5. Tendons à ce qui est parfait !

5. Tendons à ce qui est parfait !

Chap: 3 - Notre identité et notre position en Christ - La Parole de Dieu nous révèle que l’être humain est composé de trois parties distinctes : l’esprit, l’âme et le corps.

Nous connaissons tous la définition de notre identité civile : nom, prénom, sexe, date et lieu de naissance, nationalité, etc… Elle décrit les caractéristiques essentielles permettant de définir, selon des critères objectifs, tout être humain vivant.

Sur le plan psychologique, notre identité personnelle définit notre propre « moi », l’être intérieur dont nous sommes conscients. Cette identité caractérise notre individualité unique, par laquelle nous sommes conscients de nous-mêmes et du monde qui nous entoure.

Notre identité personnelle a été façonnée à la fois par notre hérédité, notre éducation, notre culture, tout notre vécu, et toutes nos expériences passées, bonnes ou mauvaises. Elle caractérise donc notre personnalité unique, avec notre caractère, nos aspirations, nos qualités et nos défauts, ainsi que l’image que nous avons de nous-mêmes, plus ou moins positive ou négative.

Que dit la psychologie concernant notre identité ?

Examinons rapidement, dans un premier temps, comment la psychologie, en tant que « science humaine », s’efforce de définir notre identité personnelle, sur le plan psychique. « Psychologie » signifie « science de l’âme ». Employer le mot de « science » pour définir une science humaine, ne doit pas nous laisser penser que la psychologie puisse être mise sur le même plan que les sciences purement physiques. Celles-ci sont capables d’observer la matière et le domaine physique qui nous entoure, et d’en définir les lois absolues et universelles.

Ce n’est pas du tout le cas de la psychologie et des sciences humaines en général, qui observent et étudient la nature et le fonctionnement, individuel et social, d’êtres humains dont le psychisme est extrêmement complexe et mouvant.

La psychologie ne peut donc que proposer diverses théories permettant de décrire et de tenter d’expliquer la nature et le fonctionnement de l’âme humaine, mais reste bien en peine d’en définir des lois absolues et universelles. Les psychologues et les philosophes se sont depuis longtemps intéressés au problème de l’identité humaine. Cette question de l’identité a donné lieu à de nombreuses théories, souvent radicalement opposées entre elles.

Par exemple, les psychologues se sont intéressés au fait de savoir si l’être humain était, en soi, bon ou mauvais, capable de manifester surtout ce qui était positif et constructif pour lui-même et pour les autres ou, au contraire, capable de manifester surtout ce qui était négatif et destructeur pour lui-même et pour les autres.

Certains, mais ce sont les moins nombreux, affirment que l’être humain est fondamentalement mauvais, et qu’il a donc fortement besoin d’être contrôlé, éduqué et discipliné, afin que la vie sociale ne devienne pas un chaos infernal. La plupart des psychologues affirment au contraire que l’homme est fondamentalement bon, mais que c’est la société qui le rend mauvais. Il suffirait alors d’améliorer les conditions de son environnement et de la vie sociale, pour que l’on puisse voir s’épanouir toute la « bonté » de la nature humaine.

Pour prendre un autre exemple, il existe un débat toujours actuel entre les matérialistes purs, de moins en moins nombreux, qui prétendent que le psychisme humain n’est qu’une question de neurones et d’assemblage complexe de cellules nerveuses, et ceux, de plus en plus nombreux, qui affirment qu’il existe une réalité « spirituelle » ou « psychique » qui dépasse la simple existence physique, comme peuvent le montrer certaines expériences de mort imminente ou de « sorties du corps » momentanées.

La grande majorité des scientifiques purs ont depuis longtemps constaté qu’il y a un énorme pas à franchir, entre le système physico-chimique le plus complexe de la matière, et la cellule vivante la plus simple. L’homme n’a jamais réussi à fabriquer la moindre cellule vivante, ni même à expliquer avec certitude comment la vie a pu apparaître sur la terre.

En outre, la plupart des scientifiques qui étudient les lois de l’univers et de la physique fondamentale, ou ceux qui étudient simplement le corps physique humain, doivent admettre qu’un univers matériel aussi parfait et aussi complexe n’a pu être conçu que par une intelligence infiniment supérieure, même si certains hésitent encore à appeler « Dieu » cette intelligence.

Tous les psychologues sont cependant d’accord pour dire que le psychisme d’un être humain, tout en étant extrêmement complexe, peut toutefois être décrit sur plusieurs niveaux : le niveau conscient, le niveau subconscient, et le niveau inconscient.

Au niveau conscient, ils distinguent :

– Le domaine de l’intellect. Il s’agit de la capacité de comprendre, de raisonner, de réfléchir, d’analyser, de comparer et d’organiser des pensées et des idées.

– Le domaine des sentiments, des émotions et des croyances. Pour simplifier, nous définirons ce domaine comme étant celui du cœur. C’est notre cœur qui aime et qui croit. C’est donc aussi le domaine de nos systèmes de valeurs, de nos priorités et de nos motivations.

– Le domaine de la volonté. Il s’agit de la capacité de décider et de prendre des résolutions.

– Au niveau subconscient, ils constatent que nous sentons parfois « remonter » à notre conscience des pensées, des émotions, des intuitions, des révélations, des prémonitions, des rêves, des « flashes », voire des bouffées d’angoisse, dont nous ignorons la provenance exacte, et qui peuvent avoir des conséquences importantes, positives ou négatives, sur notre vie consciente.

– Au niveau inconscient, ils ont pu démontrer qu’il existait « au fond » de chacun de nous un « réservoir » indéterminé de pensées, d’émotions, d’aspirations, de désirs, de frustrations, voire de traumatismes cachés, enfouis ou refoulés, dont nous ne sommes pas conscients, mais qui peuvent avoir des influences déterminantes sur notre vie consciente.

Pour la psychologie, l’inconscient représente d’une sorte de grand « fourre-tout », qu’elle a bien du mal à explorer et à définir, pour la simple raison que cet inconscient touche en grande partie au domaine spirituel, auquel elle ne peut pas accéder.

Que dit la Bible concernant notre identité ?

À présent, étudions ce que dit la Bible en ce qui concerne notre identité humaine. La Parole de Dieu nous révèle que l’être humain est composé de trois parties distinctes : l’esprit, l’âme et le corps.

Pour simplifier, nous dirons que notre âme est notre être psychique intérieur, essentiellement notre être intérieur conscient. C’est le domaine qui intéresse la psychologie, et dont nous venons de parler. Tandis que la psychiatrie s’efforce d’étudier et de soigner les maladies ou les traumatismes psychiques.

Le corps, notre enveloppe extérieure matérielle, est le domaine qui intéresse en particulier la médecine, qui s’efforce d’étudier et de soigner les maladies ou les traumatismes physiques.

Toutefois, ni la psychologie, ni la psychiatrie, ni la médecine n’ont accès à deux réalités fondamentales, qui ne nous sont révélées que par la Bible. Il s’agit, d’une part, de la réalité de notre esprit, et, d’autre part, de la réalité de la puissance de péché et de mort qui demeure dans notre corps physique, et que la Bible appelle « la chair ». Nous en reparlerons plus loin, car beaucoup de chrétiens ignorent aussi ces deux réalités.

Pourquoi la psychologie, la psychiatrie et la médecine n’ont jamais pu avoir un accès direct à des deux réalités ? Parce qu’il s’agit de réalités spirituelles, qui ne sont donc pas accessibles à nos cinq sens.

Toutes les sciences développées par l’homme reposent en effet sur des informations que nous communiquent nos sens. Or ni l’esprit, ni la puissance de péché et de mort qui demeure dans nos membres, n’appartiennent au domaine matériel.

Nos sens ne peuvent que constater les effets de l’esprit et de la puissance de péché, sur le plan matériel observable, mais ils sont incapables de pénétrer directement dans le monde spirituel.

Le monde spirituel qui nous entoure et nous pénètre ne peut être contacté que de deux manières : soit d’une manière illégale et interdite par Dieu, c’est-à-dire au moyen des sciences dites occultes, soit d’une manière légale et autorisée, par la foi en Christ et en sa Parole.

Rappelons ce qu’est l’esprit, selon la Bible.

Notre esprit est notre être intérieur véritable, dont nous ne sommes normalement pas conscients. Notre être intérieur conscient, ou encore notre âme, n’est pas notre être intérieur véritable.

Les seuls êtres humains (non convertis à Christ) qui sont conscients d’avoir un esprit sont les satanistes et les occultistes, qui peuvent, par la puissance de Satan, sortir consciemment de leurs corps et aller servir le malin dans leur esprit.

Notre esprit est un « homme intérieur » complet. Il est constitué d’une « substance spirituelle » réelle, mais impossible à contacter par nos sens. Notre esprit a la même forme que notre corps physique : il possède une tête avec des yeux, des oreilles, un nez, une bouche, un tronc, des bras, des jambes, etc… Notre esprit possède aussi un intellect, des émotions, une volonté.

C’est notre esprit qui est le centre de vie en nous, et c’est lui qui communique la vie à notre âme et à notre corps. La mort physique se produit quand l’esprit quitte le corps.

C’est Dieu qui crée tous les esprits.

La Bible nous enseigne que Dieu est le « Père des esprits » : « D’ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés, et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie ? » (Hébreux 12 v. 9).

Cela signifie que c’est Dieu qui crée les esprits de tous les êtres humains. Une fois créé par Dieu, l’esprit reste immortel. Il ne cesse jamais d’exister, même après la mort physique.

Quand Dieu crée-t-Il un esprit ? Au moment de l’union des deux cellules initiales dans le sein maternel. C’est à ce moment précis que l’esprit de ce petit être vivant est créé et se revêt de son corps physique. L’esprit créé par Dieu est parfaitement pur et saint, comme tout ce que crée Dieu. C’est pour cela que l’esprit de tout bébé avorté ou mort en bas âge, est directement admis dans le paradis de Dieu.

Mais l’embryon de corps physique dont est revêtu cet esprit lui est transmis par les parents. Or le péché réside dans notre corps physique, depuis la chute d’Adam et d’Eve dans le jardin d’Éden. Cela permet de comprendre que ce péché latent, à partir d’un certain âge, se manifeste sous la forme d’une désobéissance consciente aux lois établies par Dieu, ce qui fait alors tomber l’esprit de l’enfant dans la mort spirituelle.

La mort spirituelle de notre esprit ne signifie pas qu’il cesse d’exister. Mais cela signifie que le lien qui unissait Dieu à notre esprit, depuis sa création, a été rompu par le péché conscient.

L’esprit continue d’exister, mais se trouve coupé de Dieu et plongé dans la mort spirituelle, qui est la nature même de Satan, et qui caractérise tout le royaume des ténèbres contrôlé par Satan, le prince de la mort.

L’exemple de l’apôtre Paul.

L’apôtre Paul décrit exactement ce qui lui est arrivé, et qui est aussi l’expérience de tout être humain : « Je n’ai connu le péché que par la loi. Car je n’aurais pas connu la convoitise, si la loi n’eût dit : Tu ne convoiteras point. Et le péché, saisissant l’occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises ; car sans loi le péché est mort (c’est-à-dire dormant, inactif). Pour moi, étant autrefois sans loi, je vivais ; mais quand le commandement vint, le péché reprit vie, et moi je mourus.

Ainsi, le commandement qui conduit à la vie se trouva pour moi conduire à la mort. Car le péché, saisissant l’occasion, me séduisit par le commandement, et par lui me fit mourir. La loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon. Ce qui est bon a-t-il donc été pour moi une cause de mort ? Loin de là ! Mais c’est le péché, afin qu’il se manifestât comme péché en me donnant la mort par ce qui est bon, et que, par le commandement, il devînt condamnable au plus haut point » (Romains 7 v. 7 à 13).

La loi dont parle Paul est la loi de Dieu, l’ensemble des commandements prescrits par Dieu dans sa Parole, notamment dans la Loi de Moïse, qui était celle que devait respecter le petit Paul en grandissant. Tant que Paul, petit enfant, n’était pas en état de pouvoir comprendre la loi de Dieu, c’est comme s’il était « sans loi », et son esprit est alors demeuré dans la vie éternelle.

Mais lorsque les commandements de la loi « vinrent », c’est-à-dire quand Paul fut capable de les comprendre, et qu’il a commencé à s’efforcer de leur obéir, alors le péché, qui résidait dans ses membres, et qui était jusque-là « mort », c’est-à-dire inactif, non stimulé, ce péché reprit vie, et poussa Paul à désobéir aux commandements de Dieu, sans qu’il puisse s’y opposer.

Car la puissance de péché qui demeure dans nos membres, la chair, est incapable d’obéir à la loi de Dieu. Au moment où Paul, pour la première fois de sa jeune vie, a donc désobéi consciemment à un commandement de la loi de Dieu, son esprit est alors tombé dans la mort spirituelle. Lorsqu’il dit : « le péché reprit vie, et moi je mourus ! » il parle nécessairement d’une mort spirituelle, puisqu’il continuait à vivre sur le plan physique.

C’est alors que Paul a dû, comme chacun de ceux qui se convertissent à Christ, passer par une nouvelle naissance, celle de son esprit. Par cette nouvelle naissance, notre esprit passe de la mort spirituelle à la vie éternelle.

Ce n’est pas la loi de Dieu qui a été la cause de la mort spirituelle de Paul. Mais la loi a simplement été le déclencheur de sa mort spirituelle, causée en réalité par le péché, qui s’est automatiquement rebellé contre la loi de Dieu. Aucun être humain ne peut échapper à la mort spirituelle, car tous les hommes ont péché et sont coupés de Dieu.

« Car nous avons déjà prouvé que tous, Juifs et Grecs, sont sous l’empire du péché, selon qu’il est écrit : il n’y a point de juste, pas même un seul ; nul n’est intelligent, nul ne cherche Dieu ; tous sont égarés, tous sont pervertis ; il n’en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul ; leur gosier est un sépulcre ouvert ; ils se servent de leurs langues pour tromper ; ils ont sous leurs lèvres un venin d’aspic ; leur bouche est pleine de malédiction et d’amertume ; ils ont les pieds légers pour répandre le sang ; la destruction et le malheur sont sur leur route ; ils ne connaissent pas le chemin de la paix ; la crainte de Dieu n’est pas devant leurs yeux » (Romains 3 v. 10 à 18).

La nature humaine est donc mauvaise en soi, et il est impossible de la transformer radicalement par nos propres efforts. Une telle description de l’être humain nous prouve que la nature humaine est foncièrement mauvaise, contrairement à ce qu’affirment la plupart des psychologues.

Et que ce n’est pas en l’éduquant et en la disciplinant que cette nature sera transformée en nature foncièrement bonne : « Un Éthiopien peut-il changer sa peau, et un léopard ses taches ? De même, pourriez-vous faire le bien, vous qui êtes accoutumés à faire le mal ? » (Jérémie 13 v. 23).

Ni la culture, ni l’éducation ne peuvent changer la nature profonde de l’être humain pécheur. Elles ne peuvent que la recouvrir d’un vernis trompeur.

Pour changer radicalement cette nature de péché, il faut une intervention divine, qui s’appelle la « nouvelle naissance » de notre esprit.

« Car nul ne sera justifié (rendu juste) devant lui par les œuvres de la loi, puisque c’est par la loi que vient la connaissance du péché. Mais maintenant, sans la loi est manifestée la justice de Dieu, à laquelle rendent témoignage la loi et les prophètes, justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. Il n’y a point de distinction. Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ.

C’est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu’il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je, de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus » (Romains 3 v. 20 à 26).

Ce passage nous montre qu’il est heureusement possible d’être libéré de cet état de mort spirituelle. Il nous faut pour cela nous reconnaître pécheurs devant Dieu, et croire que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous a rachetés de nos péchés en les prenant dans son corps sur la croix, pour les expier à notre place (1 Pierre 2 v. 24).

Tous ceux qui croient cela reçoivent le plein pardon de leurs péchés. Mais, bien plus encore, Dieu fait alors passer leur esprit, qui était plongé dans la mort spirituelle, par une nouvelle naissance spirituelle.

Cet homme intérieur qui était spirituellement mort, et que Paul appelle le « vieil homme », devient instantanément un « homme nouveau ». Dieu recrée littéralement notre esprit à l’image de Christ et de son propre Esprit, c’est-à-dire dans une justice et une sainteté parfaites.

« Que dirons-nous donc ? Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ? Loin de là ! Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché ? Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés (plongés) en Jésus-Christ, c’est en sa mort que nous avons été baptisés ? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.

En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection, sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût détruit (réduit à l’impuissance), pour que nous ne soyons plus esclaves du péché ; car celui qui est mort est libre du péché.

Or, si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui, sachant que Christ ressuscité des morts ne meurt plus ; la mort n’a plus de pouvoir sur lui. Car il est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes ; il est revenu à la vie, et c’est pour Dieu qu’il vit. Ainsi vous-mêmes, regardez-vous comme morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Jésus-Christ » (Romains 6 v. 1 à 11).

  « L’homme nouveau, créé selon Dieu (à l’image de Dieu) dans une justice et une sainteté que produit la vérité » (Éphésiens 4 v. 24).

  « L’homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé » (Colossiens 3 v. 10).

  Notre esprit possède les pensées de Christ, les sentiments de Christ, et la volonté de Christ.

 

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