Un coup d'éclat de Dieu dans nos vies ! (1)
En nous identifiant à Saul, nous allons découvrir un principe biblique très actuel, qui nous concerne tous : « Dieu veut faire mourir le « Jacob » de notre vie, pour y édifier Son « Israël »
Dieu veut échanger notre vieille nature pharisienne, notre « Saul de Tarse », avec celle de Son Fils, son serviteur, Paul ! »
I. Nous ne nous connaissons pas nous-mêmes !
Nous ne nous connaissons pas nous-mêmes, frères et sœurs, ou très mal. De ce fait, nous avons vraiment tous besoin que le Seigneur réalise un puissant coup d’éclat dans nos vies. Nous avons besoin que Sa lumière vienne nous aveugler sur nos illusions spirituelles, nous désarçonner de nos montures religieuses, pour nous projeter plus en avant dans les profondeurs de la connaissance du Christ.
Il existe une lumière religieuse qui n’éclaire que l’intelligence humaine, cette lumière est le fruit de « l’arbre de la connaissance », elle nous trompe, nous éblouit, nous aveugle, sur notre véritable nature, et sur celle de Dieu : « La connaissance enfle, mais la charité édifie. Si quelqu'un croit savoir quelque chose, il n'a pas encore connu comme il faut connaître (1 Corinthiens 8 v. 1) ».
Prenons garde, car des anges ont vraiment pour mission de nous abuser, en nous présentant un Évangile tronqué. Ils sont équipés eux-aussi d’une lumière, mais qui n’est pas la vraie, ce n’est pas celle qui libère : « quand un ange du ciel annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème! (Galates 1 v. 8) ». Cette lumière nous fait croire que l’on connait, mais cette connaissance est un mirage. Ces démons existent et œuvrent sournoisement depuis longtemps, mais plus que jamais, depuis la naissance de l’Eglise. Ils distillent un Evangile qui ressemble en tout point au vrai, mais la puissance de la croix en fait cruellement défaut. Cet évangile ne peut donc impressionner ni le monde, ni les puissances ténébreuses qui le gouvernent.
Connaître Christ
Il nous faut débusquer cette fausse lumière dans nos propres vies, en comprenant le mécanisme qui la gouverne : « Ces hommes-là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ. Et cela n'est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n'est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs œuvres (2 Corinthiens 11 v. 14) ».
Si l’apôtre en parle de cette manière aux Corinthiens, imaginons-nous ce qu’il en est aujourd’hui. Non, pour connaître Christ, Ses pensées et Ses voies, il faut que nous soyons éclairés par Sa lumière, dans toute sa grâce. Les pensées du cœur de l'homme sont mauvaises dès sa jeunesse : « Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant: Qui peut le connaître ? (Jérémie 17 v. 9) ». Le cœur du chrétien n’y échappe pas, même après sa rencontre avec le Christ, et c’est la raison pour laquelle l’œuvre de la croix doit continuer à s’exécuter pour l’homme qui veut progresser en Christ.
Un chrétien qui veut avancer ne peut se passer de la lumière pour l’éclairer, et l’éclairer encore, toujours plus. Ce n’est pas parce que nous avons découvert le salut en Jésus-Christ, que le combat de la lumière contre les ténèbres, dans nos vies, est terminé. Dans notre recherche de consécration, nous devons chercher à être libérés de cette vieille nature « pharisaïque » qui nous colle à la peau. Sinon, notre christianisme, dépouillé de son huile purificatrice, n’engendrera que des systèmes et des méthodes religieuses, en très mauvais état puisque souillés par la main de l’homme: « De la plante du pied jusqu'à la tête, rien n'est en bon état : Ce ne sont que blessures, contusions et plaies vives, qui n'ont été ni pansées, ni bandées, ni adoucies par l'huile (Ésaïe 1 v. 6) ». Oui, nombreux sont les enfants de Dieu qui sont dans cet état aujourd’hui. Malheureusement, le christianisme qui les habite n’opère plus, ou peu. Nous ne nous connaissons pas nous-mêmes, et nous prenons le risque de devenir des étrangers pour Dieu !
Est-ce la responsabilité du diable ? Il me semble puéril et trop facile de l’incriminer lui seul. N’oublions jamais qu’il est lié, et que son œuvre trouve sa manifestation, dans la permission que nous lui donnons pour agir. Certes, il œuvre sans relâche, cherchant qui dévorer, mais il arrive souvent à ses fins en se servant de notre propre péché ; en utilisant notre orgueil, notre autosuffisance. Frères et sœurs, nous ne nous connaissons pas nous-mêmes, nous, les partisans de la connaissance. Nous allons voir que la raison de cette stérilité spirituelle prend sa source dans l’absence d’une vision objective de nous-mêmes, en Christ.
Depuis que nous avons été chassés du jardin d’Éden, nous sommes accablés par toutes sortes de tares, soit dit en passant ; nous nous en accommodons d’ailleurs très bien. Nous découvrons en fait tous les désagréments de notre nudité, et nous nous cachons de Dieu derrière notre propre image.
Nous croyons connaître, mais cette connaissance transmise par nos aïeuls, n’est que le produit d’un acte interdit. Et le chrétien ignorant de ce fait, n’aura de cesse d’expliquer les Ecritures au lieu de les vivre. Sa seule véritable expérience de vie, et cela est tristement réel pour un grand nombre, ne consistera malheureusement qu’à ne connaître « que » le salut en Jésus-Christ. Je dis malheureusement, car mis à part son salut, tout le restant de son existence, ce chrétien va vivre sa foi à la « sueur de son front ». Pour lui, les richesses du pays de la promesse lui sont inaccessibles, il subit la pénibilité d’une vie dans le « désert ». Telle est la malédiction reçue dans le Jardin, qui se transmet de génération en génération sur ceux et celles qui ne se débarrassent pas de leur vieille nature.
Par contre, il va progresser dans sa connaissance intellectuelle de Christ. Les doctrines vont s’accumuler, envahir l’Eglise, et à terme, étouffer de ronces « l’arbre de la vie » : « Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière! (Ephésiens 5 v. 8) ».
Un nouvel Adam
C’est en Christ que cette malédiction disparaît, lorsque Dieu place Son nouvel Adam dans son règne, dans notre cœur. Voilà pourquoi l'apôtre Paul insiste tant sur l’importance de se dépouiller du vieil homme pour se revêtir de l'homme nouveau. L’homme ancien doit disparaître, et avec lui cette malédiction : « L’homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé. (Colossiens 3 v. 10) ».
Notre réflexe naturel va être de nous reposer sur nous-mêmes, en agissant et en bâtissant un Evangile qui nous ressemble, un Evangile adapté et accommodé, à la fois selon une certaine dose des exigences de Dieu, à la fois selon notre propre philosophie du culte.
Notre orgueilleux « Saul de Tarse », sincèrement ambitieux et hypocrite, nous brouille l’esprit et nous emmène à nous considérer comme sages et saints, pourvu que les hommes puissent trouver en nous quelques bonnes habitudes religieuses. L'hypocrisie se revêt de mille habits de clarté, mais levons un instant nos regards vers le « Soleil de justice », et tout ce qui a pour origine le péché sera complètement détruit. Il nous sera facile alors d'admettre, parce que convaincus, que nous vivons une vie chrétienne à deux vitesses : « Mon oreille avait entendu parler de toi; mais maintenant mon œil t'a vu. C'est pourquoi je me condamne et je me repens sur la poussière et sur la cendre (Job 42 v. 5) ».
Quelles paroles vraiment étranges de Job, pour un homme qui manifestait déjà une vie qui était agréable à Dieu…Vous ne trouvez pas ? Mais quand Dieu décide d’emmener son serviteur plus profondément en Lui, alors, sans reproche, Il lui dévoile le caractère corrompu de sa vieille nature. Incroyable n’est ce pas ?
« L’Eternel répondit à Job du milieu de la tempête et dit : Qui est celui qui obscurcit mes desseins par des propos dénués de connaissance ? (Job 38 v. 1) ». Les chapitres 3 à 37 du livre de Job rapportent des paroles et des opinions humaines. Dans ces trente-cinq longs chapitres, Job et ses trois amis, et plus tard Elihou, parlent, discutent et expriment continuellement leurs opinions. Dieu vint plus tard et les réprimande en disant : « Qui est celui qui obscurcit mes desseins par des propos dénués de connaissance ? » Après avoir reçu l’illumination du Seigneur, Job déclarera: « … Mon oreille avait entendu parler de toi ; Mais maintenant mon œil t’a vu. C’est pourquoi je me condamne et je me repens sur la poussière et sur la cendre ». Ce sont les paroles d’un homme qui a expérimenté profondément la croix dans sa vie. Lorsque l’Eternel visita son prophète Ésaïe, la même œuvre de libération se réalisa, le même cri, le même désir d’être libéré de sa vieille nature : « Malheur à moi! Je suis perdu, car je suis un homme dont les lèvres sont impures, j'habite au milieu d'un peuple dont les lèvres sont impures, et mes yeux ont vu le Roi, l'Eternel des armées (Ésaïe 6 v. 5) ». Lui aussi avait entendu parler de Dieu, mais maintenant son œil le voyait.
Au commencement, Job prononce des paroles sans connaissance et exprime sa propre opinion, mais à la fin il se hait lui-même et se repent sur la poussière et la cendre. Nous voyons ici que l’opinion de Job est sa nature pécheresse qu’il condamnait. Son opinion est l’expression de cette nature. Il sentait qu’il n’avait rien fait de mal et qu’il n’avait pas besoin d’agir contre le péché et le monde ou sur sa conscience. Par conséquent, il se frappait la poitrine, désirant raisonner avec le Juste. En fait, la difficulté que rencontra Job était son moi. Son moi intact était un problème qui l’empêchait de connaître Dieu d’une manière plus profonde encore. Frères et sœurs, réglez le problème de votre moi et vous vous délecterez des mets succulents de la table du Seigneur.
Dans l’église, beaucoup sont comme Job ; ils ont beaucoup à dire, mais ceux et celles qui sont entrés dans la lumière ne parlent plus beaucoup, ils sont conscients de leur nature, de leurs erreurs et défauts, il est facile de les aider et de les orienter. Une personne remplie du moi apporte toujours beaucoup de difficultés à l’Eglise, à plus forte raison lorsqu’elle occupe un poste à responsabilité. Ne se connaissant pas elle-même comment peut-elle prétendre connaître les autres, comment peut-elle prétendre conduire le corps de Christ.
Lorsque, par Sa lumière, Dieu nous révèle Sa personne en Christ, Il nous dévoile, à la fois Sa propre image, mais aussi notre hideuse image religieuse. L’un ne va pas sans l’autre. Nous ne pouvons grandir en Christ que dans la mesure où nous nous voyons tel que nous sommes. Le mensonge sur nous-mêmes flétrit et meurt à cet instant, avec toutes ses duplicités spirituelles car : « L'Eternel dit : Tu ne pourras pas voir ma face, car l'homme ne peut me voir et vivre (Exode 33 v. 20) ». Voir Dieu dans son esprit, dans toute Sa plénitude, c’est donc mourir à notre « Saul de Tarse ».
Quelle merveilleuse espérance pour tous ceux et celles qui aspirent aux profondeurs. Vous comprenez l’importance absolue d’expérimenter ce coup d’éclat du Seigneur ? L’urgence d’être frappé par la lumière de Dieu ? Tel est le seul chemin pour disparaître dans la source de la vie : « Car auprès de toi est la source de la vie ; Par ta lumière nous voyons la lumière (Psaume 36 v. 9) ».
Lorsqu’un homme n’a pas conscience de ses défauts, de sa condition réelle, comment peut-il chercher la progression. Comment peut-il aspirer à ce qui est plus excellent. Avouons-le une fois pour toute, nous souffrons tous et toutes d’auto suffisance. Il est plus qu’impératif de saisir qu’une bonne partie de notre vie doit consister à se juger soi-même, je ne parle pas ici d’introspection malsaine ; car c’est alors que nous pourrons placer toute notre confiance en Dieu, en marchant par la foi en Son œuvre: « Examinez-vous vous mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi; éprouvez-vous vous-mêmes.../...Que chacun donc s'éprouve soi-même... (2 Corinthiens 13 v. 5 ; 2 Corinthiens 13 v. 5) ».
Citation
« Il en est de même lorsque nous évaluons nos biens spirituels. Même si nous ne nous préoccupons pas de l’au-delà, nous contentant de notre justice, de notre sagesse et de notre force, nous nous apprécions et nous flattons allant jusqu’à nous prendre pour des demi-dieux. Mais, si nous nous mettons à élever nos pensées jusqu’à Dieu, bien conscients de qui il est, et à considérer la perfection de sa justice, de sa sagesse et de sa puissance, qu’il nous faut prendre pour modèle, ce qui jusque-là nous apparaissait à tort juste se recouvre des couleurs hideuses de la pollution.
Ce que nous prenions pour de la sagesse nous apparaîtra de la folie et ce qui avait une belle apparence de force se découvrira n’être que de la faiblesse. Voilà comment ce qui semble être durablement parfait en nous ne peut nullement être en accord avec la sainteté de Dieu (Jean Calvin) ».
Celui qui aime Dieu s’aime soi-même, et plus nous aimerons le Seigneur, plus nous augmenterons notre satisfaction. Pour aimer Dieu, Il Lui faut se révéler d’une manière graduelle à notre esprit, car pour pouvoir L’aimer, il nous faut Le connaître. Nous ne pouvons pas aimer quelqu’un que nous ne connaissons pas, c’est logique. Alors puisque aimer Dieu, c’est s’aimer soi-même ; Le connaître, c’est aussi se connaître en vérité. Plus nous nous approchons de Lui, par sa grâce, plus nous entrons dans Sa connaissance, et cette connaissance est en fait le miroir qui reflète notre image.
La connaissance de Dieu ne peut s’opérer qu’à travers la connaissance de Ses œuvres : « Si j'ai trouvé grâce à tes yeux, fais-moi connaître tes voies ; alors je te connaîtrai, et je trouverai encore grâce à tes yeux (Exode 33 v. 13) ». Moise l’avait très bien compris, la grâce de Dieu nous est largement accordée dans ce but : CONNAITRE SES ŒUVRES. Et Ses œuvres sont toutes en Christ. Dans la mesure où ce principe fondamental est perçu et vécu avec obstination, alors la « grâce » nous est plus largement encore octroyée. Lorsqu’un chrétien se voit tel qu’il est vraiment, PAR Christ, il ne peut échapper à la lumière qui lui montre qui il est, EN Christ. Et ce, par la connaissance de son œuvre globale à la croix.
Christ, la Lumière, est jugement, donc être éclairé par le Christ, c’est être jugé par Lui, non pour une sordide condamnation, mais pour notre affranchissement du péché. C’est à son contact que nous prenons conscience de notre indignité. En fait, la lumière de Dieu nous permet de nous juger nous-mêmes sans difficulté, et surtout sans hypocrisie religieuse (1 Corinthiens 3 v. 13).
Elle nous éclaire avec vérité sur les conditions de notre propre être intérieur, et sur les véritables mobiles de nos actes. La lumière nous aide à discerner notre authenticité (Luc 11 v. 36). Cette vérité est souvent douloureuse car nous prenons alors conscience que rien de bon n’habite en nous, et que beaucoup de nos élans spirituels, comme Job, sont pollués par notre « Saul de Tarse ». Quoi de plus naturel alors, que d’être portés surnaturellement vers la repentance. Voilà pourquoi cette œuvre ne doit surtout pas être paralysée après notre conversion, mais doit se poursuivre dans notre cœur, en profondeur, le restant de notre vie.
C’est magistralement Divin, heureux l’homme qui subit ce genre de coup d’éclat de son Dieu, il est libéré de lui-même, du monde, et de Satan. Il marche de progrès en progrès, de gloire en gloire.
La lumière de Dieu désigne quelque chose qui a été révélée par Dieu. C’est en fait une prise de conscience de ce que Dieu sait de nous. La lumière sert à manifester : « tout ce qui est condamné est manifesté par la lumière, car tout ce qui est manifesté est lumière (Éphésiens 5 v. 13) ». Lorsque nous sommes confrontés à cette lumière, elle nous met à nu, elle nous dévoile notre véritable condition. Beaucoup de « bonnes pratiques » deviennent subitement hideuses, attestant d’un profond aveuglement spirituel.
« L'Eternel répondit: Je marcherai moi-même avec toi, et je te donnerai du repos.../...L'Eternel répondit: Je ferai passer devant toi toute ma bonté.../...Quand ma gloire passera, je te mettrai dans un creux du rocher, et je te couvrirai de ma main jusqu'à ce que j'aie passé (Exode 33) ».
Nous avons ici l’aboutissement final de la grâce de Dieu, et de ce que ce coup d’éclat va produire en nous. Dieu veut marcher avec nous, nous montrer toute sa bonté, nous faire entrer dans son repos, nous placer au creux de Son deuxième Adam, le Christ. Ainsi Dieu, nous protégeant de Sa main, fera passer devant nous Sa bonté et Sa gloire.
«...et tout à coup une lumière brilla du ciel comme un éclair autour de lui ».
Mais pour cela, nous avons besoin d’être libérés de notre propre image, nous en reparlerons dans le chapitre 4, c’est elle l’idole qui nous cache le visage du Seigneur Jésus-Christ, c’est elle qui nous maintient emprisonnés dans une dangereuse méconnaissance de Dieu : « …je te conseille d'acheter de moi … un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies (Apocalypse 3 v. 18) ».
Ce collyre, c’est la lumière du Seigneur qui nous libère de toutes nos ténèbres, et, comme « Saul de tarse », de la stérilité de nos œuvres religieuses de toutes sortes : « …que le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père de gloire, vous donne un esprit de sagesse et de révélation, dans sa connaissance, et qu'il illumine les yeux de votre cœur, pour que vous sachiez quelle est l'espérance qui s'attache à son appel, quelle est la richesse de la gloire de son héritage qu'il réserve aux saints (Éphésiens 1 v. 17) ».
Seigneur je t’en supplie: « Ouvre mes yeux, pour que je contemple Les merveilles de ta loi ! (Psaumes 119 v. 18) ». Produit un «...tout à coup... » dans ma vie !
Soyez richement bénis !