indignité, parce que nous savons qu’elle existe, et qu’elle est inexprimable. Tant que nous ne sommes pas convaincus de notre indignité, Dieu pèsera sur nous pour nous arracher à nous-mêmes. Tant que persiste notre suffisance, Jésus ne peut rien nous expliquer. Il lui faut frapper à mort notre orgueil, mettre à nu nos attachements coupables. Il faut, pour que Dieu nous parle, la solitude du dépouillement.
Oswald Chambers - 1874-1917
Grâce à l'affliction.
« Lorsqu'il fut en particulier, ceux qui l'entouraient avec les douze l'interrogèrent » (Marc 4 v. 10).
Quand Dieu nous a fait enfin atteindre la solitude, grâce à l'affliction, au désespoir, à l'épreuve, à la maladie, par la rupture d'une vieille amitié ou la formation d'une amitié nouvelle ; quand enfin nous sommes seuls, absolument seuls, brisés et confondus, alors il commence à nous expliquer ce qu'il faut que nous sachions. Considérez la manière dont Jésus faisait l'éducation des douze. Ils lui posaient bien plus de questions que la foule. Ils le pressaient de questions, et lui ne se lassait pas de leur répondre. Mais ils n'ont vraiment compris qu'après avoir reçu le Saint-Esprit.
« Mais le consolateur, l'Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit » (Jean 14 : 26).
Si vous marchez avec Dieu, la seule chose qui vous apparaît clairement, la seule chose dont Dieu veut que vous la voyiez clairement, c'est la manière dont il s'y prend pour conduire votre âme. Quant aux tristesses, quant aux perplexités de votre prochain, tout cela n'est pour vous que pénombre et mystère. Nous nous imaginons que nous savons où est tel ou tel de nos frères, jusqu'à ce que Dieu nous administre, comme une noire potion, la vision de notre propre corruption.
Il y a en nous d'épaisses couches d'obstination et d'ignorance que le Saint-Esprit peut seul nous révéler, et il ne peut le faire tant que Jésus ne nous a pas là, devant lui, seul à seul. Regardez bien : êtes-vous parvenu à cette solitude, ou bien votre esprit est-il sans cesse occupé de mille futilités encombrantes, relatives à votre santé, à votre extérieur, à vos petites activités, soi-disant au service de Dieu ? Jésus ne peut rien nous expliquer, tant que nous n'avons pas fait taire tout ce tintamarre, tant qu'il n'est pas seul avec nous.
Oswald Chambers - 1874-1917
Demeurez en Christ
vous qui êtes venus à lui.
« Venez à moi... » (Matthieu 11 v. 28) ; « Demeurez en moi... » (Jean 15 v. 4).
C'est à tous ceux qui ont entendu le premier appel de Jésus : « Venez à moi », et y ont prêté l'oreille, que s'adresse cette nouvelle invitation du Sauveur : « Demeurez en moi ». Jamais nous ne nous sommes repentis d'être venus à Jésus ; nous avons éprouvé qu'il est fidèle dans ses promesses ; il nous a accordé un pardon complet et gratuit : il nous a rendus participants de la joie et des bénédictions de son amour et nous avons trouvé auprès de lui beaucoup plus que nous ne l'espérions. Néanmoins, avec le temps, les désappointements sont venus ; les bénédictions dont nous avions tant joui d'abord n'ont pas duré ; la joie et l'amour qui avaient rempli nos cœurs à notre première rencontre avec le Sauveur, loin d'augmenter, ont peu à peu disparu. Et nous nous sommes demandé pourquoi.
La réponse est simple : nous nous sommes éloignés de Christ. Les bénédictions qu'il promet sont étroitement liées à ce « venez à moi », et ne peuvent être goûtées que dans une communion intime avec lui.
« Demeurez en moi », dit Jésus, et non seulement avec moi. Il veut établir entre lui et nous une communion de la nature la plus intime ; il veut nous rendre participants de sa vie divine. Venus à lui, nous devons demeurer en lui. Les mêmes motifs qui nous ont poussés à nous approcher, nous pressent maintenant de demeurer. La crainte du péché et de la malédiction qu'il entraîne, le sentiment de lassitude et le désir d'être libérés des liens du péché pour être rendus saints et purs et trouver le repos de nos âmes, le besoin de connaître l'amour infini : toutes ces choses qui nous ont amenés à Jésus doivent nous retenir auprès de lui ; car ce n'est qu'en demeurant en lui que nous conservons le pardon reçu et que nos âmes altérées seront rassasiées.
Andrew Murray - 1828-1917
La première promesse de la Bible.
« Et je mettrai inimitié entre toi et la femme ; entre ta postérité et la postérité de la femme ; cette postérité t'écrasera la tête, et tu la blesseras au talon » (Genèse 3 v. 15).
Telle est la première promesse faite à l'homme tombé. À Elle seule elle contient l'Évangile tout entier et exprime l'essence même de l'alliance de grâce. Nous la voyons déjà accomplie dans une grande mesure : la semence de la femme a été blessée au talon en la personne de Jésus-Christ et de quelle terrible blessure !
Combien terrible aussi sera l'écrasement final de la tête du serpent ! Cette prophétie a été virtuellement accomplie une première fois quand Jésus a porté le péché de l'humanité, vaincu la mort et brisé la puissance de Satan elle le sera pleinement et définitivement lors de la seconde venue du Seigneur et au jour du jugement final. Mais, en outre, cette déclaration se réalise pour chacun de nous en particulier : blessés au talon nous le sommes par les tourments que les puissances malignes nous infligent tous les jours, souffrances dont nous pouvons toujours triompher en Christ qui a posé son pied sur la tête du serpent.
Pendant tout le cours de cette année, nous aurons à en faire l'expérience devant les tentations du malin et les attaques des impies qui sont sa semence. Saisissons donc la victoire promise et réjouissons-nous d'avance dans l'assurance que nous régnerons avec Christ, postérité de la femme.
Charles Spurgeon - 1834-1892
Dieu regarde le sang.
« … je verrai le sang, et je passerai par-dessus vous... » (Exode 12 v. 13).
Pour nous, voir le précieux sang de Christ est une consolation et une douceur ; il faut aussi, pour notre sûreté, que Dieu le voie. Or, même quand je suis incapable de le contempler, il le regarde et passe sur moi à cause du sang. Et, si dans ce sang, je ne trouve pas toute l’assurance que je pourrais et devrais avoir, parce que ma vue est trouble, je n’en suis pas moins en complète sécurité, car l’œil du Seigneur n’est pas trouble. Et cet œil est constamment fixé sur le sanglant sacrifice.
Quel sujet de joie pour nous ! Dieu connaît la plénitude infinie et le sens profond cachés en cette mort. Il a toujours devant lui ce mémorial de la justice satisfaite et de ses attributs admirables ainsi glorifiés. En contemplant la création dans son développement, il reconnut que « cela était très bon » (Genèse 1 v. 31). Que dira-t-il devant la rédemption dans son complet achèvement, devant l’obéissance, même jusqu’à la mort de son Fils bien aimé ?
Comment décrire avec quelle affection il regarde Jésus se présentant lui-même, comme victime sans tache, en sacrifice d’agréable odeur ? C’est pourquoi nous restons dans une calme sérénité, car le sacrifice et la Parole de notre Dieu nous donnent une parfaite assurance.
Comme l’ange sur les maisons des Hébreux, il passera aussi sur nous, puisqu’il n’a pas épargné notre glorieux substitut. La justice et l’amour joignent leurs mains pour donner un salut éternel à tous ceux qui sont sous l’aspersion du sang.
Charles Spurgeon - 1834-1892
Sur l'expression : « Dieu m'a dit... ».
« ...je ne les ai pas envoyés, je ne leur ai pas donné d’ordre, je ne leur ai point parlé... » (Jérémie 14 v. 14).
Il existe dans l’Eglise un tragique malentendu à ce sujet. La phrase que l’on entend le plus souvent dans les cercles chrétiens de nos jours, c’est : « Dieu m’a dit », alors que Dieu n’a pas parlé du tout. De nombreux prétendus prophètes commencent presque toujours leurs discours par ces mots : « ainsi parle le Seigneur ! »
Dans notre cœur, de nombreuse voix se font entendre et toutes prétendent être la voix de Dieu ! Si vous faites confiance à l’une quelconque de ces voix sans la mettre à l’épreuve de la Parole de Dieu, vous risquez fort d’être induit en erreur. Il y a la voix de la chair, la voix de notre propre volonté, la voix de l’ennemi et la voix du monde, elle sont toutes douces et agréables, et promettent toutes que c’est Dieu lui-même qui parle par elles. Beaucoup sont convaincus que c’était la voix de Dieu, alors qu’il ne s’agissait que d’un désir de leur cœur qui prétendait être la voix de Dieu.Dieu dit : « Je n’ai pas envoyé ces prophètes, et ils ont couru, je ne leur ai point parlé, et ils ont prophétisé… » (Jérémie 23 v. 21) ; « Jusques à quand ces prophètes auront-ils à cœur de prophétiser la fausseté, de prophétiser la tromperie de leur cœur… » (Jérémie 23 v. 26) ; « ... ils ne sont d’aucune utilité à ce peuple, oracle de l’Eternel... » (Jérémie 23 v. 32) ; « ...vous tordez les paroles du Dieu vivant… » (Jérémie 23 v. 36).
Prenons garde de bien discerner la source de tout ce que nous entendons proclamer au milieu du peuple de Dieu. Éprouvons toute chose à la lumière de la Parole et du Saint-Esprit, afin de ne pas être emporté à tout vent de doctrine : « Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit ; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde » (1 Jean 4 v. 1). Que votre cœur soit affermi par la grâce de Dieu.
David Wilkerson - 1931-2011
À la conquête de la victoire.
« Le Dieu de paix écrasera bientôt satan sous vos pieds » (Romains 16 v. 20).
Voici la promesse qui vient compléter celle que nous avons lue la dernière fois. La conformité avec notre divin modèle ne doit pas se manifester pour nous par la blessure au talon seulement, mais aussi par la victoire sur le malin. C'est sous notre pied que le dragon doit être écrasé. La congrégation de Rome était affligée par des luttes intérieures, mais Dieu, le Dieu de paix, leur donnait le repos de l'âme.
Le vieil ennemi réussissait peut-être à faire broncher ceux qui n'étaient pas sur leur gardes et à séduire les simples : mais en définitive, il devait lui-même être foulé aux pieds par ceux qu'il avait troublés. Cette victoire, le peuple de Dieu ne l'obtient ni par sa force ni par son adresse ; Dieu lui-même se réserve d'écraser Satan ; c'est sous nos pieds qu'il doit être brisé, mais c'est l'Éternel qui le brise : « Ce n'est ni par la puissance ni par la force, mais c'est par mon esprit, dit l'Eternel des armées » (Zacharie 4 v. 6).
Marchons courageusement sur le tentateur, et non seulement les esprits malins, mais le prince des ténèbres lui-même s'enfuiront devant nous. Comptons sur une prompte victoire, en gardant une confiance inébranlable en notre Dieu. « Bientôt », heureuse perspective, nous mettrons notre pied sur le serpent ancien ! La puissance du mal sera renversée et Satan aura la tête honteusement écrasée sous le pied de l'homme. Par la foi en Jésus, mettons donc dés maintenant le pieds sur le tentateur.
Charles Spurgeon - 1834-1892
L'intoxication par le rock.
« ...tu as rendu impur mon sanctuaire par toutes tes choses exécrables et par toutes tes abominations... » (Ézéchiel 5 v. 11).
Dieu est en train de dire quelque chose de très puissant à tous ceux qui voudront l’écouter. Il regarde ce que vous êtes devenus, pas seulement ce que vous chantez. Qu’en est-il de vous, chanteurs, musiciens et orchestres ? Êtes-vous vraiment brisés devant le seigneur et passez-vous des heures dans sa sainte présence pour permettre au Saint-Esprit de sonder profondément les recoins cachés de votre cœur ? Invoquez-vous son nom ? Scrutez-vous assidûment sa parole ? Lui obéissez-vous en toutes choses, dans votre vie ?
Êtes-vous absolument certains que ce que vous faites sur scène est édifiant et saint et que cela contribue à exalter Christ ? Ou bien n’êtes-vous intéressés qu’à vous nourrir des applaudissements, exciter les jeunes et obtenir une réaction fracassante en réponse à votre talent ? Vos spectacles sont-ils un étalage de la chair ? Jésus vous sert-il de marchepied pour parvenir au succès profane ? Avez-vous vu Jésus assis au premier rang ? Pourrait-il assister à tout vos spectacles ? Au cours des derniers mois, même les plus ardents défenseurs du rock ont été révoltés par ce qu’on appelle le « rock punk chrétien ». « Ils sont allés trop loin. Ils dépassent les bornes ! » Disent-ils. Mais à quoi vous attendiez-vous donc ? Où croyiez-vous que cela allait s’arrêter ? Eh bien ! Tout cela résulte en une ridicule, outrageantes et flagrante imitation de l’enfer même. Il s’agit du même arbre, et le Saint-Esprit n’a fait que dévoiler les racines de cet arbre de façon à ce que son fruit puisse être clairement identifié. « Ne déplace pas la borne ancienne, que tes pères ont posée » (Proverbes 22 v. 28).
Si nous décidons de nous tenir avec Dieu, nous devrions alors prendre position contre le rock, prier pour qu’il disparaisse. Nous devons exhorter tout responsable, tout musicien, tout orchestre ou toute station de radio chrétienne qui continue à le promouvoir, à « ...distinguer ce qui est saint de ce qui est profane, ce qui est impur de ce qui est pur... » (Lévitique 10 v. 10).
David Wilkerson - 1931-2011