Tu as besoin d’un Père
Combien chacun de nous a besoin de connaître Dieu le Père tel qu’Il est, c’est-à-dire un Père! Si Jésus Son Fils est le seul Chemin, ce Chemin nous conduit à une seule destination, et cette destination est le Père !
La Bible nous révèle l’existence d’un Dieu unique, mais qui Se révèle sous trois Formes, ou trois Personnes distinctes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Notre intelligence ne peut pas pénétrer dans le mystère de la Trinité, ou plutôt de la Tri-Unité divine : « Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel, le Père, la Parole, et le Saint-Esprit, et ces trois-là sont un (1 Jean 5 v. 7) ».
L’épître aux Philippiens nous révèle clairement que Christ est égal au Père en divinité, même si le Père est plus grand que Lui en position (Jean 14 v. 28) : « Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ, lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu, mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; et ayant paru comme un simple homme, il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix. C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père (Philippiens 2 v. 5 à 11) ».
Jésus-Christ, « existant en forme de Dieu, n’a pas regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu ». On pourrait aussi traduire ce passage de la manière suivante : « Jésus-Christ, existant en forme de Dieu, n’a pas regardé le fait qu’Il était égal à Dieu comme quelque chose qu’Il devait conserver pour Lui-même ». Le mot grec traduit par « forme » signifie en fait : « ...apparence extérieure d’une personne, par laquelle celle-ci se rend visible ».
Dans Sa prière rapportée dans Jean 17, le Seigneur Jésus S’adresse à Son Père comme à une Personne clairement distincte de Lui-même. Toutefois, Il insiste sur le fait que le Père et Lui-même sont UN, et que cette unité se manifeste par le fait que le Père EST dans le Fils, et que le Fils EST dans le Père.
« Ce n’est pas pour eux seulement que je prie, mais encore pour ceux qui croiront en moi par leur parole, afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu’eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m’as envoyé. Je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, afin qu’ils soient un comme nous sommes un, moi en eux, et toi en moi, afin qu’ils soient parfaitement un, et que le monde connaisse que tu m’as envoyé et que tu les as aimés comme tu m’as aimé (Jean 17 v. 20 à 23) ».
Est-ce que nous nous rendons bien compte que Dieu notre Père aime chacun de nous exactement comme Il aime Son Fils Jésus ? Le Père aurait donc envoyé Son Fils Jésus mourir sur la croix pour UN SEUL être humain qui aurait eu besoin de salut !
Si le Seigneur prie pour que tous Ses disciples soient UN, cela ne signifie manifestement pas qu’ils vont devenir une seule personne! Il s’agit d’une unité spirituelle, qui ne supprime pas l’individualité de chaque personne composant cette unité. De même, l’unité parfaite du Père et du Fils ne supprime pas leur individualité propre. Mais cette unité parfaite se caractérise par le fait que, de toute éternité, Dieu le Père EST dans le Fils, et que Dieu le Fils EST dans le Père.
Dieu le Père VIT et EXISTE éternellement dans le Fils, tout comme le Fils VIT et EXISTE éternellement dans le Père. Ainsi, l’unité spirituelle qui existe entre tous les chrétiens nés de nouveau est due au fait que leurs esprits régénérés sont tous participants de la même nature divine, que Christ demeure en chacun d’eux, et que le Père demeure en Christ. Et c’est le Saint-Esprit, dans lequel est plongé tout le corps de Christ, qui assure cette unité.
« Car, comme le corps est un et a plusieurs membres, et comme tous les membres du corps, malgré leur nombre, ne forment qu’un seul corps, ainsi en est-il de Christ. Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit, pour former un seul corps, soit Juifs, soit Grecs, soit esclaves, soit libres, et nous avons tous été abreuvés d’un seul Esprit (1 Corinthiens 12 v. 12 et 13) ».
Il y a là quelque chose qui est difficile à comprendre intellectuellement.
Nous devons laisser le Saint-Esprit nous convaincre de cette vérité, à laquelle il nous est simplement demandé de croire. Voici encore ce que l’évangile de Jean nous révèle : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle. En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes (Jean 1 v. 1 à 4) ».
« Personne n’a jamais vu Dieu; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître (Jean 1 v. 18) ». Certains manuscrits disent : « Dieu le Fils unique, qui est dans le sein du Père… »
Ainsi, de toute éternité, Dieu le Fils est dans le sein du Père. Il est avec Dieu le Père, et Il est aussi Dieu. La vie divine est en Lui, de même que le Vie divine est aussi dans le Père : « Car, comme le Père a la vie en lui-même, ainsi il a donné au Fils d’avoir la vie en lui-même (Jean 5 v. 26) ».
Le Père et Le Fils ont en eux-mêmes la même vie divine, la même nature divine. Et si personne n’a jamais vu Dieu le Père, c’est Son Fils Jésus-Christ qui nous L’a fait connaître. C’est ce que le Seigneur Jésus dit à Ses disciples :
« Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l’avez vu. Philippe lui dit : Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit. Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père; comment dis-tu: Montre-nous le Père ? Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c’est lui qui fait les œuvres. Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi; croyez du moins à cause de ces œuvres (Jean 14 v. 6 à 11) ».
Jamais, dans toute l’histoire de l’humanité, avant la venue de Jésus, Dieu le Père n’avait pu Se manifester parfaitement tel qu’Il était. Mais c’est en la Personne de Son Fils Jésus que le Père S’est pleinement manifesté. Toutes les œuvres que le Seigneur Jésus a accomplies sur la terre, c’est le Père en Lui qui les accomplissait.
« Vous savez comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l’empire du diable, car Dieu était avec lui (Actes 10 v. 38) ».
C’est bien la volonté de notre Père de sauver, de guérir et de bénir tous les hommes, donc chaque homme en particulier (1 Timothée 2 v. 4 ; 2 Pierre 3 v. 9). Mais cela ne peut se réaliser que par la foi en Christ. Toutefois, comme le Seigneur le dit dans le passage précédent, s’Il est le chemin, et le seul chemin obligé, il est clair que ce chemin doit nous conduire au Père.
Cela signifie qu’un jour, nous connaîtrons notre Père non plus seulement au travers de notre connaissance de Jésus-Christ, mais que nous Le connaîtrons directement, face à face.
« Et j’entendis du trône une forte voix qui disait : Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu (Apocalypse 21 v. 3 et 4) ».
« Il n’y aura plus d’anathème. Le trône de Dieu et de l’agneau sera dans la ville ; ses serviteurs le serviront et verront sa face, et son nom sera sur leurs fronts (Apocalypse 22 v. 3 et 4) ».
Vers quelle glorieuse destination le Seigneur Jésus nous conduit! Dans la présence directe de notre Père céleste. Dans cette attente, tout ce que la Bible nous révèle de la nature de Jésus-Christ nous permet de comprendre quelle est aussi la nature de notre Père, afin que nous soyons en communion avec Lui dès à présent.
« Ce que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons, à vous aussi, afin que vous aussi vous soyez en communion avec nous. Or, notre communion est avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ (1 Jean 1 v. 3) ».
« En Dieu est la vie, et cette vie est aussi la véritable lumière (Jean 1 v. 4) ». Cette lumière est tout simplement l’amour divin. Et c’est aussi la vérité absolue.
« La nouvelle que nous avons apprise de lui, et que nous vous annonçons, c’est que Dieu est lumière, et qu’il n’y a point en lui de ténèbres (1 Jean 1 v. 5) ».
Marcher dans cette Lumière divine, c’est marcher dans l’Amour divin.
« Celui qui dit qu’il est dans la lumière, et qui hait son frère, est encore dans les ténèbres. Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et aucune occasion de chute n’est en lui (1 Jean 2 v. 9 et 10) ».
Il y a dans cette Lumière divine une absolue sainteté, une pureté parfaite, une perfection d’Amour divin que nous ne pouvons pas imaginer. Tous ces attributs divins nous permettent de méditer sur la véritable nature de notre Dieu, qui est Vie éternelle, amour parfait, lumière, vérité, sainteté, justice, perfection absolue.
Nous pouvons dès lors comprendre comment le péché d’Adam et d’Eve les a instantanément coupés de la présence de Dieu, et de toute communion avec Lui, car aucun péché ne peut jamais ni pénétrer ni se mélanger à Dieu : « Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial ? ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle ? Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? (2 Corinthiens 6 v. 14 à16) ».
C’est aussi la raison pour laquelle, lorsque nous nous repentons et que nous recevons le Seigneur Jésus comme notre Sauveur et Maître, Dieu fait passer notre esprit par une nouvelle naissance, par laquelle nous recevons dans notre esprit régénéré la vie éternelle, c’est-à-dire la sainteté et la justice absolues de notre Père. Notre esprit est déjà en communion parfaite avec notre Père. Et notre Père veut nous faire bénéficier de cette communion dans notre être conscient, dans notre âme. C’est le but de la sanctification de notre âme, de nos pensées de nos émotions et de notre volonté.
Plus nous réalisons quelle est la véritable nature de notre Dieu, qui est sainteté absolue, et plus nous pouvons aussi comprendre à quel point Il veut nous sanctifier, dans tous les domaines de notre vie pratique. Car plus nous sommes sanctifiés, et plus notre communion avec notre Dieu saint grandit. Or il n’y a pas de plus grande joie que d’être en communion d’amour avec notre Père, et avec Son Fils Jésus-Christ.
Comment Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, pourrait-Il venir S’installer dans une habitation dans laquelle demeurerait la moindre parcelle d’impureté ? Réalisons-nous réellement l’immensité de la grâce qui nous est faite, celle de devenir en Christ une création nouvelle, aussi juste et sainte que Dieu Lui-même ?
« Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n’imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. Nous faisons donc les fonctions d’ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ: Soyez réconciliés avec Dieu! Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu (2 Corinthiens 5 v. 17 à 21) ».
C’est sur la croix que Dieu nous a tous réconciliés avec Lui par Christ. Or, à ce moment précis, Dieu le Père était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. S’Il a réconcilié le monde entier avec Lui-même, cela signifie qu’Il a réconcilié chacun de nous avec Lui-même. Ceci nous confirme aussi que Dieu le Père n’a jamais été spirituellement séparé de Son Fils, même pendant les heures sombres de la croix. Comment Dieu le Père et Dieu le Fils auraient-ils pu être radicalement séparés dans leur nature divine, alors qu’ils sont éternellement UN ?
Si Dieu le Fils avait été coupé de Dieu Son Père à un moment quelconque, cela aurait privé le Seigneur Jésus de Sa divinité, ce qui est impossible. Cela prouve que le péché du monde, lorsqu’il est entré dans le corps de Jésus, n’a pu à aucun moment contaminer ou souiller Son âme et Son Esprit. Sinon, Jésus serait passé par la mort spirituelle. Or Dieu ne peut pas mourir spirituellement.
C’est la raison pour laquelle le Seigneur Jésus a dû S’incarner dans un corps de chair semblable au nôtre, mais sans péché. Car la seule partie de Son être qui pouvait passer par la mort était Son corps physique. Mais cela a suffi pour que nos péchés soient expiés.
Lorsque le châtiment qui devait tomber sur nous est tombé sur Jésus, cela n’a donc pas coupé la relation éternelle qui existait entre Lui et Son Père, au niveau de Son Esprit divin. Mais il fallait que le Père abandonne Son Fils à la mort qu’Il avait accepté de subir par amour pour chacun de nous : « Lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris (1 Pierre 2 v. 24) ».
Lorsque le péché du monde a pénétré dans le corps du Seigneur Jésus, c’est au niveau de son âme, de son être conscient, qu’Il n’a plus ressenti la communion permanente qu’Il avait avec Son Père. Mais Il savait que le Père était toujours en Lui. Pouvons-nous imaginer quelle a été la souffrance indicible que le Seigneur a dû éprouver, lorsque le péché du monde est entré dans Son corps sur la croix ?
Le corps de Jésus était sans péché, absolument pur et sans tache. Pouvons-nous comprendre ce que le Seigneur Jésus a ressenti dans Son âme pure, lorsque le péché du monde est entré dans Son corps ? Quelle répulsion, quel dégoût, quelle souffrance notre bien-aimé Seigneur a-t-Il dû ressentir. Lui, qui est la vie éternelle, a senti la mort pénétrer dans Son corps.
Nous autres, êtres humains, sommes tellement habitués à la présence du péché dans notre corps mortel, qu’il nous est impossible d’imaginer ce que notre Seigneur a ressenti dans Son âme, lorsque le péché du monde est entré dans Son corps pur, et qu’Il est passé par la mort.
Que le Saint-Esprit nous révèle toujours plus profondément la grandeur de l’amour de Dieu pour nous, amour manifesté dans le sacrifice expiatoire de Son Fils sur la croix! Et que, par cette révélation, puisse aussi augmenter l’amour et la reconnaissance que nous devons témoigner à notre Père et à Son Fils Jésus-Christ.
« Et nous, nous avons connu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour; et celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui. Tel il est, tels nous sommes aussi dans ce monde: c’est en cela que l’amour est parfait en nous, afin que nous ayons de l’assurance au jour du jugement. La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour. Pour nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier (1 Jean 4 v. 16 à 19) ».
La croix nous permet de connaître l’amour de Dieu pour nous, et nous devons CROIRE à cet amour.
C’est aussi ce qui nous permet de demeurer dans l’amour de Dieu, et de comprendre aussi que tel Il est, tels nous sommes aussi en esprit dans ce monde. L’amour parfait de Dieu, lorsqu’il est déversé en nous, bannit non seulement toute crainte, mais aussi tout ce qui est impur et contraire à la nature de Dieu.
Si nous savons que Dieu notre Père, dans Sa grâce infinie, a fait de nous, dans notre esprit régénéré, qui est notre nature véritable, ses fils et ses filles bien-aimés, semblables à Lui en sainteté et en justice, participants de Sa vie divine, alors nous saurons aussi que Son amour est véritablement parfait en nous. Plus nous nous identifierons, par la foi, à l’homme nouveau ou à la femme nouvelle que nous sommes, dans notre esprit régénéré, et plus l’amour, la sainteté et la justice de notre Dieu pourront aussi se déverser dans notre âme, et jusque dans notre corps mortel.
Et plus le pur amour de Dieu se déverse dans notre âme et dans notre corps, plus cet amour puissant nous purifie et nous nettoie de toute impureté, de tout ce qui est terrestre, charnel et diabolique, de tout ce qui est contraire à la nature et à la volonté de notre Dieu.
Frères et sœurs, nous avons tous besoin d’une telle visitation de l’amour de notre Père. Approchons-nous avec assurance de Celui qui nous aime d’un amour infini et éternel, ouvrons-Lui tout grand tout notre être, et disons-Lui :
« Père saint, je t’ouvre pleinement mon cœur, mon âme et mon corps. Je sais que Tu veux me visiter en permanence par ton amour. Je reçois maintenant le flot puissant de ton amour. Merci de me nettoyer de toute impureté, jusque dans les recoins les plus cachés de mon être. Parce que je veux être en communion toujours plus grande avec toi, mon Père bien-aimé, et avec mon Seigneur Jésus. Et je veux rester en permanence au bénéfice de ce torrent d’amour, en être toujours conscient, de même que je veux rester toujours conscient de ta divine présence en moi. Merci mon Père, je t’aime ! Amen ! »
Un message de Henri Viaud-Murat
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