Suite à notre salut, nous arrivons à une deuxième étape où nous comprenons que la mort de Christ entraîne, d’un côté, le dépouillement de l’ancienne vie, et, de l’autre côté, une plénitude dans la vie de résurrection de Christ.
Pour que le service de Dieu soit, immédiatement et pleinement, aussi fructueux et efficace qu'il peut l'être, il est essentiel que sa nature soit clairement définie.
« Ils lui dirent donc, que ferons-nous pour faire les œuvres de Dieu ? Jésus répondit et leur dit, c’est ici l’œuvre de Dieu, que vous croyiez en celui qu’il a envoyé...
Ce que je souhaite que vous constatiez maintenant, c'est qu'il y avait un certain nombre de géants - apparemment de la famille du géant, Goliath.
Le Seigneur Jésus fut rendu parfait dans ses souffrances en tant que Fils de l’homme. Il était parfait, sans péché et cependant il nous est dit qu’il fut perfectionné par les souffrances.
« Dieu ayant autrefois parlé à nos pères, à plusieurs reprises et de différentes manières, par les prophètes, il nous a parlé en ces derniers temps par son fils...
L’épître aux Hébreux semble prédominante. Nous sommes ici en présence de clauses qui sont des clés pour la lettre mais aussi des clés pour quelque chose de bien plus grand que cette lettre.
L'expression « en l'Esprit » apparaît dans le livre de l'Apocalypse. Cela représente la voie d'échappée pour le peuple du Seigneur dans des conditions d'oppression qui les pressent ici-bas.
Débarrassons-nous de tout schéma préétabli et reconnaissons que le corps de Christ est l’union d’esprits renouvelés habités par le Saint-Esprit.
La relation entre la vie de l’Esprit et le plan de Dieu à propos de l’Église, c’est-à-dire la représentation de Dieu dont nous parlons n’est pas seulement individuelle mais commune et collective.