6. Tendons à ce qui est parfait !

6. Tendons à ce qui est parfait !

Chap: 3 - Notre identité et notre position en Christ (suite et fin du chapitre) - La Parole de Dieu nous révèle que l’être humain est composé de trois parties distinctes : l’esprit, l’âme et le corps.

Il existe deux réalités dont la plupart des chrétiens ne sont pas conscients. Il s’agit de la réalité de leur esprit régénéré, et de la réalité de la chair de péché qui demeure dans leurs membres.

Deux réalités dont la plupart des chrétiens ne sont pas conscients.

Le problème de la plupart des chrétiens, c’est que la nouvelle naissance de leur esprit s’est passée sur le plan spirituel, et qu’ils n’en ont pas été conscients. La quasi-totalité des chrétiens, lorsqu’ils se repentent et reçoivent le Seigneur Jésus comme leur Sauveur, ne se doutent même pas qu’ils possèdent un esprit, ni que cet esprit soit passé par une nouvelle naissance au moment de leur conversion.

Et comme leur âme, leur personnalité consciente, n’est absolument pas touchée par la nouvelle naissance de leur esprit, ils ne peuvent bénéficier rapidement du changement radical de personnalité qui s’est opéré dans leur esprit.

Leur esprit, en un instant, est passé de l’état d’enfant du diable à celui d’enfant de Dieu, de l’état de participant de la nature satanique à celui de participant de la nature divine.

Mais la plupart des chrétiens ignorent aussi, même après leur conversion, qu’une puissance de péché et de mort (la chair) continue de demeurer dans leur corps physique mortel, et que cette chair de péché va tenter de continuer à les contrôler comme elle le faisait avant leur conversion.

C’est cette double ignorance qui explique que tant de chrétiens puissent végéter dans une âme qui est toujours contrôlée par la chair. Cela permet de comprendre qu’ils puissent rester parfois longtemps des chrétiens charnels, tant qu’ils n’ont pas compris comment manifester ce qu’ils sont dans leur esprit, ni comment empêcher la puissance de la chair de se manifester.

Il n’y a que notre étude de la Parole de Dieu qui nous révèle que nous possédons un esprit, que cet esprit est passé par une nouvelle naissance, et que cet esprit nouveau est notre véritable nature, notre véritable identité.

De même, il n’y a que notre étude de la Parole de Dieu qui nous révèle comment nous pouvons nous revêtir de l’homme nouveau que nous sommes dans notre esprit, et comment empêcher la chair de se manifester.

Il est important de ne pas considérer notre esprit comme une « personne étrangère » qui habiterait en nous. Il s’agit de notre vraie personne. Un chrétien qui meurt se retrouve instantanément, et consciemment, dans son esprit régénéré. Il n’emmène rien de charnel avec lui.

N’attendons pas ce moment pour découvrir qui nous sommes, dans cet homme nouveau que nous sommes en esprit. Habituons-nous dès à présent à nous « glisser », par la foi, dans notre nouvelle nature.

Quelle est l’origine de la tension spirituelle que nous pouvons souvent ressentir dans notre âme ?

Dieu, en faisant naître de nouveau notre esprit, nous accorde une identité entièrement nouvelle, semblable à sa propre nature juste, sainte et parfaite. Mais cette identité est enfouie au plus profond de notre être intérieur, tant que nous en ignorons la réalité.

Cela explique la tension interne que tous les chrétiens éprouvent dans leur âme, tant qu’ils n’ont pas compris comment se revêtir de leur esprit régénéré, c’est-à-dire tant qu’ils n’ont pas appris comment marcher selon cet esprit.

Cette tension résulte du fait que notre esprit régénéré n’a absolument pas la même personnalité que notre âme, tant que celle-ci est encore en grande partie contrôlée par la chair.

Notre esprit a la même nature que celle du Seigneur Jésus, tandis que la chair a la même nature que celle de Satan. Dans la mesure où la chair contrôle encore notre âme, les deux influences radicalement opposées de la chair et de l’esprit se « télescopent » au niveau de notre âme, ce qui produit des conflits parfois violents dans nos pensées et nos émotions.

« Car la chair a des désirs (et aussi des pensées et des sentiments) contraires à ceux de l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires à ceux de la chair ; ils sont opposés entre eux » (Galates 5 v. 17).

Les désirs de l’Esprit (Saint) sont aussi les désirs de notre esprit. Il n’y a pas de « E » majuscule dans le texte grec. Notre esprit tente de se manifester, mais notre âme encombrée par la chair ne lui permet pas de s’exprimer. Et nous ne pouvons alors que ressentir une pénible frustration.

Notre esprit nous communique le désir de faire ce qui est bon et juste devant Dieu, mais nous constatons que nous en sommes incapables, malgré tous nos efforts. Nous éprouvons alors ce que l’apôtre Paul a éprouvé à un certain moment de son existence : « Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne.

Et maintenant ce n’est plus moi qui le fais, mais c’est le péché qui habite en moi. Ce qui est bon, je le sais, n’habite pas en moi, c’est-à-dire dans ma chair : j’ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n’est plus moi qui le fais, c’est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.

Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l’homme intérieur ; mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort (dans le langage de Paul : qui me délivrera de cette mort qui est dans mon corps) ?… » (Romains 7 v. 14 à 24).

Combien de chrétiens se trouvent dans une telle situation misérable. Et combien tournent longtemps en rond dans leur désert spirituel, sans savoir comment en sortir !

Pour pouvoir nous en sortir, comme Paul, nous devons vouloir nous en sortir, en demandant au Seigneur qu’Il nous révèle comment être libérés de cette puissance de mort qui est dans notre corps. Surtout que la Parole de Dieu nous explique de quelle manière nous pouvons en être libérés.

Nous pouvons être libérés de cette puissance de mort.

Car Paul n’est pas demeuré toute sa vie esclave de la chair, il en a été libéré. Et il a pu ainsi nous révéler de quelle manière nous pouvons nous aussi en être libérés :

« Grâces soit rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur !… Ainsi donc, moi-même, je suis par l’entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché. Il n’y a donc MAINTENANT aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent, non selon la chair, mais selon l’esprit. En effet, la loi de l’esprit de vie en Jésus-Christ m’a affranchi de la loi du péché et de la mort (sous-entendu : qui est dans la chair).

Car chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force, Dieu a condamné le péché dans la chair (de Jésus), en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l’esprit » (Romains 7 v. 25 ; 8 v. 1 à 4).

La solution divine est toute simple : si nous marchons selon l’esprit, nous ne serons plus contrôlés par la chair !

Marcher selon l’esprit permet d’activer une loi spirituelle, qui s’appelle la loi de l’esprit de vie en Jésus-Christ. Et cette loi est infiniment plus puissante que la loi du péché et de la mort qui est dans la chair.

La loi de l’esprit de vie se trouve dans notre esprit régénéré. Quand nous savons comment l’activer, cette loi empêche la loi de péché et de mort de se manifester, mais ne la supprime pas. Elle annule simplement ses effets. Nous ne sommes pas encore délivrés de sa présence, mais nous pouvons être délivrés de son contrôle.

Prenons l’analogie de la loi de la gravité, qui est une loi bien connue. Selon cette loi, tout objet lâché en l’air retombe sur la terre, attiré par la loi de la gravité. Cette loi est inéluctable, et il est impossible de lui échapper.

Toutefois, placez cet objet sur une table, et il ne tombe plus. Est-ce que la loi de la gravité n’existe plus ? Non, mais la table l’empêche de se manifester. La table représente la loi de l’esprit de vie, qui annule la loi du péché et de la mort, représentée par la loi de la gravité.

Voici un autre exemple : un avion est un objet plus lourd que l’air. Il est soumis à la loi de la gravité, à moins que l’on fasse intervenir une autre loi plus puissante que la loi de la gravité, c’est-à-dire la loi de l’aérodynamisme.

Selon cette loi, si l’avion vole à une certaine vitesse, la forme aérodynamique de ses ailes exerce une force ascendante, qui annule la loi de la gravité, mais ne la supprime pas. En effet, si la vitesse diminue au-dessous d’un certain seuil, la loi de la gravité reprend le dessus, et l’avion chute.

Pour nous chrétiens, la forme aérodynamique de nos ailes peut être comparée à notre foi, et si nous courons vers le but, les yeux fixés sur Jésus et sur sa Parole, nous mettons en action la loi de l’esprit de vie, qui annule alors la loi de péché et de mort. Mais si notre vitesse spirituelle rétrograde, la loi de la chair reprend aussitôt toute sa force.

En résumé.

Sur le plan humain, nous possédons une identité personnelle, qui constitue le « moi conscient », notre identité à laquelle nous avons toujours été habitués. La Bible nous révèle que, lorsque nous nous sommes convertis à Christ, Dieu a créé en nous, au niveau de notre esprit, un être entièrement nouveau, qui est notre nouveau « moi », et qui possède une identité complètement différente de l’identité qui avait toujours été la nôtre jusque-là.

Entre notre ancien « moi » et notre nouveau « moi, » il y a autant de différence qu’entre la nuit la plus noire, et le jour ensoleillé le plus radieux, ou qu’entre Dieu et Satan. C’est pour cela que le Seigneur nous ordonne de renoncer à notre ancien « moi », et de nous identifier complètement, par la foi, au nouveau « moi » qu’Il a créé en nous.

« Puis il dit à tous : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la sauvera » (Luc 9 v. 23 et 24).

Renoncer à soi-même, c’est refuser de conserver notre ancienne identité de pécheur perdu. Se charger chaque jour de sa croix, c’est comprendre, et ne jamais oublier, que cela consiste à accepter de mettre complètement à mort tout ce qui, au niveau de notre âme, peut subsister de cette « vieille » personnalité dont nous avons hérité de notre passé de péché.

Si nous voulons sauver, c’est-à-dire conserver cette ancienne vie, elle nous conduira à notre perte. Mais si nous acceptons de la perdre, en passant par une nouvelle naissance spirituelle, nous sauverons notre vie.

Nous ne pourrons le faire qu’en sachant que Dieu a déjà créé dans notre esprit une personne nouvelle, qui est la nôtre à présent. Il nous a accordé une nouvelle identité qui n’a rien à voir avec l’identité qui était la nôtre, et Il nous demande de nous identifier par la foi à cette nouvelle personne.

Que signifie « nous identifier par la foi à cette nouvelle personne » ?

Cela signifie que nous devons croire que, pour Dieu, notre ancienne personne a été mise à mort en Christ et avec lui, et que nous devons croire qu’Il a fait de nous, par sa résurrection, une nouvelle personne semblable à lui.

À chaque instant de notre vie, nous devons nous habituer à nous considérer comme morts, par rapport à notre ancienne identité terrestre, et comme vivants, par rapport à notre nouvelle identité céleste.

Nous devons nous habituer constamment à nous dire : « La personne que tu étais auparavant, avant ta nouvelle naissance spirituelle, est morte et ensevelie en Christ ! Ne t’en occupe plus ! Ne cherche pas à l’améliorer et à la transformer ! Tu es à présent une nouvelle personne, semblable en tous points à Jésus-Christ ! C’est cela, ta nouvelle identité en Christ ! »

La marche par l’esprit commence par cette nouvelle prise de conscience !

Avant de pouvoir marcher par l’esprit, nous avons donc besoin de savoir que nous sommes cet esprit nouveau, et de nous y « installer » par la foi.

S’y installer par la foi, c’est simplement croire que nous sommes la nouvelle personne que Jésus dit que nous sommes en lui. Si nous le croyons, nous verrons cette nouvelle personne se manifester concrètement : « Crois, et tu verras la gloire de Dieu ! » (Jean 11 v. 40).

Notre intelligence, la perception que nous avons de nous-mêmes, et l’image que nous avons de nous-mêmes, doivent être entièrement renouvelées, afin que nous soyons en harmonie parfaite avec ce que Dieu nous révèle concernant notre nouvelle identité.

Quand notre nouvelle identité deviendra pour nous aussi réelle que l’ancienne identité à laquelle nous étions tellement attachés, alors nous verrons à quel point il nous sera facile de marcher selon celle nouvelle identité.

Imaginons les efforts que doit faire un amnésique, pour se remémorer constamment tous les éléments de son ancienne identité, afin que cette identité redevienne réelle pour lui, et qu’il ne l’oublie plus.

Faisons la même chose, mais sur le plan spirituel. Passons du temps à méditer tout ce que nous sommes en Christ, tous les éléments de notre nouvelle identité, afin de ne plus l’oublier, jusqu’à ce que nous puissions devenir « amnésiques » concernant notre ancienne identité, et qu’il nous devienne facile de marcher selon notre nouvelle identité. Notre nouvelle   « carte d’identité », c’est celle que nous décrit la Parole de Dieu !

Notre nouvelle identité s’accompagne d’une nouvelle position.

La nouvelle identité attribuée à notre esprit lui confère aussi une nouvelle position spirituelle, particulièrement privilégiée. En effet, notre esprit n’est pas seulement recréé à neuf, à l’image de Christ, mais il a été placé en Christ.

Lorsque Christ est mort sur la croix, nous sommes morts avec lui et en lui. Quand Il est ressuscité, nous sommes ressuscités avec lui et en lui ! (Romains 6 v. 3 à 7) : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5 v. 17).

Si quelqu’un est une nouvelle créature par son esprit régénéré, il est donc aussi en Christ !

« Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » (2 Corinthiens 5 v. 21).

« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toutes sortes de bénédictions spirituelles dans les lieux célestes en Christ ! En lui Dieu nous a élus avant la fondation du monde, pour que nous soyons saints et irrépréhensibles devant lui, nous ayant prédestinés dans son amour à être ses enfants d’adoption par Jésus-Christ, selon le bon plaisir de sa volonté, à la louange de la gloire de sa grâce qu’il nous a accordée en son bien-aimé.

En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce, que Dieu a répandue abondamment sur nous par toute espèce de sagesse et d’intelligence, nous faisant connaître le mystère de sa volonté, selon le bienveillant dessein qu’il avait formé en lui-même, pour le mettre à exécution lorsque les temps seraient accomplis, de réunir toutes choses en Christ, celles qui sont dans les cieux et celles qui sont sur la terre.

En lui nous sommes aussi devenus héritiers, ayant été prédestinés suivant la résolution de celui qui opère toutes choses d’après le conseil de sa volonté, afin que nous servions à la louange de sa gloire, nous qui d’avance avons espéré en Christ. En lui vous aussi, après avoir entendu la parole de la vérité, l’Évangile de votre salut, en lui vous avez cru et vous avez été scellés du Saint-Esprit qui avait été promis, lequel est un gage de notre héritage, pour la rédemption de ceux que Dieu s’est acquis, à la louange de sa gloire » (Éphésiens 1 v. 3 à 14).

Cela signifie que tout ce que Christ a acquis pour nous, nous le possédons en lui. Cela signifie encore que c’est en Christ que nous partageons la position qui est la sienne aujourd’hui. Et sa position, c’est d’être assis à la droite de Dieu le Père, au plus haut dans les lieux célestes.

« Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ (c’est par grâce que vous êtes sauvés) ; il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus-Christ, afin de montrer dans les siècles à venir l’infinie richesse de sa grâce par sa bonté envers nous en Jésus-Christ » (Éphésiens 2 v. 4 à 7).

« Il (Dieu le Père) l’a déployée (sa puissance) en Christ, en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux célestes, au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir. Il a tout mis sous ses pieds, et il l’a donné pour chef suprême à l’Église, qui est son corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous » (Éphésiens 1 v. 20 à 23).

Est-ce que nous réalisons quelle est la position spirituelle suprême et glorieuse qui est maintenant celle de notre esprit régénéré, grâce à la nouvelle identité qui est aussi la nôtre en Christ ?

Réalisons-nous que Dieu nous a placés, en Christ, au-dessus de toute autorité, de toute puissance et de tout nom qui se peut nommer ? Nous n’avons rien à craindre de Satan ni de toute la puissance des ténèbres.

« Dieu (le Père) nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour » (Colossiens 1 v. 13).

Réalisons-nous que Dieu a mis toutes choses sous nos pieds, en Christ, et que nous sommes la plénitude de celui qui remplit tout en tous ? Nous qui étions des pécheurs perdus, au plus bas de la hiérarchie spirituelle, Dieu, dans Sa grâce, en Christ, nous a élevés au plus haut.

Combien de chrétiens sont réellement conscients de leur nouvelle identité, et de leur position spirituelle actuelle en Christ ?

Que de choses seraient changées dans leur vie s’ils en étaient conscients, et s’ils le croyaient vraiment. Soyons reconnaissants à notre Père pour le don glorieux de sa grâce. Nous pouvons à présent passer à la dixième et dernière partie de notre programme : La marche par l’esprit.

 

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« Si, dans nos églises orthodoxes, demeurer en Christ - l'union vivante avec Lui, l'expérience quotidienne d’heure en heure de Sa présence, avait été prêchée avec la même netteté et urgence que Son expiation et pardon par Son sang, je suis sûr que beaucoup auraient accepté avec joie l'invitation à une telle vie... »

- Andrew Murray

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