4. La famille chrétienne

4. La famille chrétienne

Chap: 1 - Le couple selon Dieu (suite et fin du chapitre) - Les problèmes de divorces et de remariages, sont de plus en plus nombreux au sein de l’Église de Jésus-Christ. Ce sont les fondements de la vie chrétienne qui sont ébranlés ou détruits. 

Paul termine ce chapitre fondamental en répétant encore une fois la pensée du Seigneur concernant le mariage, le divorce et le remariage : « Une femme est liée aussi longtemps que son mari est vivant ; mais si le mari meurt, elle est libre de se marier à qui elle veut ; seulement, que ce soit dans le Seigneur. Elle est plus heureuse, néanmoins, si elle demeure comme elle est, suivant mon avis. Et moi aussi, je crois avoir l’Esprit de Dieu » (versets 39 et 40).

Paul rappelle en conclusion, la grande règle de l’indissolubilité de l’alliance du mariage, tant que l’un des conjoints est vivant. Seule la mort d’un conjoint autorise le remariage du survivant. Mais il (ou elle) sera plus heureux s’il reste seul. Et c’est l’Esprit de Dieu qui nous parle au travers de Paul.

Qu’en est-il des divorcés remariés dans l’Église ?

Nous pouvons tout d’abord résumer tout ce que nous venons d’étudier.

Le mariage est une alliance librement conclue entre un homme et une femme qui décident de s’unir pour fonder un foyer et avoir des enfants. Les seuls mariages qui sont nuls et non avenus sont les mariages obtenus par la force ou la tromperie, ou les mariages blancs arrangés, pour obtenir une nationalité par exemple (à moins que certains de ces mariages finissent par être librement consentis). Il est clair également que les mariages modernes conclus entre deux personnes du même sexe n’ont jamais été envisagés par le Seigneur, et sont considérés par la Bible comme des abominations.

Le mariage est une alliance de la même nature que l’alliance de Dieu avec Israël, et de Christ avec son Église. Il s’agit donc d’une alliance inviolable, que seule la mort peut rompre. Cette alliance est conclue même si les conjoints ne sont pas convertis à Christ. Le fait qu’ils ne se rendent pas compte de l’importance de l’alliance dans laquelle ils s’engagent n’enlève rien à la nature de cette alliance.

Sinon, tous les mariages conclus avant une conversion à Christ pourraient être automatiquement annulés par les nouveaux convertis, sous le prétexte qu’ils ont été conclus en dehors de la volonté de Dieu.  Certes, si les conjoints avaient été convertis avant leur mariage, ils auraient peut-être pu être mieux guidés par Dieu. Mais, une fois mariés avant leur conversion, et convertis ensuite, les époux peuvent s’en remettre à Dieu pour réussir parfaitement leur mariage, quels que soient leur choix antérieur à leur conversion.

En d’autres termes, même si les conjoints non convertis ont fait des choix personnels qui n’auraient pas été les mêmes s’ils avaient connu Dieu, une fois qu’ils sont mariés et convertis, Dieu peut leur permettre d’avoir une relation de couple parfaite.

Le Seigneur ne permet la séparation d’un couple que dans le cas de l’adultère ou de l’impureté sexuelle d’un conjoint. Mais cette séparation n’est pas obligatoire. Elle est simplement permise. La séparation des conjoints ne doit jamais être suivie d’un remariage, tant que l’un des conjoints est vivant. Tout remariage est un adultère, quelle que soit la raison du remariage.

Compte tenu de tout cela, de quelle manière faut-il considérer la situation des divorcés remariés dans l’Église ? Il faut parler ici de tous ceux qui ont divorcé avant de se convertir à Christ, et qui se sont remariés soit avant leur conversion, soit après, pour toutes les raisons communément admises dans la plupart des églises.

La première chose sur laquelle il nous faut à nouveau insister, c’est que nous devons absolument éviter toute position légaliste, religieuse et rigoriste. La Parole de Dieu doit être clairement prêchée dans toutes les églises, mais elle ne peut être imposée à personne. Toutefois, lorsque la Parole de Dieu est prêchée dans la vérité et avec l’assurance de la foi, le Saint-Esprit doit la confirmer dans le cœur de tous ceux qui aiment et qui recherchent la vérité.

Nous avons la pleine assurance que cet enseignement sur le couple est bien la pensée du Seigneur. Mais nous laissons la liberté à tous d’avoir d’autres convictions que les nôtres, tant que le Saint-Esprit et la Parole de Dieu ne les auront pas convaincus. Nous devons absolument laisser chacun libre de ses convictions, même quand ces convictions ne sont pas justes devant Dieu. Nous devons faire entièrement confiance au Seigneur, qui a dit que ses brebis entendront sa voix.

Ce qui complique grandement les choses, c’est que la Parole de Dieu n’est plus prêchée dans la vérité, et que trop de chrétiens font confiance à des révélations et des signes qui ne viennent nullement de Dieu ! Croyez-vous que le diable peut aussi nous donner des signes, quand il voit que nous sommes conduits par nos convoitises charnelles, et que nous ne sommes pas vraiment désireux d’obéir à la Parole du Seigneur ? Bien sûr qu’il le peut !

Nous devons donc attendre que chacun reçoive la pure Parole de Dieu dans un cœur ouvert, et que le Saint-Esprit donne Lui-même une pleine conviction de la vérité. Sans cela, Il ne pourra pas nous guider paisiblement dans la suite à donner à une situation matrimoniale compliquée, que Lui seul peut résoudre de manière pleinement satisfaisante pour Dieu.

Jésus n’a pas condamné la femme adultère surprise en flagrant délit. Mais il l’a renvoyée avec amour, en lui demandant de ne plus pécher. Il a fait de même avec la femme Samaritaine qui avait eu cinq maris, et dont le sixième n’était pas son mari. Jésus savait que ces femmes n’avaient pas besoin d’être traitées avec un esprit de condamnation, mais qu’elles devaient être guidées avec amour dans la vérité.

Avant de traiter concrètement de la situation des divorcés remariés dans l’Église, il nous semble nécessaire de réfuter un enseignement erroné, qui s’appuie sur une mauvaise interprétation d’un passage célèbre de la deuxième épître aux Corinthiens : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles »  (2 Corinthiens 5 v. 17).

On utilise ce verset, sorti une nouvelle fois de son contexte, pour justifier le remariage de tous ceux qui ont divorcé avant leur conversion. Puisque toutes choses anciennes sont passées, on prétend que toute notre vie passée est comme enfouie dans la mort de Christ, et nous pouvons commencer une vie nouvelle dans tous les aspects pratiques de notre vie. Tout ce que nous avons fait avant notre conversion est sous le sang de Jésus, et nous pouvons nous refaire une vie nouvelle, y compris dans le remariage. Tous nos engagements pris avant notre conversion sont annulés.

Il ne nous est pas permis de raisonner ainsi. Ce verset ne peut être compris que sur le plan spirituel, et non sur le plan pratique. Il concerne notre vie de péché passée, et notre nouvelle naissance spirituelle. Ce verset signifie que, dans notre esprit, nous devenons une création entièrement nouvelle. Notre esprit régénéré échappe dorénavant à l’hérédité et à la malédiction, héritées de nos ancêtres depuis la chute. Nous devenons en esprit un fils ou une fille de Dieu, participant de sa nature divine. Tous nos péchés passés sont effacés, et nous devenons, dans notre esprit, un être nouveau, créé dans une justice et une sainteté que produit la vérité.

Mais cela ne signifie nullement que l’alliance du mariage que nous avions conclue avant notre conversion soit annulée, ou que le divorce que nous avons obtenu avant notre conversion soit valide. Bien au contraire, cela signifie, maintenant que nous sommes devenus une nouvelle création en Christ, que nous pouvons réintégrer le plan parfait de Dieu, et que nous pouvons à présent entrer dans la volonté parfaite de Dieu pour nous.

Nous allons pouvoir faire, par l’esprit nouveau que nous avons reçu, et par la présence de l’Esprit de Dieu en nous, tout ce qu’il nous était impossible de faire quand nous étions perdus ou dans la chair. À présent, comme le dit le verset 21, que nous sommes devenus en Christ « justice même de Dieu », nous pouvons, par la puissance de l’Esprit de Dieu qui demeure en nous, nous comporter comme l’aurait fait Jésus Lui-même dans notre situation.

Tous nos engagements conclus avant notre conversion restent valables après notre conversion, qu’il s’agisse de nos engagements sociaux, financiers ou professionnels, ou, à plus forte raison, de l’alliance de notre mariage. Tout remariage d’un divorcé, qu’il soit effectué avant ou après la conversion, doit donc toujours être considéré comme un adultère, et traité comme tel.

Comment faut-il traiter la situation des divorcés remariés dans l’Église du Seigneur ?

En tout premier lieu, il faut absolument éviter toute attitude de jugement et de condamnation. Le remariage de divorcés a entraîné une série de drames personnels, qui ont sans doute été difficilement vécus, et qui ont causé de multiples blessures émotionnelles et personnelles. Les divorces ne se passent jamais bien, quoi que l’on dise. Ce sont toujours des déchirures qui entraînent souvent des sentiments d’échec et de condamnation. Nous devons être remplis d’amour pour ceux qui sont passés par de telles épreuves.

Il faut dire la vérité avec amour aux divorcés remariés dans l’Église. Il faut leur enseigner et leur expliquer clairement la Parole de Dieu, et leur montrer, par les Écritures, que le remariage des divorcés est toujours considéré par Dieu comme un adultère.

Mais Dieu n’est pas là pour condamner les adultères. Il est là pour pardonner nos fautes et nous aider à les réparer. La grâce de Dieu a été manifestée en Jésus-Christ pour nous conduire dans la pleine volonté de Dieu. Et cette volonté n’est jamais pénible. Elle n’est pénible que pour la chair. Mais nous ne sommes pas appelés à vivre par la chair.

Nous devons laisser ces divorcés remariés être pleinement convaincus de la vérité, par la Parole de Dieu et par le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit nous a été donné pour nous convaincre de péché, de justice et de jugement, et pour nous conduire dans toute la vérité. Normalement, un enfant de Dieu est un enfant de la vérité. Il aime la vérité et ne veut pas être conduit par le mensonge.

Nous pouvons avoir confiance : les brebis du Seigneur entendront toujours sa voix. Mais elles doivent ardemment désirer connaître la vérité, quel que soit le coût que cette connaissance peut entraîner pour leur vie personnelle. Certaines fausses convictions sont tellement ancrées que l’enseignement que nous présentons ici peut être considéré comme une « hallucination ». Il faut laisser au Seigneur le temps de révéler la vérité. Certains peuvent recevoir une conviction immédiate, alors que d’autres peuvent prendre plus de temps. Mais le Seigneur ne se lassera jamais.

Dès qu’ils sont convaincus de la vérité, les divorcés remariés doivent commencer par confesser leur péché et leur adultère devant le Seigneur. Une fois leur péché confessé, le Seigneur le leur pardonne immédiatement, et son sang précieux efface toute iniquité. Seul l’Esprit du Seigneur peut nous permettre, dans sa puissance et dans sa grâce, de prendre les bonnes décisions sans qu’il n’en résulte aucune conséquence négative.

« Car la grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée. Elle nous enseigne à renoncer à l’impiété et aux convoitises mondaines, et à vivre dans le siècle présent selon la sagesse, la justice et la piété, en attendant la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire du grand Dieu et de notre Sauveur Jésus-Christ, qui s’est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les bonnes œuvres » (Tite 2 v. 11 à 14).

Il faut hélas reconnaître qu’aujourd’hui ceux qui enseignent la vérité sont de moins en moins nombreux. La chair ne peut jamais obéir au Seigneur, ni même comprendre la pensée du Seigneur. Jésus Lui-même nous a prévenus qu’à la fin des temps, l’amour du plus grand nombre se refroidira, et que l’iniquité et la séduction grandiront. Il se demandait même s’Il allait trouver la foi quand Il reviendra. Il ne trouvera probablement qu’un petit reste fidèle. Mais c’est justement ce petit reste fidèle qui donnera un témoignage qui sera véritablement à la gloire de Dieu.

Quelle gloire, en effet, y a-t-il à donner le même témoignage que celui que le monde donne ?

Quelle gloire y a-t-il pour des divorcés à se remarier ? Le monde n’en fait-il pas autant ? Tandis que ceux qui se font eunuques pour le Royaume de Dieu peuvent rendre un témoignage à la gloire de leur Seigneur, et briller comme des lumières dans ce monde de ténèbres.

Témoignages.

Il y a quelques mois, nous étions invités dans une église de maison. À la fin de la prédication, un frère d’une cinquantaine d’années a voulu me raconter son témoignage. Vingt-cinq ans auparavant, il travaillait à évangéliser sa région en compagnie d’un autre couple chrétien. Peu après, le mari de l’autre couple reçut une « révélation divine » : il s’était trompé d’épouse, et celle que Dieu lui avait réservée était l’épouse de son frère chrétien. La femme de celui-ci a divorcé et s’est remariée avec son « séducteur ». Le frère qui me rendait témoignage me dit qu’il avait subi beaucoup de pressions, dans l’Église, pour qu’il se remarie, puisqu’il « était innocent », et que c’était sa femme qui était tombée dans l’adultère. 

Il a sincèrement voulu chercher la volonté du Seigneur dans cette affaire. Et il a été persuadé, par la Parole et par l’Esprit, qu’il devait rester fidèle à son épouse infidèle, et accepter de rester seul, de prier pour elle et de l’attendre. Il m’a avoué que cela lui fut très dur, d’autant plus que son épouse divorcée habite dans un village proche, et qu’ils ont dû continuer à se fréquenter à cause de leurs enfants. Mais il avait pris sa décision avec une pleine conviction, et pouvait donner un témoignage rare de fidélité.

Je lui ai fait part de la bénédiction que j’avais éprouvée à l’écoute de son témoignage, et je l’ai encouragé à persévérer. C’était la seule façon d’accumuler des charbons ardents sur la tête de son épouse, qui ne semblait pas vivre très bien sa situation actuelle. Que Dieu soit béni pour un tel témoignage !

Il y a trois mois, on m’a invité à présider un mariage. Lors du repas, il y avait à notre table deux sœurs en Christ : La mère du marié, et une autre sœur d’une soixantaine d’années. La mère du marié avait dû subir un divorce, suite à l’infidélité de son mari. Elle aussi avait dû subir des pressions pour se remarier, compte tenu de son innocence. Elle me dit alors qu’elle avait écouté l’un de mes enseignements sur le divorce et le remariage. Elle ajouta : « Dès que j’ai entendu ton enseignement, le Saint-Esprit m’a aussitôt convaincue, et j’ai pris la décision de rester seule ! » Gloire à Dieu !

J’ai ensuite demandé son témoignage à la sœur d’une soixantaine d’années. Elle aussi avait été abandonnée très jeune par son mari infidèle, alors qu’elle venait d’avoir une petite fille. Se demandant ce qu’elle devait faire, elle a été convaincue, par le Seigneur et sa Parole, qu’elle devait rester fidèle à son engagement du mariage. Pour elle, son mari divorcé était toujours son mari, et le resterait jusqu’à sa mort.

Elle nous donnait son témoignage avec un sourire paisible, qui prouvait que, malgré sans doute la grande souffrance d’avoir vécu ce drame, elle était en paix quant à la décision qu’elle avait prise. Le Seigneur avait pourvu à tous ses besoins, et sa fille avait grandi dans le Seigneur et épousé un chrétien. Nous avons été grandement encouragés par de tels témoignages glorieux, qui nous prouvent que l’Esprit de Dieu est à l’œuvre dans le cœur de ses brebis, pour leur faire connaître sa volonté parfaite, et leur donner la grâce et la force de l’accomplir. Que le nom de Jésus soit béni !

Nous sommes cependant affligés de voir l’apostasie grandir. Le nombre de pasteurs ou d’anciens, divorcés et remariés ne cesse de croître, et ils ne cessent de bénir davantage de couples divorcés et remariés dans les églises chrétiennes.

Ils ne tiennent aucun compte de la recommandation de Paul à Timothée, affirmant qu’un ancien dans l’Église du Seigneur doit être le mari d’une seule femme. Tout ancien ou pasteur divorcé et remarié n’a aucun droit d’occuper cette fonction. Nous le répétons, tous ceux qui encouragent le remariage de divorcés, pour quelque raison que ce soit, ou qui effectuent ces remariages, œuvrent à répandre dans l’Église un esprit d’adultère et de prostitution.

Ils souillent l’Épouse de Christ, et devront en rendre compte devant le tribunal de Christ, où nous comparaîtrons tous. Le Seigneur est miséricordieux, et veut les éclairer avant son retour, mais parviendra-t-Il à se faire entendre ?

C’est pour cela que nous sommes persuadés que nous devons sonner haut et fort la trompette, et solennellement indiquer au peuple de Dieu la voie de la vérité et de la justice. Nous connaissons le prix que nous devons payer pour cela, en calomnies et en rejet. Nous sommes parfois stigmatisés comme étant des légalistes religieux qui veulent mettre sur le dos des disciples du Seigneur un fardeau impossible à supporter. Qu’importe, si nous sommes dans la vérité.

Cela n’a aucune importance, au regard de la défense de la vérité, et doit même être considéré comme une grâce et un honneur pour nous. Nous savons que c’est Dieu qui justifie. Et nous gardons une pleine et paisible conviction que l’enseignement que nous prodiguons sur le couple, et que nous ne sommes pas les seuls à prodiguer, est absolument dans la pensée parfaite du Seigneur. Tous ceux qui aiment la vérité, et qui ne sont pas encore de notre avis, en seront un jour convaincus, car le Seigneur est puissant pour les convaincre.

Nous devons aussi dénoncer les enseignements de certains grands docteurs de la Parole de Dieu, tout particulièrement, qui ont pris la responsabilité de promouvoir le remariage des divorcés. Ils ont donné sur d’autres sujets un enseignement juste et vrai.

Certains de ces docteurs ont même acquis une renommée mondiale. Mais, sur ce point précis du remariage des divorcés dans l’Église, ils se sont lourdement trompés, parfois pour défendre leur propre remariage.

Ils ont ainsi contribué à faire chuter de nombreux chrétiens. Nous sommes persuadés que tous leurs arguments, malgré leurs efforts pour leur donner un habillage chrétien, étaient purement charnels. Ils ne sont jamais parvenus à nous convaincre. Sur ce thème du couple, cette manière de présenter l’enseignement de la Parole de Dieu, que nous avons pu vous exposer dans cet article, nous satisfait pleinement, car elle tient pleinement compte de l’ensemble des versets bibliques qui concernent ce thème, sans qu’aucun soit déformé par une interprétation douteuse ou abusive.

Ceux qui affirment avoir reçu une révélation personnelle venant de Dieu doivent veiller à ce que cette révélation s’accorde parfaitement avec l’ensemble de la révélation biblique. Dieu ne peut pas renier sa Parole. Et ce ne sont pas les contorsions intellectuelles et les périlleux exercices de style, destinés à faire dire à la Parole de Dieu ce qu’elle ne dit pas, qui ne pourront jamais faire changer Dieu d’avis, ni convaincre pleinement ceux qui aiment la vérité de Dieu.

Nous laissons cet enseignement entre les mains bienveillantes du Seigneur, pour qu’Il puisse convaincre, par son Esprit et sa Parole, ceux qui ont des oreilles pour entendre. Christ est en train d’achever de préparer une Épouse digne de Lui, et son Épouse sera prête pour son retour proche.

« Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers, et que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps, soit conservé irrépréhensible, lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ ! Celui qui vous a appelés est fidèle, et c’est lui qui le fera » (1 Thessaloniciens 5 v. 23 et 24).

 

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