Comme Christ (jours 15, 16).

Comme Christ (jours 15, 16).

Comme Christ. Dans la dépendance du Père (15). Dans son amour (16).

Dans la dépendance du Père (15).

« En vérité, en vérité, je vous dis que le Fils ne peut rien faire de lui-même, à moins qu'il ne le voie faire au Père, car tout ce que le Père fait, le Fils le fait pareillement. Car le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu'il fait. Et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l'admiration (Jean 5 v. 19 et 20) ». - « Je connais mes brebis et je suis connu d'elles comme mon Père me connaît et que je connais mon Père (Jean 10 v. 15) ».

Notre relation avec Jésus est exactement la contrepartie de sa relation avec le Père ; les paroles dont il se sert pour rendre ses rapports avec le Père, se trouvent donc vraies pour nous aussi. Dans le cinquième chapitre de l'Évangile de Jean, Jésus décrit les rapports d'un père avec son fils ; il nous parle ainsi, soit de ses rapports de Fils unique de Dieu avec son Père, soit des rapports qui existent entre Dieu et chacun de ceux qui, par Jésus et en lui, sont « appelés enfants de Dieu (1 Jean 3 v. 1) ».

Nous ne saurions mieux saisir la vérité et la force de cette comparaison qu'en nous représentant Jésus avec son père terrestre, dans l'atelier du charpentier qui lui enseigne son métier. La première chose qui frappe est son entière dépendance : « Le Fils ne fait rien de lui-même, à moins qu'il ne le voie faire au Père ». Puis son obéissance à imiter son père : « Car, tout ce que le Père fait, le Fils le fait pareillement ».

Puis aussi l'affectueuse intimité à laquelle l'admet son père, ne lui cachant aucun de ses secrets : « Car le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu'il fait (Jean 5 v. 20) ». Cette obéissance, cette dépendance du fils, aussi bien que l'affectueux enseignement de son père, promettent un développement qui le conduira à de plus grandes œuvres encore ; peu à peu le fils en viendra à faire tout ce que fait son père lui-même : « Il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l'admiration ».

Nous avons là un reflet des rapports de Dieu le Père avec son Fils pendant l'humanité de Jésus. Si Jésus a réellement été assujetti à la nature humaine, si nous devons voir en Christ notre Modèle, nous devons croire sans réserve ce qu'il nous révèle ici de sa vie intime. Tout ce qu'il nous en dit est littéralement vrai. Sa dépendance à chaque instant de sa vie fut absolument et positivement telle qu'il nous la dépeint : « Le Fils ne peut rien faire de lui-même, à moins qu'il ne le voie faire au Père », il ne regardait pas comme une humiliation de recevoir ses ordres. Se laisser guider et conduire comme un enfant par son père était au contraire son plus grand bonheur.

Par-là, il se savait tenu d'obéir strictement, soit par ses paroles, soit par ses actes, à tout ce que le Père lui montrait : « Tout ce que le Père fait, le Fils le fait pareillement ». Nous en avons la preuve dans le soin extrême que mettait Jésus à suivre en toutes choses l'Écriture sainte. Dans sa passion, il veut tout supporter, afin que l'Écriture soit accomplie. C'est pour cela aussi qu'il passait la nuit à prier ; en prolongeant ces heures de prière, il présente au Père ses pensées, et il attend sa réponse, afin de connaître la volonté du Père.

Jamais enfant dans son ignorance, jamais esclave dans sa servitude ne fut si attentif à observer ce qu'avait dit son père, ou son maître, que ne l'était notre Seigneur Jésus à suivre les directions de son Père céleste. Aussi, le Père ne lui cachait rien. Son entière dépendance et son constant désir d'apprendre obtenaient en retour la communication de tous les secrets du Père : « car le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu'il fait, et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l'admiration ». Le Père a son plan pour le Fils, il veut que par lui la vie divine se manifeste dans les conditions de la vie humaine. Ce plan fut peu à peu réveillé au Fils jusqu'à ce que tout fût accompli.

Croyant, ce n'est pas seulement pour le Fils unique du Père qu'un plan de vie terrestre a été tracé, c'est aussi pour chacun des enfants de Dieu, et selon que nous vivrons plus ou moins dans la dépendance du Père, notre vie sera plus ou moins d'accord avec ce plan.

Plus le croyant se placera, comme le Fils, dans une entière dépendance, ne faisant que ce qu'il voit faire au Père, puis dans une entière obéissance, faisant tout ce que le Père fait, plus aussi s'accomplira en lui cette promesse : « le Père lui montre tout ce qu'il fait, et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci ». Comme Christ ! Cette parole nous appelle à une vie conforme à celle du Fils dans sa dépendance du Père. Chacun, de nous est appelé à vivre ainsi.

Pour vivre de cette vie de dépendance du Père, il faut avant tout avoir la ferme assurance qu'il nous fera connaître sa volonté. Je pense que c'est là ce qui arrête plus d'un croyant. Nous ne pouvons pas croire que le Seigneur veuille s'occuper autant de nous, qu'il veuille prendre la peine, chaque jour, de nous faire connaître sa volonté précisément comme il le faisait à l'égard de Jésus.

Chrétien, tu as plus de valeur aux yeux du Père que tu ne le crois. Tu vaux tout le prix qu'il a payé pour toi. Ce prix est le sang de son Fils ; par conséquent, il attache la plus grande importance au moindre détail de ce qui te concerne, et il veut te guider même dans ce qui te paraît le plus insignifiant. Il veut avoir avec toi des rapports plus étroits et plus soutenus que tu ne peux te le figurer. Il peut se servir de toi pour sa gloire, il peut faire de toi quelque chose de bien plus grand que tu ne sais le comprendre. Le Père aime son enfant et lui montre ce qu'il fait. Il l'a fait pour Jésus, il le fera pour nous aussi.

Pour être enseigné de lui, il suffit de s'abandonner à lui, et alors, par le Saint-Esprit, il donne tout le nécessaire. Sans nous tirer de notre milieu, le Père peut nous rendre si conformes à l'image de Christ, que nous en devenions bénédiction et joie pour tous. Que notre incrédulité ne nous empêche plus de croire à l'amour et aux compassions de Dieu, de compter sur la direction du Père en toutes choses.

Que votre répugnance à vous soumettre ne vous arrête pas non plus. C'est souvent là aussi un grand obstacle. Le désir d'indépendance fut la tentation du paradis, c'est encore la tentation qui assaille tout cœur humain. Il nous semble dur de n'être rien, de ne rien pouvoir, de ne rien vouloir. Et pourtant quelle bénédiction il y a là ! Cette dépendance nous met en communion avec Dieu et alors se réalise, pour nous, comme pour Jésus, cette promesse : « Le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu'il fait ». Cette dépendance nous enlève tout souci, toute responsabilité, puisque nous n'avons plus qu'à obéir. Elle nous donne aussi une grande force de volonté, puisque nous savons que « Dieu produit en nous le vouloir et le faire (Philippiens 2 v.13) ». Elle nous donne enfin l'assurance de réussir dans notre travail, puisque nous avons laissé Dieu en prendre le soin.

Mon frère, si jusqu'à présent vous n'avez encore su que peu de chose de cette vie de dépendance volontaire et de simple obéissance, commencez dès aujourd'hui à suivre l'exemple de votre Sauveur. Il veut vivre lui-même en vous, et répéter en vous ce qu'il a été sur la terre ; il n'attend que votre acquiescement pour le faire. Offrez-vous donc au Père aujourd'hui même, selon l'exemple de son Fils unique, pour ne plus vouloir faire que ce que le Père vous montrera. Attachez vos regards sur Jésus qui vous est à la fois le modèle et la promesse de ce que vous serez. Adorez celui qui s'est fait humble pour vous, et qui vous a montré combien la vie de dépendance peut être bénie.

Heureuse dépendance ! C'est bien là la position qui nous convient à l'égard d'un tel Dieu. Elle lui rend la gloire qui lui est due ; elle maintient notre âme en paix et en repos, remettant à Dieu le souci de tout ; elle garde notre esprit dans le calme habituel qui le prépare à recevoir les enseignements du Père et à en profiter. Elle nous fait entrer en communion plus intime avec lui, et nous apprend à connaître toujours mieux sa volonté. Heureuse dépendance, qui fut celle du Fils ici-bas ! C'est bien là ce que désire aussi mon âme.

Prière.

O mon Père, plus je considère l'image de ton Fils, plus aussi je vois l'état de ruine de ma propre nature, et combien le péché m'a séparé de toi. Dépendre de toi ! Se confier pour toutes choses en un Dieu tel que toi, si sage, si bon, si riche et si puissant ! Se peut-il rien de plus heureux ? Mais hélas ? rien n'est plus difficile.

Nous préférons dépendre de notre propre folie plutôt que de dépendre du Dieu de gloire. Tes enfants mêmes, ô mon Père, trouvent qu'il est bien dur, bien difficile d'abandonner leurs propres vues, leur propre volonté pour croire que le vrai bonheur ne se trouve que dans une absolue dépendance de toi en toutes choses et jusque dans les moindres détails.

Seigneur, avec humilité, je te prie de me faire bien saisir tout cela. Celui qui m'a acquis la félicité éternelle au prix de son sang, m'a montré par sa propre vie en quoi consiste cette félicité. Je sais qu'à présent il veut me conduire et me garder.

O mon Père, en ton Fils je m'abandonne à toi pour que tu m'apprennes à ne rien faire de moi-même, mais à ne faire, comme Jésus, que ce que je vois faire au Père. Mon Père, tu veux m'enseigner, comme tu l'as fait pour ton Fils premier-né. Pour l'amour de lui tu me montreras à moi aussi ce qu'est sa volonté. Amen.

Dans son amour (16).

« Je vous donne un commandement nouveau ; c'est que vous vous aimiez les uns les autres, que comme je vous ai aimés, vous vous aimiez aussi les uns les autres (Jean 13 v. 34) ». - « C'est ici mon commandement, que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés (Jean 15 v. 12) ».

Comme nous commençons à comprendre quelque chose de tout ce que contient ce petit mot. Ce n'est plus le commandement d'une loi qui se borne à convaincre de péché et d'incapacité ; c'est un commandement nouveau sous une alliance nouvelle, établie sur de meilleures promesses. C'est le commandement de Celui qui pourvoit à tout qui ne demande rien qu'il n'offre de donner, rien qu'il ne veuille faire lui-même en nous. « Comme je vous ai aimés », comme à chaque instant je répands sur vous mon amour par mon Saint-Esprit, aimez-vous aussi les uns les autres. C'est mon amour pour vous qui vous dira dans quelle mesure vous devez aimer, vous aussi, et qui vous donnera la force de le faire.

« Comme je vous ai aimés ». Voilà comment nous devons nous aimer mutuellement. Le véritable amour ne connaît pas de limites, il se donne entièrement. Il peut varier quant au moment et à l'opportunité de se montrer, néanmoins toujours il est complet et sans restriction.

La plus grande gloire de l'amour divin est de réunir les deux personnes du Père et du Fils en un seul Être, l'un se confondant dans l'autre. Voilà quel est l'amour de Jésus pour nous. Lui, l'image du Père, nous aime comme son Père l'aime, et voilà jusqu'où doit s'élever aussi l'amour fraternel ; il n'admet d'autre règle que celle d'aimer comme Dieu et comme Christ.

Celui qui veut être comme Christ ne doit pas hésiter à faire de cette vérité la règle de sa vie, il sait combien il est difficile, impossible même, d'aimer ceux de ses frères qui sont peu aimables, aussi avant de s'exposer à les rencontrer dans des circonstances qui pourraient mettre à l'épreuve son amour pour eux, il élève son cœur au Seigneur, puis, regardant à ses propres péchés, à sa propre indignité, il se demande : « Combien dois-tu à ton Maître ? (Luc 16 v. 5) ».

Il se transporte au pied de la croix, et là il cherche à se rendre compte de quel amour Jésus l'a aimé. Il laisse resplendir dans son âme l'incommensurable amour de Celui qui est, dans le ciel, sa tête et son frère, cet amour divin qui ne cherche pas sa propre satisfaction, mais qui se donne entièrement. Il se consacre de nouveau au Seigneur, se mettant sur l'autel devant son Dieu, et lui disant : « Comme tu m'as aimé, je veux aimer mes frères ». En vertu de ton union avec Jésus et avec nous par Jésus, il ne peut être question de faire autrement : Je les aime comme Christ a aimé.

Oh ! Si les chrétiens voulaient bien faire taire tous les raisonnements de leur propre cœur pour regarder à la loi que Jésus a promulguée par son exemple, ils en viendraient enfin à mieux comprendre l'impérieux devoir d'écouter les commandements de Dieu et de leur obéir. Notre amour ne peut admettre d'autre mesure que celle de Christ, puisque c'est son amour qui fait la force du nôtre. L'amour de Christ n'est ni de l'idéalisme, ni du sentimentalisme, c'est réellement une puissance de vie divine. Tant que le chrétien ne le comprend pas, l'amour divin ne peut pas exercer en lui toute sa force, mais quand sa foi en vient à réaliser que l'amour de Christ est la présence même de Jésus en ses bien-aimés, il puise à cette source divine et en reçoit l'amour du Seigneur qui le contraint d'aimer comme lui. L'amour de Christ nous apprend aussi de quelle manière doit se montrer notre amour pour nos frères. Il enseigne au disciple de Christ à être dans son petit cercle précisément ce qu'a été Jésus, à ne vivre que pour aimer et pour aider les autres. Paul demande pour les Philippiens « que leur charité augmente de plus en plus en connaissance et en pleine intelligence (Philippiens 1 v. 9) ».

La charité n'embrasse pas de prime abord tout le travail qu'elle aura à faire, mais le croyant qui demande à Dieu que « sa charité augmente en connaissance », et qui prend réellement l'exemple de Christ pour la règle de sa vie, verra peu à peu quelle grande et belle œuvre il lui sera donné d'accomplir. L'Eglise de Dieu, aussi bien que le monde, a un besoin inexprimable d'amour, de l'amour de Christ, et le chrétien qui veut obéir à cette parole du Seigneur : « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés », devient une source de bénédiction et de vie pour tous ceux avec lesquels il se trouve en relation.

La vie merveilleuse de Christ et sa mort également merveilleuse, ne peuvent s'expliquer que par son amour pour nous ; c'est aussi l'amour divin qui fera des merveilles dans les enfants de Dieu : « Voyez quel amour ! » - « Voyez comme il aimait ». Voilà ce qu'on disait de l'amour du Père et de celui du Fils.

Que ce soit là aussi ce qui fasse reconnaître les chrétiens. Déjà à la vocation d'Abraham, Dieu manifeste sa volonté que nous soyons pour les autres ce qu'il est pour nous, posant ainsi ce grand principe de vie pour l'Eglise de Dieu : « Je te bénirai et tu seras bénédiction (Genèse 12 v. 2) ». Si Dieu nous révèle ce qu'il est pour nous en nous disant : « Je vous ai aimés », son commandement : « Aimez-vous les uns les autres », nous apprend aussi ce que nous devons être entre nous.

Soit donc dans les prédications, soit dans la vie pratique de l'Eglise, qu'il soit bien compris que le signe distinctif de tout vrai disciple de Christ, est d'aimer comme Christ a aimé. Bien-aimés chrétiens, Jésus-Christ vous attend pour faire connaître par vous son amour au milieu de ceux qui vous entourent. Cet amour divin voudrait prendre possession de vous pour accomplir son œuvre sur la terre. Cédez à son influence. Offrez-vous sans réserve à lui servir de demeure.

Honorez-le de votre confiance et soyez bien certains qu'il vous apprendra à aimer comme Jésus a aimé. Votre vie chrétienne doit porter le cachet de votre conformité avec Jésus, et celle-ci porte le cachet de l'amour. Ne perdez pas courage si vous ne réalisez pas tout de suite cette charité de Christ, mais retenez ferme ce commandement : « Aimez comme je vous ai aimés ».

Il faut du temps pour « croître en charité (1 Thessaloniciens 3 v. 12) ». Prenez donc le temps, dans le secret de votre cœur de contempler l'amour divin. Prenez le temps d'alimenter par la prière et la méditation le désir que vous avez déjà de le posséder, jusqu'à ce qu'il devienne en vous une flamme vive. Prenez le temps de regarder autour de vous en pensant de tous et de chacun, quels qu'ils soient et quoi qu'il arrive : Il faut que je les aime.

Prenez le temps de vous rendre compte que vous êtes un avec le Seigneur et réprimez toute crainte de ne pouvoir parvenir à aimer comme lui, en vous souvenant de ces mots : « C'est ici mon commandement, que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés ». Chrétiens, prenez le temps d'être en communion avec Jésus, le modèle de la charité, et alors vous obéirez joyeusement au commandement d'aimer comme lui.

Prière.

Seigneur Jésus, toi qui m'as tellement aimé, et qui me commandes à présent d'aimer comme toi, vois, je suis à tes pieds. C'est avec joie que je voudrais accueillir tes commandements et aller par ta force manifester ton amour à tous. Avec ta force, ô mon Dieu, veuille donc me révéler ton amour. Inonde mon cœur de ton amour par ton Saint-Esprit. Fais-moi éprouver à chaque instant que je suis aimé de Dieu, moi aussi.

Seigneur, fais-moi comprendre que je puis aimer, non pas par moi-même, mais par ton amour en moi. Tu vis en moi. Ton Esprit demeure et agit en moi. De toi déborde en moi l'amour dont je puis aimer les autres. Tu demandes seulement de moi que je comprenne, que j'accepte ma vocation, et que je consente à vivre comme tu as vécu.

Tu voudrais que je tinsse ma vieille nature égoïste et dure pour avoir été crucifiée et que, par la foi, je fusse prêt à faire ce que tu commandes. Seigneur, je le veux aussi. Par ta force, Seigneur, je veux vivre désormais en aimant comme tu m’as aimé. Amen.

 

Arthur KatzUn message de Andrew Murray
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