A quoi ressemble Dieu ? Quel genre de Dieu est-Il ? Quelle attitude pouvons-nous attendre de Lui envers nous et toutes les créatures ? De telles questions ne sont pas purement académiques.
Il faut donc que l’amour prenne les devants, se dépouille de l’entendement ; que l’âme aime son Dieu pour ce qu’Il est, et non pour ce que son imagination lui en présente.
Entretenir une vision correcte de Dieu, non pas le Dieu des philosophes et des sages. Ceux-là qui ne Te connaissent pas vraiment peuvent entretenir de Toi une vision fausse et donc adorer à ta place une créature issue de leur propre imagination.
Cet article paru dans « The Alliance Witness » le 15 mai 1963, juste deux jours après la mort du Dr Tozer. En un sens, ce fut son discours d'adieu, car il exprime la préoccupation de son cœur.
La question est la suivante : Allons-nous modifier la vérité dans la doctrine et dans les pratiques afin de gagner plus d'adhérents ?
On peut considérer qu'un homme est spirituel quand il veut voir exalter l'honneur de Dieu dans sa vie, même s'il doit en souffrir temporairement un déshonneur ou une perte. Un tel homme priera ainsi : « Que Ton Nom soit sanctifié ! »
Parmi les paroles célèbres des pères de l'Église, aucune n'est mieux connue que celle d'Augustin : «Tu nous as formés pour Toi, et nos cœurs sont agités jusqu'à ce qu'ils trouvent du repos en toi.
Je ne crois pas à une répétition de la Pentecôte, mais à une continuité de la Pentecôte ; et permettez-moi de vous dire qu’il y a une grande différence entre les deux. J’aimerais vous parler d’un sujet qui est basé sur le deuxième chapitre du livre des Actes.
C'est le témoignage de Paul, un petit joyau de théologie personnelle au milieu d'une épître qui, elle, n'est pas si magnifique parce que ses correspondants, les Galates, étaient rétrogrades. Mais dans ce verset, Paul dépose un petit diamant.
« Défrichez-vous un champ nouveau ! Il est temps de chercher l'Éternel, jusqu'à ce qu'il vienne, et répande pour vous la justice (Osée 10 v. 12) ». Nous avons ici deux sortes de terres : Une terre inculte et une terre labourée par la charrue.