2. Sermons choisis

2. Sermons choisis

Chap: 1 - Avertissement à ceux qui font profession de piété (suite et fin du chapitre) -Saint Paul nous offre le modèle accompli d’un ministre chrétien. Pasteur vigilant, il se préoccupait sans cesse du troupeau confié à ses soins. Il ne se bornait pas à prêcher l’Évangile et ne croyait pas avoir rempli tout son devoir en annonçant le salut.

En premier lieu, ils contristent et affligent singulièrement le corps de Christ, c’est-à-dire l’ensemble des fidèles. Ils sont la cause, sans contredit, des gémissements les plus douloureux qui ne se soient jamais échappés du cœur des enfants de Dieu. Qu’un incrédule m’insulte : et me couvre de boue dans la rue, je crois que je le remercierai de l’honneur qu’il me fait, si je sais qu’il m’injurie pour le nom de Christ ; mais si un soi-disant chrétien faisait rejaillir sur la cause de mon Maître la souillure d’une vie déréglée, mon cœur serait navré au dedans de moi, car je sais que de tels scandales sont plus préjudiciables à l’Évangile que les bûchers et les tortures. Que tout homme qui hait le Seigneur Jésus m’accable de malédictions, je ne verserai pas une seule larme ; mais quand je vois un de ses prétendus disciples le renier et le trahir, comment pourrais-je ne pas affliger mon âme et quel est le chrétien qui ne s’affligerait pas avec moi ?

En second lieu, des faux frères amènent infailliblement à leur suite des divisions dans l’Église.

Je dis ceci avec la plus entière persuasion si l’on remontait à la source de nos discordes ecclésiastiques, l’on trouverait que toutes ou presque toutes doivent être mises sur le compte des formalistes, qui, par leur conduite inconséquente, ont obligé les chrétiens vivants à se séparer d’eux. Il y aurait plus d’unité parmi nous si des hypocrites ne se glissaient pas dans nos rangs ; il y aurait plus de cordialité, plus d’abandon, plus d’amour fraternel, si ces habiles séducteurs ne nous avaient appris à nos dépens à nous montrer réservés et soupçonneux. 

De plus, ils sont toujours les premiers à parler mal des véritables croyants, et à semer entre eux des querelles. Et de tout temps, il en a été ainsi. Ce qui a fait essuyer à l’Église de Dieu les plus graves dommages dont elle ait jamais eu à souffrir, ce ne sont pas les traits meurtriers de ses ennemis avoués ; non, ce sont les incendies secrètement allumés dans son propre camp par des hommes, parés, il est vrai, du masque de la piété, mais qui n’en étaient pas moins des espions et des traîtres.

Remarquons, en outre, que de telles personnes font un mal incalculable aux inconvertis. Que de pauvres pécheurs, qui commençaient à se tourner vers Christ, sont retenus loin de lui par le scandaleux désaccord existant entre la conduite et les principes de certains chrétiens ! Que de piétés naissantes qui vont se briser chaque jour contre cette pierre d’achoppement !

Et ici, permettez-moi, mes frères, de vous raconter un fait qui confirme, d’une manière saisissante, la vérité de ce que j’avance. J’espère sentir moi-même tout ce qu’il a de sérieux et je prie Dieu de vous le faire sentir également. Un jeune ministre, de passage dans une église de village, y donna une prédication qui parut faire une profonde impression sur l’auditoire. Un jeune homme en particulier fut tellement remué par les paroles solennelles du prédicateur, qu’il résolut d’avoir un entretien avec lui. À cet effet, il l’attendit à la sortie de l’église, et offrit de l’accompagner à la maison où il logeait. Chemin faisant, le ministre parla de tout, excepté de l’Évangile. Grande était l’angoisse du jeune homme.

Il se hasarda bien à poser à son compagnon une ou deux questions concernant le salut de son âme, mais celui-ci y répondit froidement et d’une manière évasive, comme si le sujet était de peu d’importance.

Enfin, on arrive à la maison ; plusieurs personnes s’y trouvaient réunies, et aussitôt notre prédicateur entame une conversation des plus légères, qu’il assaisonne de force bons mots et de force bouffonneries. Bientôt même, encouragé sans doute par les rires approbateurs qui ont accueilli ses premières facéties, il s’oublie au point de prononcer des paroles qu’on pourrait presque appeler licencieuses. Indigné, hors de lui, le jeune homme se lève brusquement ; il quitte sur le champ la maison, et lui, qui une heure auparavant pleurait en entendant parler du Seigneur, s’écrie maintenant avec rage :

« La religion est un mensonge ! Dès ce moment, je ne crois plus ni en Christ ni en Dieu. Si je suis damné, que mon âme soit redemandée à cet homme, car c’est lui qui l’aura perdue ! Se conduirait-il comme il le fait, s’il était convaincu lui-même des choses qu’il enseigne aux autres ? Non ! il est un vil hypocrite, et désormais, je ne veux plus écouter ni lui ni son Évangile ! »

Le malheureux tint parole ; toutefois, lorsque, quelque temps après, il se vit couché sur son lit de mort, il demanda à voir le jeune ministre. Par une coïncidence remarquable, ce dernier, qui habitait d’ordinaire une paroisse éloignée, se trouvait actuellement dans le village, où Dieu l’avait reconduit, n’en doutons pas, afin qu’il y reçût la peine de son péché. Sa Bible à la main, il entre dans la chambre du moribond, et s’apprêtait à lire et à prier, lorsque celui-ci l’arrête :

« Je vous ai entendu prêcher une fois, Monsieur ! » lui dit-il en le regardant fixement. « Dieu soit béni ! » répond le ministre, croyant sans doute avoir affaire à une âme convertie par son moyen. « Il n’y a pas lieu de bénir Dieu, que je sache, continue froidement le malade ; vous souvenez-vous d’avoir prêché ici, tel jour, sur tel texte ? Oui je m’en souviens parfaitement. Eh bien, Monsieur, je tremblais en vous écoutant ; je frémissais, j’étais éperdu. Je quittai l’église avec l’intention ferme de fléchir le genou devant Dieu et de chercher son pardon en Christ. Mais vous rappelez-vous certains propos que vous tintes, le même soir, dans telle maison ?

« Non », dit le ministre.

« Il faut donc que j’aide votre mémoire, Monsieur, reprend le moribond, mais avant tout, notez bien ceci : à votre conduite de ce soir-là, mon âme doit d’être damnée, et aussi vrai que j’ai encore un souffle de vie, aussi vrai je vous accuserai devant le tribunal de Dieu d’être la cause de ma condamnation ! » Ayant dit cela, le malheureux ferma les yeux et mourut.

Je crois, mes frères, qu’il vous serait difficile de concevoir ce qui se passait dans le cœur du ministre en s’éloignant de ce lit funèbre… Toute sa vie, il devra traîner après lui cet horrible, cet épouvantable remords : « Il y a une âme en enfer qui m’accuse de sa perte ! »

Et un remords semblable, je le crains, pèsera un jour sur la conscience de bien des membres de nos Églises. Combien de jeunes gens, en effet, ont été détournés de la sérieuse recherche de la vérité par les censures âpres et amères de nos modernes Pharisiens !

Combien d’âmes droites et sincères ont été prévenues contre la saine doctrine par la conduite peu édifiante de ceux qui faisaient hautement profession d’y adhérer ! Ah ! « malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ! car, non seulement vous n’entrez point vous-mêmes dans le royaume des cieux, mais vous empêchez d’y entrer ceux qui voudraient le faire ; vous vous emparez de la clef de la connaissance, vous fermez à double tour par vos infidélités la porte du salut, et vous chassez, par votre flagrante hypocrisie, les âmes qui étaient disposées à s’en approcher ! »

Un autre déplorable effet de la conduite des chrétiens formalistes, c’est qu’elle cause une grande joie au démon et à son parti. Peu m’importe ce que disent les incrédules dans leurs livres ou leurs discours : quelque habiles qu’ils soient (et certes ils ont bien besoin de l’être pour prouver l’absurde et donner à l’erreur un semblant de vérité), quelque habiles qu’ils soient, je le répète, peu m’importent leurs attaques, aussi longtemps qu’elles ne s’appuient que sur des mensonges.

Mais quand ils peuvent nous adresser des reproches mérités, quand les accusations qu’ils intentent à l’Église de Dieu sont fondées, oh ! c’est alors qu’ils sont à craindre, et c’est alors aussi que Satan triomphe. Qu’un homme se conduise en chrétien droit et intègre, il désarmera bientôt la critique ; qu’il mène une vie sainte et irrépréhensible, et on se lassera bientôt de rire à ses dépens ; mais s’il cloche des deux côtés, s’il agit tantôt en chrétien, tantôt en mondain, qu’il ne l’oublie pas, il fournit des armes aux adversaires et leur donne occasion de blasphémer contre l’Évangile. Ah ! qui pourrait dire les immenses avantages que le démon a remportés sur l’Église à cause des infidélités de ceux qui prétendaient en être membres ? « Vous dites et ne faites point, votre vie n’est pas en accord avec vos principes ! » : telle est la plus redoutable machine de guerre avec laquelle Satan bat en brèche la muraille de l’Église.

Soyez donc sur vos gardes, mes chers auditeurs ; veillez constamment sur vous-mêmes, afin de ne pas déshonorer la cause que vous faites profession d’aimer.

Et ici, je me sens pressé de m’adresser en particulier à ceux d’entre vous qui, comme moi, ont des vues très arrêtées sur l’élection de grâce. Vous le savez, parce que nous croyons à un salut purement gratuit, parce que nous disons avec saint Paul : « Cela, ne vient pas de celui qui veut ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde » (Romains 9 v. 16) ; en d’autres termes, parce que nous exaltons la grâce souveraine de notre Dieu, on nous traite d’ultra-calvinistes, d’antinomiens, on nous regarde comme le rebut de toute la terre, on accuse nos doctrines d’encourager le vice et l’immoralité.

Voulons-nous donc, mes bien-aimés, réfuter victorieusement la calomnie ? Efforçons-nous de vivre d’une manière de plus en plus digne de notre vocation ; craignons, par nos chutes et par nos faiblesses, de donner prise aux attaques de nos adversaires ; en un mot, prenons garde de ne pas jeter de la défaveur sur ces saintes vérités qui nous sont aussi chères que la vie, et auxquelles nous espérons rester fidèles jusqu’à la mort.

3. Passions à la troisième cause profonde. 

Douleur que Paul éprouvait en écrivant notre texte. Cette cause, nous vous l’avons déjà dit, était le sort réservé aux faux frères de Philippes ; c’est ce que nous apprennent ces mots : Leur fin est la perdition. Entendez-vous, mes frères ! La fin des formalistes sera la perdition, et j’ose ajouter, la pire des perditions.

Oui, s’il y a en enfer des chaînes plus lourdes que les autres ; s’il y a des prisons plus sombres, des flammes plus brûlantes, des angoisses plus cruelles, des tourments plus intolérables, assurément, ils seront le partage de ceux dont la profession de piété n’a été qu’un indigne mensonge !

En vérité, pour ma part, je préférerais mourir pécheur scandaleux, que chrétien hypocrite. Oh ! quel réveil que celui d’une âme qui, après avoir eu le bruit de vivre dans ce monde, est jetée avec les menteurs dans l’autre ; qui, après s’être élevée jusqu’aux cieux d’ici-bas, se voit abaissée jusqu’en enfer dans l’éternité ! Et plus le formaliste a réussi à se séduire lui-même, plus terrible sera son désillusionnement. Il avait pensé porter à ses lèvres la coupe pleine de délices du paradis, et au lieu de cela, il se voit condamné à boire jusqu’à la lie l’amer breuvage de l’enfer ! Il comptait entrer sans difficulté par les portes de la nouvelle Jérusalem, et voilà qu’il les trouve fermées ! Il s’imaginait que pour être admis dans la salle des noces, il lui suffirait de crier :

Seigneur, Seigneur, et voilà qu’il entend prononcer contre lui, non pas simplement la malédiction générale adressée à la masse des pécheurs, mais cette sentence, mille fois plus terrible et plus amère, parce qu’elle est plus directe et plus personnelle : « Retirez-vous de moi, je ne vous ai jamais connu » (Matthieu 7 v. 23) ! « Quoique vous ayez mangé et bu en ma présence, quoique vous soyez entré dans mon sanctuaire, vous, êtes un étranger pour moi et je le suis pour vous ! »

Mes frères, un tel sort, plus lugubre que le sépulcre, plus horrible que l’enfer, plus désespérant que le désespoir, un tel sort deviendra inévitablement le partage de ces prétendus chrétiens qui ont leur ventre pour Dieu, qui mettent leur gloire dans ce qui est leur confusion, et qui placent leurs affections dans les choses de la terre.

Et maintenant, permettez-moi, avant de finir, de répondre à diverses pensées que peut vous avoir suggérées ce que vous venez d’entendre. Si je ne me trompe, quelques-uns d’entre vous se disent en ce moment même : « Voilà, certes, un prédicateur qui n’épargne pas les Églises, et il a raison. Il leur a fait entendre de dures vérités. Quant à moi, je partage complètement son avis : ces gens qui font profession de piété, qui se donnent des airs de saints, sont tous des hypocrites et des imposteurs. Je l’ai toujours cru, il n’y en a pas un de sincère ! »

Arrêtez, mon ami. À Dieu ne plaise que j’aie dit rien de semblable à ce que vous avancez là ! je serais bien coupable si je l’avais fait. Il y a plus : je soutiens que le fait seul qu’il existe des hypocrites est une preuve irrécusable qu’il existe aussi des chrétiens sincères. « Comment cela ? » me répondez-vous. Eh ! c’est bien simple, mon cher auditeur. 

Croyez-vous qu’il y eût de faux billets de banque dans le monde s’il n’y en avait pas de bons ? Croyez-vous qu’on cherchât à mettre de la fausse monnaie en circulation, s’il n’y en avait de bon aloi ? Évidemment non. La contrefaçon présuppose nécessairement l’existence de la chose contrefaite. Si donc il n’existait pas de vraie piété, il n’y en aurait pas non plus de fausse. Et de même que c’est la valeur du billet de banque qui engage le faussaire à le reproduire, de même c’est l’excellence du caractère chrétien qui donne l’idée à certaines gens de l’imiter. N’ayant pas la réalité, ils veulent du moins avoir l’apparence ; n’étant pas de l’or pur, ils se plaquent de façon à en avoir l’air. Je le répète, et le plus simple bon sens suffit à nous le faire comprendre : puisqu’il y a de faux chrétiens, il doit nécessairement y en avoir de véritables.

« Bien dit ! » pense peut-être un autre de mes auditeurs ; « oui, grâces à Dieu, il existe de sincères, de véritables chrétiens, et j’ai le bonheur d’être du nombre. Jamais, je n’ai eu ni doute ni crainte à cet égard ; je sais que je suis un élu de Dieu, et quoique, il est vrai, je ne me conduise pas toujours, comme je pourrais le désirer, j’ose d’ire que si je ne vais pas au ciel, peu de personnes iront. Ainsi, prédicateur de l’Évangile, à d’autres tes avertissements ! Depuis plus de vingt ans, je suis membre de  l’Église ; depuis plus de dix, j’ai l’honneur de siéger au conseil des   anciens ; je jouis de la considération de mes frères : rien ne saurait ébranler ma confiance. Quant à mon voisin que voilà, c’est autre chose. Je crois qu’il fera bien de s’assurer de la réalité de sa conversion ; mais, encore une fois, pour ce qui me concerne, tout est bien, je suis parfaitement tranquille ! »

Ah ! mon cher auditeur, me pardonnerez-vous si je vous dis que votre excès d’assurance m’inspire les plus graves inquiétudes ? Si vous n’avez jamais eu de craintes sur la valeur de votre piété, je commence à en avoir ; si vous ne doutez pas quelquefois de vous-même, je ne puis que trembler ; car, vous le dirai-je ?

J’ai observé que tous les enfants de Dieu sont d’une extrême méfiance à leur propre égard, et qu’ils craignent plus que qui que ce soit de se faire illusion. Jamais encore je n’ai rencontré un vrai croyant qui fût content de son état spirituel. Puis donc que vous vous déclarez si particulièrement satisfait du vôtre, excusez-moi, mais je ne puis en vérité apposer ma signature au certificat de piété que vous vous délivrez à vous-même. Il se peut que vous soyez très bon ; toutefois, souffrez que je vous conseille de vous examiner pour voir si vous êtes dans la foi, de peur qu’étant enflé dans votre sens charnel, vous ne tombiez dans les pièges du malin.

Jamais trop sûr, est une devise qui convient parfaitement au chrétien. Étudiez-vous, tant qu’il vous plaira, à affermir votre vocation et votre élection ; mais, de grâce, n’ayez jamais une trop haute, opinion de vous-même, gardez-vous de la présomption.

Combien d’hommes excellents à leurs propres yeux, qui sont des démons aux yeux de Dieu ! Combien d’âmes très pieuses dans l’opinion de l’Église, qui ne sont que souillure devant le Saint des saints ! Que chacun de nous s’éprouve donc soi-même, et disons avec le Psalmiste : « Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon cœur ! Eprouve-moi, et connais mes pensées ! Regarde si je suis sur une mauvaise voie, et conduis-moi sur la voie de l'éternité ! » (Psaume 134 v. 23 et 24).

Mes bien-aimés, si les avertissements que vous venez d’entendre avaient pour résultat de faire naître en vous de telles pensées, de vous inspirer une semblable prière, je bénirais Dieu du fond de mon âme de m’avoir permis de vous les adresser.

Enfin, il y a sûrement ici quelques-uns de ces esprits légers et insouciants auxquels il importe peu, disent-ils, d’appartenir ou non à Christ. Ils comptent vivre comme par le passé dans l’oubli de Dieu, méprisant ses menaces et se moquant de son nom. Insensés et    aveugles ! un jour viendra, sachez-le, où votre rire sera changé en pleurs, où vous sentirez le besoin de cette religion que vous dédaignez aujourd’hui !

À bord du vaisseau de la vie, naviguant sur une mer paisible, vous vous moquez à présent de la chaloupe de sauvetage ; mais attendez que la tempête gronde, et vous voudrez vous y précipiter à tout prix. 

Maintenant, vous ne faites aucun cas, du Sauveur, parce qu’il vous semble que vous n’avez nul besoin de lui ; mais lorsque la mort se saisira de vous, lorsque viendra l’orage de la colère divine, (retenez bien ceci, ô pécheurs !) vous qui maintenant ne voulez pas prier Christ, vous hurlerez après lui ! vous qui maintenant refusez de l’appeler, vous le poursuivrez alors par vos cris de désespoir ! votre cœur qui maintenant n’éprouve aucun désir de le posséder, se pâmera après lui, dans une inexprimable angoisse, !…

« Retournez, retournez ! convertissez-vous ; et pourquoi mourriez-vous, ô maison d’Israël » (Ézéchiel 33 v. 11).

Ô veuille le Seigneur vous amener à lui, et faire de vous ses sincères, ses véritables enfants, en sorte que votre fin ne soit pas la perdition, mais que vous soyez sauvés dès à présent, et sauvés pour l’éternité !

 

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« Le Seigneur n'est pas satisfait par un peuple qui ne serait que sauvé. Le Seigneur a fixé Son objectif : La pleine connaissance de Lui-même. »

- Théodore Austin-Sparks

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