Demeurez en Christ votre justice (huitième jour). Demeurez en Christ votre sanctification (neuvième jour). Demeurez en Christ, votre rédemption (dixième jour).
Demeurez en Christ, comme vous êtes venus à lui, par la foi (cinquième jour). Demeurez en Christ, car Dieu lui-même vous a unis à lui (sixième jour). Demeurez en Christ votre sagesse (septième jour).
Vous trouverez le repos de vos âmes (second jour). Demeurez en Christ, vous confiant à lui pour vous garder (troisième jour), Demeurez en Christ, comme le sarment est uni au cep (quatrième jour).
Pendant son séjour sur la terre, Jésus indiquait les relations que ses disciples devaient avoir avec lui, par ces mots : « Suis-moi ! »
C'est l'œuvre de Dieu : Lui seul peut créer en vous cette soif de n'être rien qui est l'essence même de l'élévation par laquelle il vous rendra réellement semblables à son Fils bien-aimé.
Paul a reçu de merveilleuses révélations ; elles risquent de lui être un piège en l'enorgueillissant ; c'est pourquoi le Seigneur lui envoie une écharde dans la chair pour le garder dans l'humilité.
L'humilité est le chemin de la mort, parce que dans la mort elle donne la plus haute preuve de sa perfection. L'humilité est la fleur de laquelle la mort du moi est le fruit parfait.
Il ne peut y avoir qu'un seul obstacle à la prise de possession des bénédictions de Dieu ; cet obstacle, c'est simplement ce qui nous empêche de croire.
L’humilité est l'essence même de la sainteté, comme de la félicité. C'est le moi chassé et Dieu prenant sa place. Or où Dieu est tout, le moi n'est plus rien.
Comment pouvons-nous reconnaître que Dieu nous a visités en nous sanctifiant ? Ne sera-ce pas en constatant en nous une humilité toujours plus grande ?