7. La mort, un  ennemi vaincu

7. La mort, un ennemi vaincu

Chap: 3 - La venue du Seigneur et la victoire 15 v. 50 à 58 (suite et fin) - L’apôtre ajoute encore un mot pour prouver le triomphe sur la mort : « Où est, ô mort, ta victoire ? Où est, ô mort, ton aiguillon ? » (15 v. 55).

Dans ce passage tiré du prophète Osée, il en va comme de la citation d’Ésaïe, c’est-à-dire qu’il s’agit de la résurrection (restauration) nationale d’Israël. Selon son caractère abrupt qui lui est typique, le prophète éclate en une proclamation triomphale (Osée 13 v. 14). L’Éternel lui-même sera leur roi. Israël reviendra à l’Éternel, son Dieu, et Il les guérira de leur apostasie et les aimera librement (Osée 14 v. 4).

La victoire de la mort ? (15 v. 55).

Mais entre-temps, le Saint-Esprit applique cette prédiction à la victoire qui arrivera à la venue de Christ dans la résurrection et la transmutation des croyants. Dans cette exclamation, la première phrase (où est, ô mort, ta victoire ?) parait plutôt concerner ceux qui gisent dans le tombeau, apparemment vaincus par la mort, tandis que la seconde phrase (où est, ô mort, ton « aiguillon » ?) concerne plutôt les croyants encore vivants.

La mort est personnifiée comme précédemment dans ce chapitre (15 v. 26) ; elle est interpellée comme si c’était une personne, et elle est questionnée avec un cri d’allégresse, presque provocateur : « Où, ô mort ? Où, ô mort ? » (en grec l’auxiliaire « est » ne figure pas). « Oui, où est sa victoire, où est son aiguillon ? où sont-ils ? disparus ! »

Quand nous pensons aux os morts des saints dans les innombrables tombes, la mort n’a-t-elle pas remporté la victoire sur tous ces gens ? Non. La réalité est tout autre. La mort n’est qu’un instrument dans la main de Dieu, jeté après usage, jeté une fois accomplie son œuvre passagère. La résurrection aura lieu, et tout ce qui paraissait être une victoire de la mort, se tournera exactement à l’inverse.

Le croyant chrétien peut déjà aujourd’hui prononcer cette parole triomphante, en pleine confiance dans la puissance de Dieu : « où est, ô mort, ta victoire ? » Il sait que la mort est pour lui un ennemi vaincu. Christ lui a ôté sa force, complètement et pour toujours, par sa mort et sa résurrection.

Si donc la mort doit quand même nous atteindre selon la pensée de Dieu, elle ne peut faire qu’une chose avec nous : nous amener de cette pauvre terre jusque-là où elle n’a plus aucune force. Naturellement en dernier lieu, c’est le Seigneur Jésus lui-même qui le fera, mais ici le langage est symbolique. Dans cette mesure la mort n’est pour nous qu’un serviteur, un « portier » qui nous ouvre la porte pour laisser cette terre et tout ce qui est mortel.

Effectivement, la mort comme telle a perdu ses terreurs pour nous. Les circonstances de notre départ peuvent nous angoisser, mais ce que nous venons de dire demeure quand même vrai. La mort n’est plus du tout un sujet d’effroi pour nous ; elle ne porte plus pour nous le caractère de jugement de Dieu. C’est pourquoi le Nouveau Testament parle de manière si consolante des enfants de Dieu comme étant « endormis ». Quand Lazare mourut, le Seigneur s’exprima ainsi : « Lazare, notre ami, s’est endormi » (Jean 11 v. 11).

Pour le croyant, la mort n’est pas seulement un ennemi affaibli, selon une conception courante, mais c’est un ennemi entièrement désarmé. Elle n’a plus d’armes contre nous. Sur son lit de mort, J.N. Darby pouvait dire : « les hommes appellent cela la mort ; je l’appelle la vie ! »

L’aiguillon de la mort, la puissance du péché (15 v. 56).

En ce qui concerne l’aiguillon de la mort, l’apôtre ajoute comme une sorte de commentaire explicatif : « Or l’aiguillon de la mort, c’est le péché, et la puissance du péché, c’est la loi » (15 v. 56).

Si la mort est le salaire du péché (Romains 6 v. 23), le péché est l’aiguillon de la mort. Sans lui, la mort ne serait rien d’autre qu’un sommeil paisible. En vérité, la mort n’existerait même pas s’il n’y avait pas eu le péché. Car la mort a passé à tous les hommes en ce que tous ont péché (Romains 5 v. 12). C’est pourquoi le péché est qualifié d’aiguillon*, car il porte en lui le poison qui n’opère pas seulement la mort temporelle, mais qui prépare le pécheur impénitent au jugement qui vient après la mort. L’aiguillon de la mort, c’est la conscience de la culpabilité personnelle et la crainte du jugement à venir (Jean 5 v. 24 ; 1 Jean 4 v. 18). C’est cette crainte qui ronge les hommes sans Dieu, au point qu’ils cherchent aussi à la nier.

* L’image d’un aiguillon ne peut guère viser un aiguillon à bœufs comme en Actes 26 v. 14, car un tel aiguillon ne tue pas, tandis que l’aiguillon de la mort tue. Ce doit donc être une arme acérée, mortelle, ou bien un aiguillon pourvu de poison. C’est ce dernier qui est probablement en vue.

 

L’apôtre en arrive alors à parler sur la relation qui existe entre le péché et la loi. C’est d’autant plus significatif qu’il n’en a pas encore parlé dans cette épître, alors qu’il revient volontiers là-dessus dans d’autres passages. C’est pour la première fois qu’il nomme la loi ici, et c’est non seulement intéressant, mais aussi instructif, car les Corinthiens, dans leur ensemble, étaient des gens des nations ; ils n’étaient pas Juifs ; ils n’avaient donc jamais été sous la loi. Mais il était nécessaire pour eux comme pour nous, de reconnaître le vrai caractère de la loi et de ses effets, car cela nous amène à connaître plus profondément à quel Dieu de bonté nous avons à faire. D’un autre côté cela nous préserve du piège de Satan qui a toujours cherché à ruiner la grâce par un zèle feint pour la loi et pour la sainteté pratique.

Et nous apprenons ainsi ici que la loi donne de la force au péché. Comment faut-il le comprendre ? Un coup d’œil à Romains 7 nous renseigne là-dessus : « Que dirons-nous donc ? La loi est-elle péché ? Qu’ainsi n’advienne ! Mais je n’eusse pas connu le péché, si ce n’eût été par la loi ; car je n’eusse pas eu conscience de la convoitise, si la loi n’eût dit : « Tu ne convoiteras point ». Mais le péché, ayant trouvé une occasion par le commandement, a produit en moi toutes les convoitises, car sans la loi le péché est mort. Or moi, étant autrefois sans loi, je vivais ; mais le commandement étant venu, le péché a repris vie, et moi je mourus ; et le commandement qui était pour la vie, a été trouvé lui-même pour moi pour la mort. Car le péché, ayant trouvé une occasion par le commandement, me séduisit, et par lui me tua.

La loi donc est sainte, et le commandement est saint, et juste, et bon. Ce qui est bon est-il donc devenu pour moi [la] mort ? Qu’ainsi n’advienne ! Mais le péché, afin qu’il parût péché, m’a causé la mort par ce qui est bon, afin que le péché devînt par le commandement excessivement pécheur » (Romains 7 v. 7 à 13).

Sans entrer davantage dans les détails, ces versets montrent clairement que la loi, si juste soit-elle, ne peut donner aucune délivrance au coupable, mais bien plutôt, elle excite l’esprit rebelle de l’homme contre la volonté de Dieu. Le fait que Dieu interdise quelque chose éveille justement chez l’homme pécheur le désir de faire ce qui est interdit. Cela ne tient pas à la loi, mais à ce que l’homme est mauvais. La puissance du péché est donc la loi, car par la loi est la connaissance du péché (Romains 3 v. 20).

Mais Christ est devenu la fin de la loi, pour justice à tout croyant (Romains 10 v. 4). Par le fait qu’Il a porté la malédiction de la loi, Il a fait de celle-ci qui était une accusatrice, un témoin de la justice de Dieu, de cette justice qui justifie celui qui croit en Jésus-Christ (Romains 3 v. 21 et 22).

Et en ce qui concerne la force pour marcher dans la sainteté, ce n’est pas la loi qui la donne, ni non plus la menace du fouet qu’est la peur d’être peut-être perdus à la fin. Non, c’est la grâce qui nous donne force et motivation pour abandonner le mal et accomplir le bien. La grâce qui nous a sauvés, c’est aussi elle qui nous enseigne à renier l’impiété et les convoitises mondaines, et à marcher sobrement, justement et pieusement dans ce présent siècle (Tite 2 v. 12).

Quel maître divin nous avons pour guider vers la sainteté pratique : la grâce ! Elle est bien plus efficace que la loi, dont l’effet est même en partie contraire. Ainsi le péché ne règne plus sur nous, car nous ne sommes plus sous la loi, mais sous la grâce (Romains 6 v. 14).

Une doxologie (15 v. 57).

Ces trois choses (le péché, la mort et la loi) sont donc vus ensemble comme le butin dont le Seigneur Jésus s’est emparé et qu’il a vaincu. Mais à nous qui profitons de cette victoire, il nous appartient de joindre nos voix à la louange triomphante qui monte vers Dieu selon la doxologie par laquelle l’apôtre s’exclame : « Mais grâces à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! » (15 v. 57).

Il convient d’exalter Dieu déjà maintenant de cette manière, non pas seulement au jour d’éternité. Ses enfants sont bien déjà dignes de connaître la vérité de Dieu telle que révélée dans le Seigneur Jésus. C’est pourquoi ils célèbrent déjà dans le temps présent la grande victoire que le Seigneur a remportée personnellement et dont Il porte déjà maintenant les honneurs et les titres à la droite de Dieu.

Au v. 56 l’apôtre regardait en bas ; au v. 57 il regarde en haut. Après tout ce qu’il a dit depuis le début du chapitre sur la résurrection d’entre et sur la transmutation, il ne lui reste qu’à rendre grâces au Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.

Il ne dit pas « qui nous a donné » ou « qui nous donnera », mais « qui nous donne » la victoire. Ce temps présent du verbe peut se comprendre de deux manières : d’un côté notre victoire future sur la mort est totalement certaine dans les pensées de Dieu, et à cause de cela, elle est considérée comme quelque chose que nous possédons déjà ; d’un autre côté, il revient à l’Être de Dieu de nous donner la victoire en principe.

Les deux choses sont vraies en soi, de sorte que ce qui est ici en vue semble plutôt être un processus continu, un don permanent. Littéralement, il faudrait dire : « celui qui est « donnant » la victoire ». Cette expression ne nous décrit pas seulement ce que Dieu fera pour nous dans un temps futur, mais ce qu’Il fait déjà maintenant, ce qu’Il nous donne maintenant. Heure après heure, Il nous donne la victoire. Elle est déjà à nous. Sans doute la victoire ne sera pas complète avant que nous soyons ressuscités ou transmués.

Or la victoire a été remportée quand Christ a été ressuscité. La conscience de ce fait nous donne joie et force, courage et assurance, déjà dans le temps présent. Dieu désire que nous nous réjouissions déjà maintenant dans la victoire complète pour acquérir de cette manière, de la force pour chaque jour et pour chaque instant jusqu’à la fin.

La dernière partie du verset est aussi tout à fait réjouissante, car c’est là qu’on trouve le nom du « vainqueur » par le moyen et l’opération duquel la victoire nous est donnée, « par notre Seigneur Jésus-Christ ». C’est son nom et son titre entièrement personnels.

Nous sommes touchés par ce petit mot « notre » : « notre Seigneur Jésus-Christ » ! Il nous appartient, et nous lui appartenons. Il est digne de toute notre adoration et de toute notre affection. Et n’est-il pas plus que convenable que ce chapitre merveilleux se termine par le nom de celui qui est lui-même la résurrection et la vie ?

Ainsi donc… (15 v. 58).

Les enseignements sur la résurrection sont maintenant achevés. Ils nous ont conduits à des sommets et à l’adoration. Il reste à tirer la conclusion pratique de tout cela. L’apôtre le fait avec ce « ainsi » final, si important : « Ainsi*, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, abondant toujours dans l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail** n’est pas vain dans le Seigneur » (15 v. 58).

* Le mot allemand utilisé signifie « voici pourquoi », ou « par conséquent ».

** Le mot allemand utilisé signifie « peine », « fatigue ».

 

Il est remarquable que l’apôtre ait déjà achevé la première partie du chapitre par une parole d’exhortation (15 v. 33 et 34). Il recommence ici à la fin de la deuxième partie, mais cette fois-ci les exhortations n’ont pas un caractère négatif, mais tout à fait positif. En face de la joie et de la consolation à cause de leur commune espérance, l’écrivain voit « ses frères bien-aimés » devant lui et les interpelle avec un « ainsi » pour qu’ils traduisent maintenant cette espérance dans leur marche pratique.

Nous apprenons ici quelque chose de très important. Dieu ne désire pas seulement que nous tirions de ces précieux enseignements des conclusions en vue de notre vie pratique, mais que notre marche, notre vie soient basées sur cette doctrine.

La doctrine est un exposé de faits divins. Si ces faits divins sont saisis de manière spirituelle, ils façonnent presque inévitablement nos vies. Retirez la doctrine, et la marche est suspendue en l’air, dépourvue de but, et ouverte à n’importe quelle folie et n’importe quel égarement. C’est pourquoi le saint enseignement de la Parole de Dieu est si important. Personne ne le sait mieux que le diable lui-même. C’est pourquoi il cherche par tous les moyens à saper cet enseignement, à le détruire, et à le remplacer par des enseignements de démons (1 Timothée 4 v. 1).

Ce « ainsi » de notre verset 58 se rapporte à tout le chapitre 15. Si nous ne le rattachons qu’au verset 57 qui précède, c’est-à-dire au fait que Dieu nous donne la victoire, cela ne change rien, car tout le chapitre vise ce sommet. En tout cas le v. 58 se réfère à l’enseignement de ce chapitre comme la base de notre vie pratique.

En ce qui concerne les exhortations pratiques elles-mêmes, il s’agit en premier lieu d’être fermes et inébranlables. Les deux termes ne veulent pas dire exactement la même chose. Le mot grec pour « ferme » exprime un état sédentaire, un siège ferme et fixe sur une place. Il semble que le Saint-Esprit vise par là notre attitude de foi et notre conviction intérieures. Nous devons être et rester fermes dans les convictions que nous avons tirées de la parole de Dieu. Et si Dieu nous donne la victoire comme nous l’avons vu, nous devons aussi rester ferme dans cette conviction.

Il y a malheureusement bien des enfants de Dieu instables parce que leurs convictions ne sont pas basées sur les déclarations de Dieu, mais sur le sable mouvant des idées et sentiments humains. Ils n’arrivent jamais vraiment au repos et à la paix intérieurs parce qu’ils attachent leur cœur à de fausses pensées.

« Inébranlable » exprime une autre pensée. Le mot grec dérive d’un verbe qui décrit le mouvement, le déplacement, l’expulsion, la mise en branle. Le contraire signifie « immuable », « inébranlable ». Nous sommes donc mis en garde contre le danger de s’écarter de la place que nous avons prise selon les enseignements de la Parole de Dieu.

Il y a beaucoup d’influences qui nous assaillent et veulent nous emporter. Il s’agit de rester immuable comme un roc contre lequel se jettent les vagues, de rester fermes sur la parole de Dieu. Nous sommes exhortés ailleurs : « Ne soyez pas séduits par des doctrines diverses et étrangères, car il est bon que le cœur soit affermi par la grâce » (Hébreux 13 v. 9).

Viser à être fermes dans la foi et immuables vis-à-vis des attaques de l’ennemi, c’est la première réponse que nous devons donner aux révélations célestes qui nous ont été communiquées. Cela peut paraître très statique et passif, mais c’est de la plus haute importance au milieu des dangers qui nous guettent.

Si Satan nous attaque et nous éprouve, il convient avant tout de ne pas bouger. Il en va autrement quand il est question de l’œuvre du Seigneur. Alors, nous devons bouger, et même être débordant (ou : abondant) : « … abondant toujours dans l’œuvre du Seigneur » (1 Corinthiens 15 v. 58).

Notons bien qu’il s’agit de l’œuvre du Seigneur qu’Il a ici-bas sur la terre. Elle lui appartient, et il s’agit de ses intérêts. Ceux-ci ne se limitent pas à des efforts dans le domaine social, selon ce qui caractérise la chrétienté actuelle.

Non, l’œuvre du Seigneur vise à exalter le Nom du Seigneur, et à conduire les gens des ténèbres à la merveilleuse lumière de Dieu par l’Évangile, et à affermir les cœurs des saints par la diffusion de la vérité. C’est en cela que nous devons abonder, non pas de temps en temps, mais « en tout temps ». Chers amis, la révélation de la vérité a-t-elle suscité cette réponse chez nous ?

Alors, nous serons encouragés par la perspective de la récompense : « … sachant que votre travail n’est pas vain dans le Seigneur ». L’expression négative « pas vain » indique bien que dans ce monde, il y a beaucoup de peines et de travaux, qui, un jour, se révéleront vains, infructueux, vides et creux, car c’est bien la signification du mot utilisé ici. Les gens qui n’ont rien au-delà du terrestre, se tiendront les mains vides au moment décisif.

Il n’en est pas ainsi de ceux qui travaillent dans l’œuvre du Seigneur, ce qui par ailleurs est un privilège qui n’est pas limité à un groupe particulier, mais qui est ouvert à tous les croyants. Le travail dans l’œuvre du Seigneur n’a rien d’un amusement, ce n’est pas une affaire simple, et il est significatif que le Saint-Esprit utilise le mot « peine » : votre « peine » (ou : fatigues, labeurs, efforts, travail dur).

Il nous semble parfois, comme si toute notre peine était vaine. Mais nous devons d’abord nous rappeler qu’il s’agit d’un travail spirituel, dont les résultats sont également spirituels, et ne nous sont donc pas toujours visibles.

Mais Dieu les voit. Ensuite, nous devons garder à l’esprit ce qui est ajouté : notre peine n’est pas vaine « dans le Seigneur ». Si nous mettons notre travail en relation avec le Seigneur, il produira des fruits sous une forme ou sous une autre. Et justement ce qui peut paraître aujourd’hui comme inutile ou un échec aux yeux des hommes, se révélera un jour, « dans le Seigneur », être un succès, quelque chose qui n’est « pas vain ». La réponse, bien-aimés, nous sera donnée dans la gloire.

 Fin

 

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