
Le feu étranger.2
Le feu étranger, c’est rejeter le feu de l’alliance. C’est revenir à l’Éden pour manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
Un chrétien qui vit sa vie chrétienne en « yoyo », vit selon ses émotions et ses sentiments. S’il est frappé par une épreuve, il sera abattu, ne ressentira rien et craindra que Dieu l’ait abandonné. À l’inverse, s’il reçoit une bénédiction, il sera au sommet, capable de bénir Dieu comme jamais, parce qu’il sent que Dieu a agi pour lui. Ce sont les sens qui comptent.
Mais le chrétien mature a compris quelque chose : la mort à soi-même, la vie de la croix, c’est accepter le chemin que Dieu place devant ses pas comme étant celui que Dieu a choisi. Évidemment, si nous sommes dans la désobéissance et si nous nous obstinons, nous en subissons les conséquences – c’est une évidence.
Je ne parle pas de quelqu’un comme Jonas, rebelle, qui, au lieu d’aller à l’est vers Ninive, est parti à l’ouest, à Jaffa, pour s’embarquer vers l’Espagne. Le Seigneur l’a appelé en Mésopotamie, il est parti en Espagne. Il a subi une tempête, a été jeté à la mer, avalé par un poisson. Là, il a compris qu’il était « aux racines des montagnes », c’est-à-dire « dans le séjour des morts (shéol) ». Le poisson l’a recraché, et il est allé à Ninive. Ça, c’est la désobéissance, la rébellion. Ce n’est pas de cela dont je parle.
Je parle ici des épreuves qui nous dépouillent de nous-mêmes, orchestrées par Dieu. Le chrétien mature peut vivre une souffrance dans ses sentiments et émotions ; mais dans son esprit, il demeure stable, car il sait que Dieu est derrière tout cela. Dieu lui parle à travers les épreuves, parfois plus dans le silence que dans les sensations. Prenons l’exemple d’Élie au mont Horeb.
Il y eut un tremblement de terre, mais Dieu n’était pas dans le tremblement de terre. Il y eut un feu dévorant, mais Dieu n’était pas dans le feu. Nos traductions disent : « Tout d’un coup, il y eut un murmure doux et subtil » (1 Rois 19 v. 12). Mais en hébreu, c’est littéralement : « Un silence chargé de la présence de Dieu passa ».
Élie se couvrit le visage, car il savait que Dieu était dans ce silence. Là, on n’est plus dans les sentiments ou les émotions, mais dans la conviction et la foi pure. On sait que l’Éternel est présent dans le silence, le calme, le repos, la paix.
Lorsque nous sommes agités, nous ne pouvons pas discerner la pensée de Dieu. Lorsque nous sommes sous l’emprise de nos sentiments et émotions, nous ne pouvons pas vraiment la saisir. Cela peut aller dans deux sens. Soit nous sommes abattus – « Dieu ne veut pas s’occuper de moi, ce n’est pas pour moi, les autres vivent des expériences, mais pas moi ! » – et nous tombons dans une dépression spirituelle, ce qui n’est pas de Dieu.
Soit nous sommes tellement euphoriques que nous sommes prêts à faire et à dire n’importe quoi, conduits par nos émotions : « Seigneur, je m’engage à te suivre partout où tu iras, jusqu’à mourir ! »
Le lendemain, une épreuve nous frappe : « Seigneur, je vais mourir, que m’arrive-t-il ? » Le Seigneur répond : « Tu m’as dit que tu voulais me suivre jusqu’à la mort, je te prends au mot ! » Pierre a fait cela.
Il était convaincu : « Seigneur, moi, je te suivrai jusqu’à la mort ! » Il l’a renié trois fois. Pour un Juif, trois, c’est significatif, car Dieu est trois fois saint : « Saint, saint, saint est l’Éternel » (Ésaïe 6 v. 3). C’est comme si Pierre avait dit : « Il n’est pas saint, il n’est pas saint, il n’est pas saint, je ne le connais pas ! » C’est bien plus profond qu’un simple reniement. Il a renié la sainteté de Dieu trois fois.
Quand on vit dans nos émotions et sentiments, et non sur la base de la foi en Dieu – je nuance, car ce n’est pas tout à fait juste de dire qu’on n’a pas la foi quand on vit ainsi – notre foi n’est pas assez solide, pas assez édifiée, pas assez travaillée pour comprendre que Dieu est présent, même dans ses silences, dans nos épreuves ; avec nous, même dans nos faiblesses.
Quand nous sommes dans une grande joie ou une grande effervescence, il nous faut nous garder d’un trop grand désir de bien faire pour honorer Dieu, au risque de sortir du cadre de l’obéissance par notre enthousiasme. C’est ce qu’ont fait les fils d’Aaron dans notre texte. Imaginez que tous les chrétiens soient ainsi. Quand cela arrive dans l’assemblée, par quoi est-elle dirigée ? Par l’Esprit de Dieu ? Oui, en partie, mais aussi par le feu étranger, par la vieille nature, par les émotions, l’enthousiasme ou son absence. Il y a un mélange.
On retrouve alors dans les assemblées des choses qui viennent d’un autre dieu. On prend des éléments que le monde nous apporte pour les transposer dans l’Église, souvent pour attirer du monde. On fait du théâtre, du cinéma, des concerts chrétiens, de la musique qui ressemble à celle du monde – des groupes comme « 666 », « ACDC » (Antichrist Death to Christ), ou « The Beast ».
Lorsque l’on utilise les mêmes musiques, la même inspiration, la psychologie Freudienne, ce n’est pas parce qu’on met le nom de Jésus à toutes les « sauces », que cela cesse d’être profane. Cela reste du feu étranger dans nos assemblées, c’est aussi une évidence. Les résultats sont là : faiblesse et défaite spirituelle, un témoignage flou, réaction charnelle. On dit : « Il est chrétien, mais il fait et il dit telle ou telle chose, je ne comprends pas ! »
Les inconvertis ont une vision plus claire de ce que devrait être un chrétien sanctifié, que beaucoup de chrétiens eux-mêmes. Ils savent ce qui doit être et ce qui ne doit pas être. Quand ils voient un supposé chrétien agir comme un païen lambda, ils disent : « Tu es bien gentil avec tes trucs religieux, ton Jésus, ton obéissance, mais regarde comment tu vis ! Je vis pareil, où est la différence ? Tu fais trois signes de croix ou tes « salamalek » dans ton église évangélique, vous vous trémoussez sur les mêmes musiques que j’écoute dans le monde, et tu me dis que ce n’est pas bon, alors que vous faites pareil ? »
Voilà le feu étranger : inciter à se prostituer à un autre.
Lorsque l’on accepte le feu étranger dans nos vies, dans nos assemblées, on incite le peuple à se prostituer à un autre dieu. Quand nous décidons nous-même de ce qui est bien ou mal, même avec de bonnes intentions, mais hors du cadre de l’obéissance à la Parole de Dieu, nous incitons nous-mêmes et le peuple à se prostituer à un autre dieu.
On nous dit souvent : « C’est l’Esprit de Dieu qui nous remplit de joie ! » Certains prédicateurs vont jusqu’à s’exclamer : « Enivrez-vous de l’Esprit de Dieu ! » Ils titubent dans l’église comme s’ils étaient saoulés par l’Esprit.
Permettez-moi un trait d’humour caustique : « ces prédicateurs-là, ce sont eux qui me « saoulent » ! » Oser dire cela du Saint-Esprit, c’est plus que limite. Ou encore, on souffle sur l’assemblée, tout le monde rit, tombe par terre, et on dit : « C’est l’Esprit de Dieu ! »
J’aimerais que cela soit l’Esprit de Dieu, mais ça ne peut pas l’être, car Dieu est un Dieu d’ordre et de sainteté. Quand on voit le désordre dans les assemblées – cris, hurlements, agitation, rigolade, cacophonie, sagesse humaine – ce n’est certainement pas de Dieu. C’est le feu étranger placé devant le peuple. On y jette la Parole de Dieu, qui est le parfum de bonne odeur, en disant : « Voilà ce qu’il faut faire, ça vient de l’Esprit ! »
Quel est le symbole de l’Esprit dans la Torah ? L’huile d’onction sainte, qui ne devait pas couler sur la chair de l’homme : « Ce sera pour moi l'huile de l'onction sainte, parmi vos descendants. On n'en versera pas sur la chair de l'homme, et vous n'en ferez point de semblable dans ses proportions : elle est sainte, elle vous sera sainte » (Exode 30 v. 32).
Dans sa composition, il y a la myrrhe. D’entrée de jeu, certains ne vont pas aimer : « Mor » (myrrhe) signifie « souffrance », « affliction », « larmes », « amertume », « pleurer ». Oui, cela fait partie de l’huile d’onction sainte. Nous nous chargeons des afflictions du Messie. Comme Paul le disait – le mot « parfaire » dans nos traductions est très faible – nous ajoutons aux souffrances du Messie dans notre propre corps. Accepter de mourir à soi-même, même dans les afflictions, fait partie de l’onction sainte.
Ensuite, il y a la « kinnamôn » (cannelle), qui évoque l’idée de « se dresser », « être élevé ». Comment le Fils de l’Homme a-t-il été élevé ? Sur une croix ! Par l’œuvre du Saint-Esprit, nous passons donc par la souffrance de la croix.
Puis, le « kané » (roseau) signifie « racheter », « acquérir ». C’est par ce moyen – la croix, la souffrance – que l’Esprit nous rachète. Je précise : ce ne sont pas nos souffrances qui nous rachètent, mais notre participation aux souffrances du Christ nous dépouille de notre vieil homme. Je ne dis pas qu’il faut s’autoflageller pour gagner le salut – ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Vivre la croix nous amène aussi dans la souffrance.
Ensuite, il y a la « kiddah » (casse), terme qui signifie « s’incliner respectueusement ». On est loin de l’agitation qu’on voit dans certains milieux évangéliques, où tout le monde s’agite dans une cacophonie charnelle.
Enfin, l’huile d’olive, la vraie lumière du Messie, qui apporte la guérison, un baume. A contrario, n’oublions pas que Lucifer veut dire « porteur de lumière ». Le terme « porteur de lumière » pour Lucifer est en effet paradoxal, car bien que ce nom puisse sembler positif, il est associé à un être déchu qui incarne le mal.
La « mauvaise lumière » fait référence à la tromperie et à l'illusion. Lucifer utilise sa lumière pour séduire, aveugler et tromper les âmes, les détournant de la véritable lumière divine. En ce sens, sa lumière est un piège, une fausse lueur qui attire les gens vers le péché et la perdition plutôt que vers la vérité et la rédemption. Cette lumière illusoire est dangereuse, car elle masque les ténèbres du mal sous une apparence séduisante et trompeuse.
Dans l’huile d’onction sainte, nous sommes rendus participants aux souffrances du Christ, élevés sur notre croix – c’est le prix du rachat, car Christ est passé en premier. Accepter la croix, c’est s’incliner respectueusement devant Dieu, laisser son feu consumer le parfum de l’obéissance.
L’huile nous éclaire et panse nos plaies, car c’est l’huile dont on oignait les rois d’Israël. Voilà l’huile d’onction. Elle ne devait pas couler sur la chair de l’homme, car on ne peut pas utiliser la personne et le sacrifice du Messie pour dire : « Faisons ce que l’on veut ! » Comme les Nicolaïtes ou Balaam : « Péchons comme on veut, vivons notre vie chrétienne comme on veut, nous sommes sous la grâce, dansons, buvons, mangeons, le Seigneur nous fait grâce ! » Ce n’est pas cela la vie chrétienne. C’est du feu étranger, du feu profane, du feu de prostitution.
Présentons-nous devant Dieu en disant : « Seigneur, par ta grâce, je veux que cela soit ton feu, celui de l’alliance, qui consume le sacrifice vivant que je t’offre ! »
Comme Paul nous y invite : « Offrez vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu » (Romains 12 v. 1). « Seigneur, que cela soit le feu de ton alliance qui consume mon sacrifice, car je ne veux en aucun cas être animé par un esprit de prostitution ! »
Dans la composition du parfum, il y a l’esprit de prophétie. Mais ce que Nadav et Abiou ont fait, c’était de la prostitution. C’est ainsi que l’on reconnaît dans notre vie ce qui n’est pas de Dieu, ce qui est du feu étranger : c’est quelque chose d’étrange.
Parfois, on voit des choses dans les Églises et on se dit : « C’est bizarre, cela me dérange, c’est très étrange comme attitude ou comme pratique, je ne me sens pas à l’aise ! » Ne cherchez pas : c’est le feu étranger, quelque chose de barbare, que l’on ne comprend pas. Quelque chose de profane, qui nous incite à nous détourner de l’obéissance à l’Éternel.
On nous dit : « Réjouissez-vous dans le Seigneur, il fait grâce ! » Oui, parfait, mais ensuite : « Le Seigneur vous permet de divorcer, de vous remarier, de redivorcer, de marier des homosexuels ! »
On apprend que les Églises protestantes d’Alsace et de Lorraine ont accepté le mariage homosexuel : « Pas de souci, le Seigneur fait grâce ! » Ne voyez-vous pas que vous brisez l’image de Dieu ? L’homme et la femme forment l’image de Dieu. Deux femmes ou deux hommes ensemble ne la forment plus. Le mariage est de l’ordre de la création, non de la rédemption. Vous profanez quelque chose qui relève de la création.
Le feu étranger dans l’église, c’est inciter le peuple à aller vers un autre maître. Cela signifie : « Décidez vous-mêmes de ce qui est bien ou mal, même dans l’Église. Continuez à manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal ! » On dit souvent : « J’ai à cœur ceci, j’ai à cœur cela ! » Mais est-ce de Dieu ? « Oui, j’ai à cœur ! » Rien ne me dit que c’est de Dieu. Quand on dit « j’ai à cœur », tout le monde doit se taire et l’accepter.
Mais est-ce biblique ? Est-ce le chemin que le Seigneur veut ? « Attends, on va prier pour une confirmation ! – Comment, tu doutes de ma foi quand je te dis que j’ai à cœur ? » Parfois, j’ai des choses à cœur, mais le Seigneur me montre que ce n’est pas sa pensée. Il faut accepter de se soumettre au feu du jugement de Dieu. Tout ce qui est profane doit être consumé, afin que l’holocauste soit consumé par le feu de l’alliance.
Si nous vivons dans notre vieille nature, dans nos émotions et sentiments, nous sommes plus sujets à apporter un feu étranger que si nous avons appris à vivre sur la seule base de la foi ; sachant que Christ est le consommateur de notre foi et que sa Parole est la vérité.
Il nous faut être très prudents dans notre vie, d’abord à ne pas laisser le feu étranger consumer les choses saintes. Car, ne nous y trompons pas, dès que nous plaçons des choses saintes sur ce feu étranger, elles deviennent elles-mêmes profanes. Nous profanons le sacrifice de Jésus et sa propre personne, en laissant nos émotions ou sentiments être guidés par la chair et prendre autorité dans notre vie ou dans nos assemblées. Celui que nous élevons alors n’est pas le Christ, mais l’antichrist. Cela vient de l’esprit de l’antichrist.
Soyons vraiment vigilants.
D’abord dans notre propre vie, pour que ce que nous apportons dans nos assemblées soit de Jésus-Christ, et non de son ennemi. Tout ce qui vient de notre chair est forcément de l’ennemi de Dieu, donc ami de Satan.
Le feu étranger a été toléré, puis accepté dans nos milieux. C’est pourquoi l’Église s’affaiblit aujourd’hui, les chrétiens meurent de faim en termes de connaissance pratique de l’Évangile, et l’apostasie peut grandir et se mettre en place plus fortement que jamais. On accepte des choses profanes pour placer les choses saintes sur un feu de prostitution. Forcément, un jugement tombe, car Dieu ne peut pas laisser faire cela.
On me dira : « Oui, mais regarde, il n’y a pas de feu du ciel qui tombe sur toutes les assemblées qui font cela ! » C’est vrai. Peut-être qu’il vaudrait mieux qu’un feu tombe pour réveiller les gens. Car le pire jugement, c’est quand l’Éternel dit : « Je leur donnerai un esprit de mensonge pour qu’ils croient au mensonge » (2 Thessaloniciens 2 v. 11). C’est cela, le jugement.
Parfois, Dieu permet un esprit d’égarement parce que les hommes ont voulu s’égarer eux-mêmes, refusant d’obéir. À force de dire : « On ne veut plus de ta Parole, plus de ceci, moins de cela ! » alors que certaines choses sont écrites noir sur blanc – nul besoin d’interpréter –, l’Éternel nous dit : « Vous ne voulez pas obéir ? Je vais vous laisser vous égarer et croire au mensonge ! » Cela fait peur, car le Seigneur permet des choses terribles. Oui, quand on décide de ne pas obéir, il est conséquent.
Le feu étranger, c’est rejeter le feu de l’alliance.
C’est revenir à l’Éden pour manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal ; décider nous-mêmes de ce qui est bien ou mal. C’est accepter de mettre sur l’autel, non plus Christ, mais nous-mêmes, dans le mauvais sens du terme : produire notre propre sacrifice selon nos modalités et non celles de Dieu : « Seigneur, j’accepte de mourir à moi-même si… à condition que… ! »
Plus j’avance dans la vie chrétienne, plus je constate que mes motivations pour obéir à la Parole de Dieu sont cruciales : « Pourquoi veux-tu m’obéir ? Pour ta propre satisfaction personnelle ou pour me plaire, dit l’Éternel ? Veux-tu voir ma grâce se manifester en ne péchant plus, en agissant différemment ? Pourquoi ? Pour me glorifier et me sanctifier, ou pour te sentir bien, être glorifié devant tes frères, pouvoir dire : Regardez-moi comme je suis, j’ai atteint ce stade ! Quelle est ma motivation ? » Elle peut produire soit le feu de l’alliance, soit le feu étranger.
Nous devons veiller à notre motivation, nos mobiles profonds, notre conscience et notre obéissance. C’est primordial. Si nous faisons cela pour Dieu, pour l’honorer, en nous inclinant respectueusement devant lui sous l’onction du Saint-Esprit, en acceptant le chemin qu’il nous propose, en nous chargeant de notre croix, en mourant à nous-mêmes ; et que cette motivation vise uniquement à ce que Christ soit glorifié, élevé et sanctifié, alors nous sommes sous le feu de l’alliance.
Mais si nous ne sommes plus dans l’obéissance, si la motivation est autre, nous savons que c’est le feu étranger, car c’est un autre dieu que nous avons choisi. Nous devenons des prostitués spirituels, plus l’épouse du Christ.
Je souhaite vraiment vous inciter à la vigilance.
Nous sommes dans un temps d’apostasie qui se généralise. Il nous faut être alerté sur les dangers qui menacent le peuple de Dieu. Certains voudront écouter, d’autres non. Chacun est libre, mais nous verrons tous les conséquences de nos choix.
Que Dieu « illumine les yeux de votre cœur, pour que vous sachiez quelle est l'espérance qui s'attache à son appel, quelle est la richesse de la gloire de son héritage qu'il réserve aux saints, et quelle est envers nous qui croyons l'infinie grandeur de sa puissance, se manifestant avec efficacité par la vertu de sa force » (Éphésiens 1 v. 18 et 19).
Que le Seigneur nous accorde sa grâce afin que nous puissions mieux le connaître à travers la révélation de sa Parole !