Le fondement de la vie chrétienne
L’état normal du croyant c’est d’être libre, affranchi de Satan, du péché et de la mort ; affranchi pour servir Dieu — libre pour jouir d’une communion ininterrompue avec Dieu et avoir une joie parfaite (1 Jean 1 v. 3 et 4).
La victoire du chrétien
Je suis délivré de ce corps de mort ! Il a été condamné à la croix, en Christ : « Je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi (Galates 2 v. 20) ». Je suis « en Christ », dans la position même qu’il a prise après la résurrection. Il n’y a donc aucune condamnation pour moi (Romains 8 v. 1). Le Saint Esprit a produit en moi une nouvelle vie, qui ne pèche pas, plus encore, qui ne peut pas pécher, mais qui est en plein accord avec Celui qui l’a donnée (Jean 3 v. 5 et 6).
De plus, le Saint Esprit habite en moi et il est la puissance qui permet à la nouvelle vie d’agir selon sa nature (1 Corinthien 6 v. 14 ; Jean 4 v. 14 ; 7 v. 38 et 39). C’est Lui également qui se charge du combat contre la chair (Galates 5 v. 17). Ainsi la loi (règle immuable) de l’Esprit de vie dans le Christ Jésus m’a affranchi de la loi du péché et de la mort (Romains 8 v. 2 ; comp. 7 v. 23).
Je ne suis plus dans la chair (dans la vieille nature), mais dans l’Esprit. Ma position sera donc caractérisée par la possession de la vie produite en moi par le Saint Esprit à la nouvelle naissance (Jean 3) et par l’habitation en moi du Saint Esprit Lui-même (Romains 8 v. 9). Cela implique que j’appartiens à Christ, donc que je suis un chrétien.
« Le fondement de la vie chrétienne »
Un message de Miki Hardy
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