
15. La puissance de la prédication de la croix
Chap: 5 - La croix, puissance de séparation et d'union (suite) - Parler de la croix est très pénible pour la chair. Notre chair n’aime pas entendre parler de la croix, parce qu’elle sait que le problème de la chair a été réglé à la croix.
La croix a accompli une séparation totale entre le royaume des ténèbres qui était le nôtre, quand nous étions dans la chair et dans le monde, et nous, qui sommes à présent dans le royaume du Fils de son amour. Toutes choses anciennes sont passées. Toutes choses sont devenues nouvelles en Christ : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5 v. 17).
Jésus nous a délivrés complètement de la puissance du maître qui dominait sur nous, Satan. Notre maître est à présent Jésus-Christ. Satan ne doit plus dominer sur la moindre parcelle de notre esprit, de notre âme, et de notre corps. Un chrétien peut avoir des démons, un chrétien peut être lié, un chrétien peut être malade.
Mais à partir du moment où nous savons que nous avons été délivrés de la puissance de Satan, nous pouvons nous tourner, par la foi, contre n’importe quelle puissance des ténèbres qui continuerait à agir dans notre vie, pour lui dire, comme Jésus l’a dit à Satan, en plein désert : « Retire-toi, Satan, car il est écrit... ! » (Matthieu 4 v. 10).
Voici le véritable combat spirituel. Quand nous avons reçu par la foi la Parole de Dieu, elle vit dans notre cœur. Mais ce n’est pas parce que nous nous convertissons à Jésus-Christ que toutes les bénédictions divines viennent automatiquement sur nous. Nous ne sommes plus sous l'automaticité de la loi.
Tout l’héritage de Dieu en Christ doit être reçu par la foi, pour que ce soit une grâce. Le jour où nous nous convertissons, toute l’œuvre accomplie par Jésus est à notre disposition dans les lieux célestes. Mais nous ne pouvons la recevoir que par la foi.
Si je vois encore des œuvres de Satan qui subsistent dans ma vie, dans mon corps, ou dans mes pensées, si je suis encore lié quelque part, le Saint-Esprit qui habite en moi le sait parfaitement. Mais Il sait quel est le plan de Dieu pour moi. Il sait aussi que Christ, à la croix, a opéré une séparation totale entre Satan et moi. J’appartiens au Seigneur et à son royaume. Mais Satan est celui qui résiste, qui s’oppose au Seigneur. Il va tout faire pour me tromper et pour me faire croire des mensonges. Il est le menteur et le père du mensonge.
J’ai donc besoin de connaître la vérité pour lui résister. Je dois prendre une position de foi pour détruire, au nom de Jésus, et par l’autorité du Seigneur, tout mensonge qui peut subsister dans mes pensées. Je dois le faire au nom du Seigneur Jésus, parce que je m’appuie sur la Parole du Seigneur. Quand Jésus est mort à la croix, il nous a arrachés du royaume de Satan.
Il a payé le prix, c’est-à-dire son sang précieux. Il nous a transportés dans le royaume de Dieu. Satan n’a plus aucune autorité sur nous : « Jésus s’est donné lui-même pour nos péchés, afin de nous arracher au présent siècle mauvais, selon la volonté de notre Dieu et père » (Galates 1 v. 4).
« Il nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour » (Colossiens 1 v. 13).
Nous devons souvent rappeler ces vérités à notre ennemi. Il attaque trop souvent nos foyers, nos corps, nos âmes, nos esprits, sans que nous réagissions. Il parvient trop souvent à nous faire croire ses mensonges.
La Parole de Dieu doit être plantée dans notre cœur. Ayant reçu cette Parole par la foi, nous pouvons nous revêtir de toutes les armes spirituelles que le Seigneur nous donne. Nous pouvons en particulier prendre l’épée de l’Esprit, qui est la Parole du Seigneur, nous tourner contre l’ennemi de nos âmes, et lui dire : « Satan, il est écrit... Retire-toi maintenant, au nom puissant du Seigneur Jésus ! »
« Vous qui étiez morts par vos offenses et par l’incirconcision de votre chair, il vous a rendus à la vie avec lui, en nous faisant grâce pour toutes nos offenses ; il a effacé l’acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l’a détruit en le clouant à la croix ; il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d’elles par la croix » (Colossiens 2 v. 13 à 15).
Si nous marchons dans la vérité, Satan n’a pas le droit de venir nous accuser. Si nous sommes dans la foi, si nous n’avons pas de péché non confessé dans notre vie, nous pouvons nous tourner vers Satan et lui dire : « Satan, Dieu m’a fait grâce pour toutes mes offenses. Il a effacé l’acte qui me condamnait. Il l’a détruit en le clouant à la croix. Il t’a dépouillé. Il a dépouillé les dominations. Tu ne domines plus sur ma vie ! »
La croix a opéré une séparation totale entre nous et Satan. Certes, Satan a encore beaucoup de puissance et d’autorité. Mais il ne l’exerce que sur ceux qu’il contrôle. Si nous avons compris et reçu la Parole de Dieu, Satan ne doit plus nous contrôler. C’est terminé ! Nous ne devons plus nous laisser faire. Jésus nous a donné toute autorité sur la puissance du malin.
« Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l’ennemi, et rien ne pourra vous nuire » (Luc 10 v. 19).
Cela ne signifie pas que nous n’allons pas avoir des épreuves, des difficultés et des combats. Mais nous pouvons, et nous devons, avoir le cœur en paix, rester dans la foi et combattre le bon combat de la foi, en nous appuyant sur la Parole du Seigneur. Il a triomphé des dominations et des autorités par la croix.
« La prédication de la croix est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, du Juif premièrement, puis du Grec » (Romains 1 v. 16).
C’est à la croix que tout a été accompli. Le Seigneur Jésus a détruit toute la puissance de Satan. Il l’a dépouillé, Il l’a mis à nu, Il l’a livré en spectacle, Il lui a fait publiquement honte. Comme Satan est pétri d’orgueil, il ne peut supporter la prédication de la croix, parce qu’il sait que c’est là qu’il a été définitivement et éternellement vaincu. L’orgueil de Satan ne peut supporter qu’on lui rappelle qu’il a été publiquement livré en spectacle à la croix. C’est un vaincu.
Devant la croix, un cri de victoire a retenti dans le ciel, et un cri de défaite dans les rangs de l’ennemi. Toute l’œuvre de Satan, à présent, consiste à séduire les hommes pour leur faire croire des mensonges. Il veut même faire croire aux chrétiens, s’il y parvient, qu’ils sont encore sous sa domination, sous la malédiction de leur passé ou de leur hérédité, alors que, par la croix, ils en ont été délivrés pour toujours.
Quand nous sommes dans une position de foi, nous pouvons résister à Satan avec efficacité, armés de l’épée de l’Esprit, et lui dire : « Tu as été complètement dépouillé. Je t’interdis de toucher à mon foyer, à mon corps, à ma santé, à la santé de mes bien-aimés. Je me réclame du sang et du nom de Jésus. Je sais ce qui est écrit, Satan, et je persévère dans la foi et le combat ! » Satan doit lâcher prise. Si nous restons persévérants dans la foi, il s’enfuira.
« Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous » (Jacques 4 v. 7).
Le Seigneur Jésus a remporté sur Satan un triomphe absolu, pour l’éternité. Comprenez-vous donc que, par la croix, le Seigneur Jésus nous a offert la solution divine, parfaite, à tous nos problèmes ? La puissance de la croix est :
- Une puissance de séparation entre nous et la chair.
- Une puissance de séparation entre nous et le monde.
- Une puissance de séparation entre nous et celui qui contrôle le monde, Satan.
Union avec Dieu.
Mais la croix n’est pas seulement une puissance de séparation. Elle est aussi une puissance d’union entre Dieu et nous, et entre tous les hommes qui croient en Jésus. Autant la croix est une puissance de séparation entre Satan et nous, autant elle est une puissance d’union entre Dieu, Père, Fils, Saint-Esprit et nous.
« Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. À plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère. Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie » (Romains 5 v. 8 à 10).
Quelle merveilleuse révélation. Jésus nous a réconciliés avec Dieu par sa mort. Par sa résurrection, puisque nous sommes ressuscités en lui et avec lui, le Seigneur fait couler en nous la vie de Dieu. Nous sommes pleinement sauvés. Le verbe « sauver », en grec, veut dire donner un salut complet pour l’esprit, l’âme et le corps.
Nous sommes sauvés par sa vie, qui coule en nous et qui a le droit de couler en nous. Jésus est mort pour nous et nous a réconciliés avec Dieu.
Cela signifie que nous étions ennemis de Dieu par nos pensées et nos actions. Plus encore, par notre nature de péché. La mort de Jésus nous a réconciliés. Le mot « réconcilié » est très puissant.
D’anciens ennemis deviennent maintenant amis. Ceux qui étaient séparés par l’inimitié sont réunis par un pardon complet, et deviennent un. Nous devenons un seul esprit avec Dieu, un seul corps avec Christ. Il est la tête. Nous sommes tous membres de son corps et membres les uns des autres. Dieu n’est plus notre ennemi. Si nous avons encore Dieu comme ennemi, c’est que nous n’avons pas encore confessé nos péchés ou que nous résistons au Saint-Esprit. Nous résistons encore à son amour.
Même un enfant de Dieu peut voir sa communion avec le Seigneur coupée par le péché. À cause de notre désobéissance ou de notre cœur endurci, Dieu peut nous résister. Il résiste aux orgueilleux et aux méchants. Mais si notre cœur est honnête et bon, si nous ouvrons notre cœur à la voix et à la lumière du Saint-Esprit, pour nous humilier devant Dieu, et nous incliner devant lui dans une consécration totale, nous sommes en communion avec lui.
Quand nous sommes constamment sous l’action du sang de Jésus, quand nous sommes soumis de cœur à la Parole du Seigneur et au Saint-Esprit en nous, nous sommes constamment purifiés par le sang de Jésus. Nous sommes en communion avec Dieu. Nous sommes un avec lui. Nous sommes réconciliés avec Lui par la mort de son Fils.
« Et non seulement cela, mais encore nous nous glorifions en Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, par qui maintenant nous avons obtenu la réconciliation » (Romains 8 v. 11).
Jésus est le grand réconciliateur. L’apôtre Paul a reçu cette profonde révélation : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation » (2 Corinthiens 5 v. 17 et 18).
Puisque nous avons été réconciliés avec Dieu, Il veut faire de nous des réconciliateurs. Il est important de bien le comprendre. Voyez les problèmes, les inimitiés, les divisions, dans le monde et même dans le corps de Christ. Dieu nous a donné un ministère, c’est-à-dire un service de réconciliation. Il fait de nous des réconciliateurs.
En tant que chrétien, es-tu un réconciliateur ou un diviseur ? Tu seras toujours un créateur d’inimitié si tu réagis dans la chair. Toute réaction de la chair provoque de l’inimitié. Avoir de l’inimitié, cela signifie adopter une attitude d’ennemi. Toute réaction charnelle fait de nous un ennemi des autres. Nous nous disputons, parce que la chair a pris le dessus. Mais quand nous sommes réconciliés avec Dieu, quand nous restons dans la foi en Christ et en son œuvre de réconciliation, le Seigneur fait de nous des réconciliateurs.
Bien entendu, nous ne pouvons être des réconciliateurs que lorsque l’amour de la vérité remplit notre cœur, comme le cœur de ceux qui s’opposent à nous. Jésus a pu affirmer qu’Il n’était pas venu apporter la paix, mais l’épée et la division. Jésus est la Vérité. Il ne peut apporter que la vérité. Si cette vérité n’est pas reçue par ceux qui l’entendent, il ne peut y avoir de réconciliation.
Si tu marches par la chair, tu apporteras une division charnelle entre toi et les autres. Mais si tu marches par l’esprit, tu apporteras une division spirituelle entre toi, et ceux qui continuent à vouloir marcher dans la chair. Mais comme tu marches par l’esprit, tu resteras dans l’amour et la douceur. Tu apporteras la paix à tous ceux qui veulent bien la recevoir : « Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu » (Matthieu 5 v. 9).
Si nous sommes fils et filles de Dieu, nous avons tous pour Père un Roi de paix. Nous devons procurer la paix partout où nous passons. Nous ne serons pas forcément bien reçus. Certains n’accepteront pas de faire la paix dans la vérité. Mais il faut être deux pour se disputer.
Si quelqu’un est ton ennemi, tu vas en souffrir, mais si tu restes dans l’esprit, tu refuseras d’alimenter une querelle par une attitude charnelle. Tu vas rester en Christ. Tu seras un faiseur de paix. Tu auras la sagesse de Dieu pour savoir ce que tu dois faire. Dieu nous appelle à ce ministère de réconciliation. Nous avons en nous la puissance du Saint-Esprit, qui nous a réconciliés avec Dieu par le sacrifice de la croix. Dieu habite en nous.
Il est prêt à nous donner sa sagesse, si nous la demandons avec foi, sans douter. Prions pour avoir la sagesse du Seigneur, pour être capables d’exercer efficacement ce ministère de réconciliation, afin d'être, entre ses mains, un instrument de paix et de réconciliation. Nous le serons, si nous avons compris que nous avons été réconciliés avec lui. Nous avons été pardonnés en Christ. Notre premier réflexe va donc être de pardonner, quoiqu’il puisse nous arriver.
Si tu as compris que tu as un ministère de réconciliation, tu ne dois jamais imputer à personne la moindre offense. Dès que tu as été offensé, tu dois pardonner de tout ton cœur, même si on ne te demande pas pardon. En ayant cette attitude, nous accumulerons sur notre ennemi les charbons ardents de Dieu. Nous permettrons au Seigneur de travailler par son Saint-Esprit dans le cœur de notre ennemi, car il sera au bénéfice du ministère de réconciliation que Dieu nous a donné.
« Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n’imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation » (2 Corinthiens 5 v. 19).
Ceux qui croient en Christ ont été réconciliés. Puisque Dieu a mis en nous la parole de la réconciliation, nous ne devons plus imputer aux autres leurs offenses envers nous. Dès que nous recevons une offense, petite ou grande, dès que nous sommes attaqués, par des chrétiens ou ceux du monde, dès que nous sommes injustement accusés, ou calomniés, nous exerçons notre ministère de réconciliation.
Si nous avons compris que nous avons reçu un ministère de réconciliation, nous pardonnerons immédiatement toute offense, par la puissance de la vie de Christ qui coule en nous. Pour être capables de faire cela, nous devons nous-mêmes être unis à Christ et dans sa paix.
Si nous marchons dans la chair, la moindre offense va provoquer une réaction charnelle. Nous allons répliquer sur le même ton. Le problème va grandir. Il faut que l’un des protagonistes comprenne qu’il doit s’arrêter. Le premier qui s’arrêtera sera le chrétien qui va se rappeler qu’il a un ministère de réconciliation. Puisqu’il a été réconcilié avec Dieu, il est appelé à être un enfant de paix. Il pardonne donc toutes les offenses, sans exception.
Dès que l’on nous offense, nous devons pardonner. Si celui qui nous a offensés vient nous demander pardon, nous lui confirmons simplement un pardon que nous lui avons déjà donné dans notre cœur. S’il ne nous demande jamais pardon, c’est lui qui va en supporter les conséquences. Mais, dans notre cœur, nous sommes déjà réconciliés, pour notre part.
« Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s’il a soif, donne-lui à boire ; car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête » (Romains 12 v. 20). Nous faisons donc les fonctions d’ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu.
Comment ceux qui s’opposent à nous et nous offensent vont-ils comprendre le ministère de Christ, s’ils ne me voient pas l’exercer ? S’ils me voient exercer le ministère de réconciliation, pardonner, ne pas imputer les offenses, ils vont se poser des questions. Le Saint-Esprit va parler à leur cœur. Il leur dira : « C’est Jésus-Christ qui a changé son cœur ! »
Christ nous a réconciliés avec lui et nous a fait comprendre ce qu’est la réconciliation. Comme nous avons été réconciliés avec Dieu, nous sommes donc capables de comprendre ce que signifie la réconciliation. Nous avons reçu le pardon. Nous sommes donc capables de pardonner. Quel merveilleux ministère que celui d’ambassadeur pour Christ, d’ambassadeur d’un royaume où règnent la paix et la réconciliation.
Vous verrez, lorsque nous serons au ciel, il n’y aura pas une seule dispute, pas la moindre animosité. Tous ceux qui ont accès au ciel auront tous été réconciliés les uns avec les autres par Christ. Nous connaîtrons une paix merveilleuse, une paix céleste. Dès que nous nous rencontrerons, ce seront des torrents d’amour les uns pour les autres. Nous baignerons dans l’amour et la paix de Christ.
Mais nous pouvons, déjà sur cette terre, exprimer de notre cœur ces torrents d’amour. Peut-être ne seront-ils pas toujours bien reçus. Mais, en participant au ministère de Christ, nous devons aussi participer à ses souffrances.
Il est la tête du corps de l’Église ; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier. « Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui ; il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix » (Colossiens 1 v. 18 à 20).
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