Études sur la Parole.19

Études sur la Parole.19

Lévitique chapitre 15 à 16 - Le livre du Lévitique nous enseigne comment on s’approche de Dieu, envisagé comme demeurant dans le sanctuaire, soit quant aux moyens par lesquels on peut s’approcher, soit quant à l’état dans lequel on doit être pour le faire.

Lévitique chapitre 15 à 16.

Ensuite d’autres cas sont mentionnés qui se rattachent à la faiblesse de la nature et montrent que, quelle que soit l’excuse qu’on puisse tirer de cette faiblesse, ou quelque inévitable qu’elle puisse être dans son caractère, tout ce qui est de la chair, de la nature, souille, aux yeux de Dieu, en vertu de ce que le péché est entré. Quelque inévitable que puisse être ce résultat, il est la manifestation d’un état honteux, puisqu’il consiste dans la nature déchue, nue, et pécheresse.

On voit pourtant que, tout honteux qu’il soit, le cas est censé moins grave moralement que la lèpre. Dans celle-ci, il y avait manifestation d’une corruption positive, existant antérieurement dans la nature et admise dans le cœur, en sorte qu’un long procédé était nécessaire pour purifier la conscience. Dans le cas dont il s’agit, au contraire, il n’était besoin que de se laver une fois et d’offrir une simple offrande pour le péché ; cela fait, on était en état, en offrant son holocauste, d’entrer dans la communion de Dieu, par la bonne odeur de Christ.

Chapitre 16.

Après avoir pourvu à ce qui était nécessaire pour ôter les souillures du milieu du peuple et opérer, quand elles étaient possibles, les purifications dont nous avons parlé, nous trouvons la révélation des moyens dont Dieu voulait se servir pour purifier son sanctuaire, entouré d’un peuple qui le souillait, et pour faire l’expiation des péchés du peuple lui-même.

Les ordonnances relatives à ce sujet présentent, dans leur ensemble, deux grandes idées : la première, que l’expiation avait pour but de maintenir la relation du peuple avec Dieu, malgré les péchés dont il se rendait coupable ; la seconde, implicitement renfermée dans les difficultés qui entouraient l’entrée d’Aaron dans le lieu très saint, et formellement exprimée dans l’épître aux Hébreux, témoignait que, sous l’économie d’alors, le chemin des lieux saints n’était pas encore ouvert.

Il est important d’examiner le chapitre 16 sous ces deux rapports, car il est le seul qui traite ce sujet, et contienne la mention de ce qui se faisait dans le jour solennel des propitiations. Le sacrifice de Christ, considéré comme fondement de la rédemption, en tant qu’il satisfaisait à la justice de Dieu contre le péché, était typifié par la pâque. Mais ici, il s’agissait de s’approcher de Dieu qui se révélait sur son trône, de nettoyer les souillures, d’ôter les péchés, et de purifier la conscience de ceux qui voulaient, en effet, s’approcher de Lui. Or, bien que cette figure présente les moyens de s’approcher de Dieu, ses détails montrent suffisamment que le but n’était pas alors réellement atteint.

Voici l’idée générale de l’efficace de ce sacrifice. Le souverain sacrificateur s’approchait personnellement, remplissant le lieu très saint de parfum. Ainsi Christ entre personnellement avec le parfum exquis de ce qu’il est pour Dieu. Le lieu de la présence de Dieu en est rempli.

L’expression : « afin qu’il ne meure point », exprime la nature absolument obligatoire de tout ce qui est accompli en Christ. Personnellement, il paraît devant Dieu comme un parfum répandu, lié au feu de l’autel, c’est-à-dire au jugement et à la mort, lesquels ne produisent qu’une parfaite bonne odeur pour Dieu. Ce n’est pas du sang pour d’autres, mais du feu pour l’épreuve de sa perfection, non pas pour purifier, mais pour faire monter devant Dieu l’odeur de cet encens. Ensuite le sacrificateur prenait du sang dont il faisait aspersion sur le propitiatoire et devant le propitiatoire. La propitiation était faite selon l’exigence de la majesté du trône de Dieu lui-même ; la pleine satisfaction donnée à sa majesté rendait propice le trône de justice, en faisait un lieu d’acceptation ; la grâce avait son libre cours, et l’adorateur, lorsqu’il s’approchait, trouvait le sang sur le trône, et même en témoignage devant le trône.

Ensuite, le souverain sacrificateur nettoyait le tabernacle, l’autel, et tous les objets qui en dépendaient. Ainsi, en vertu de l’aspersion de son sang, Christ réconciliera toutes choses, ayant fait la paix par le sang de sa croix. Il ne pouvait y avoir de culpabilité, ni dans le tabernacle, ni dans l’autel ; mais Dieu en nettoyait les souillures, pour ne pas les avoir sous les yeux.

En troisième lieu, le souverain sacrificateur confessait les péchés du peuple sur le bouc Azazel ; envoyé dans une terre inhabitée, il portait tous les péchés loin de Dieu, afin qu’ils ne se retrouvassent plus. Dans ce dernier acte, l’idée de substitution est présentée de la manière la plus nette.

L’ensemble du type présente trois vérités, savoir : le sang sur le propitiatoire, la réconciliation de toutes choses, et les péchés confessés et portés par un autre. Le même ordre se retrouve en Colossiens 1 : La paix faite ; la réconciliation de toutes choses par Christ ; et, en parlant des croyants : « Il vous a maintenant réconciliés dans le corps de sa chair, par la mort ».

Il est évident que, bien que le bouc Azazel fût renvoyé vivant, il était identifié, quant à l’efficace de l’œuvre, avec la mort de l’autre bouc. Seulement, l’idée des péchés bannis éternellement de la mémoire est ajoutée à la pensée de la mort. D’un côté, par la mort de la victime, la gloire de Dieu était établie et ses droits revendiqués ; de l’autre, il y avait la substitution du bouc Azazel, du Seigneur Jésus, dans sa précieuse grâce, aux pécheurs dont il avait pris la cause en main ; le substitut, ayant porté leurs péchés, leur délivrance était pleine, entière et finale. Le premier bouc était le lot de l’Éternel ; il s’agissait de Son caractère et de Sa majesté ; le second était celui du peuple : il représentait définitivement le peuple dans ses péchés.

Il est important de bien distinguer ces deux aspects de la mort du Sauveur, dans le sacrifice expiatoire accompli par lui. Il a glorifié Dieu, et Dieu agit selon la valeur de ce sang envers tous (1) ; il a porté les péchés de son peuple, et le salut de son peuple est accompli. Dans un certain sens, c’est le premier de ces deux aspects qui est le plus important. Le péché étant intervenu, la justice de Dieu aurait pu, il est vrai, se défaire du pécheur ; mais alors, où auraient été son amour et ses conseils de grâce ? où auraient été le pardon, et le maintien même de sa gloire selon sa vraie nature qui est amour, car il est amour en même temps qu’il est juste et saint ?

1. Voyez Jean 13 v. 31 et 32, et 17 v. 1 à 4. Cela ne justifie pas seulement l’homme, mais lui donne le droit de se glorifier.

Je ne parle pas ici du salut des personnes, mais de la propre gloire de Dieu. La mort parfaite de Jésus, son sang placé sur le trône de Dieu, a établi et mis en évidence, comme aucune création n’aurait pu le faire, tout ce qu’est Dieu, toute sa gloire (car il a subi la sentence de mort), sa vérité, sa majesté (car son Fils s’est soumis à tout), sa justice contre le péché, son amour infini. Dieu, dans cette mort, a trouvé moyen d’accomplir ses conseils de grâce en maintenant entière la majesté de sa justice et de sa dignité divine, car qu’est-ce qui aurait pu les glorifier comme l’a fait la mort de Jésus ?

Aussi ce dévouement de Jésus, du Fils de Dieu, à la gloire de son Père, son consentement à être entièrement anéanti, même jusqu’à la mort, pour que Dieu fût maintenu à la pleine hauteur de ses droits, a fourni un objet à l’amour de Dieu, de la liberté à son action. C’est pourquoi Jésus dit : « J’ai à être baptisé d’un baptême ; et combien suis-je à l’étroit jusqu’à ce qu’il soit accompli ! » Son cœur, plein d’amour, était refoulé, dans sa manifestation, par le péché de l’homme qui n’en voulait pas ; mais, par l’expiation, il pouvait s’épancher sans entrave envers le pécheur, dans l’accomplissement de la grâce de Dieu et de ses conseils. Jésus lui-même avait, pour ainsi dire, des droits à cet amour, position dans laquelle nous sommes placés par la grâce, et que rien n’égale. « À cause de ceci le Père m’aime, c’est que moi je laisse ma vie, afin que je la reprenne ».

On parle avec révérence de telles choses, mais il est bon d’en parler, car en elles se trouvent établies et manifestées la gloire de notre Dieu et celle de Jésus Christ qu’il a envoyé. Il n’est pas un attribut, pas un trait du caractère de Dieu qui ne soit pleinement manifesté et pleinement glorifié dans toute sa perfection, par ce qui a été accompli entre Dieu lui-même et Jésus. Que dans ce même sacrifice nous ayons été sauvés, achetés, et que nos péchés aient été expiés selon les conseils de la grâce de Dieu, c’est, j’ose le dire, quelque précieux et important que cela soit pour nous, la partie inférieure de cette œuvre, si quelque chose peut être appelé inférieur, là où tout est parfait. L’œuvre est parfaite en elle-même, de quelque côté qu’on l’envisage, mais son objet, nous pécheurs, est cependant d’un ordre inférieur au maintien du caractère et de la gloire de Dieu lui-même.

Maintenant que nous avons un peu considéré les grands principes, nous pouvons examiner les circonstances particulières.

On aura remarqué qu’il y avait deux sacrifices : l’un pour Aaron et sa famille, l’autre pour le peuple. Aaron et ses fils représentent toujours l’Église, non point dans le sens de corps, mais comme compagnie de sacrificateurs. Ainsi nous trouvons, dans le jour même des propitiations, la distinction entre ceux qui forment l’Église, et le peuple terrestre qui forme le camp de Dieu sur la terre. Les fidèles ont leur place hors du camp, où leur Chef a souffert, comme victime pour le péché. Comme conséquence, leur place est en la présence de Dieu, dans les cieux, où leur chef est entré. Être hors du camp ici-bas correspond à une part céleste là-haut (1). Ce sont les deux positions bénies du Christ. Si l’Église professante prend la position du camp ici-bas, la place du croyant est toujours en dehors. C’est bien du reste ce que l’Église a fait ; elle s’en vante en judaïsant.

Il faudra bien qu’Israël finisse par se reconnaître dehors, pour être sauvé et rentrer par grâce, parce que le Sauveur, qu’il a méprisé dans son jour d’aveuglement, a porté en grâce tous ses péchés comme nation, lui qui mourut pour cette nation. Nous, chrétiens, nous anticipons cette position pendant que Christ est dans le ciel. Mais, avant que le Résidu d’Israël soit ainsi rétabli en grâce, les désirs de son cœur seront ramenés vers L’éternel. Il ne réalisera la puissance du sacrifice que lorsqu’il aura regardé au Christ qu’il a percé, et en aura mené deuil. Aussi ce jour était-il établi comme un jour où chacun devait affliger son âme, sous peine d’être retranché.

1. Pour celui qui comprend l’efficace du sacrifice de Christ pour le péché, il n’y a que ces deux points : être hors du camp, ou être dans le ciel. Les corps des bêtes, dont le sang était porté dans le sanctuaire pour le péché, étaient brûlés hors du camp. « Sortons donc », dit l’apôtre. Il nous faut être ici-bas hors du camp, séparés de toute idée d’un peuple établi sur la terre ou pour la terre, ou être dans le ciel où notre Souverain Sacrificateur est « entré avec son propre sang ». Ceci se rattache à la personne du souverain sacrificateur. En tout cas, comme fondement du salut, le sang a dû être mis sur le propitiatoire ; mais la part du chrétien est avec le souverain sacrificateur ; il entre au dedans du voile dans le ciel où Christ se trouve, ou bien s’identifie avec lui comme rejeté sur la terre, victime de propitiation.

De plus, ce jour des expiations supposait que l’état de choses où se trouvait le peuple dans le désert, le rendait incapable d’être en relation avec Dieu pleinement manifesté. Dieu l’avait racheté, lui avait parlé ; mais le cœur d’Israël, c’est-à-dire de l’homme le plus favorisé, n’était pas capable, dans son état naturel, de se maintenir dans une telle position. Israël avait fait le veau d’or, et Moïse avait mis un voile sur son visage ; Nadab et Abihu avaient offert un feu étranger sur l’autel de Dieu, un feu qui n’avait point été pris sur l’autel des holocaustes. Le chemin du lieu saint était fermé ; il était défendu à Aaron d’y entrer habituellement. Il n’y est jamais entré dans ses vêtements de gloire et de beauté ; et, lorsqu’il y entrait, ce n’était point pour être dans la communion de Dieu, mais pour accomplir la purification des souillures du peuple au milieu duquel Dieu avait fait sa demeure. Le jour des propitiations n’était établi qu’avec la défense d’entrer à chaque instant dans le lieu saint, et l’Esprit nous fait remarquer que son institution est postérieure à la mort des fils d’Aaron. Aaron ne s’y présente qu’avec un nuage d’encens, afin de ne pas mourir. La grâce pourvoyait ainsi à ce que le peuple ne pérît point à cause de ses souillures ; mais l’Esprit de Dieu signifiait par là que le chemin du lieu très saint n’était pas encore manifesté.

En quoi notre position actuelle diffère-t-elle de celle-ci ? Le voile est déchiré, et nous entrons dans le lieu très saint comme sacrificateurs en toute liberté, par le chemin nouveau et vivant, au traversée du voile, c’est-à-dire de la chair de Christ. Nous y entrons sans conscience de péché, parce que le coup qui a déchiré le voile pour manifester dans son entier la gloire et la majesté du trône, ainsi que la sainteté de Celui qui y est assis, a simultanément ôté les péchés qui nous auraient rendus incapables d’y entrer ou de regarder au dedans. Bien plus, nous y sommes assis en Christ notre Chef, Tête de son corps, l’Église.

En attendant, Israël est dehors. L’Église est vue dans la personne de Christ, souverain sacrificateur, et toute cette économie est pour Israël le jour des propitiations, pendant lequel le souverain Sacrificateur est caché au dedans du voile. Le voile, qui cachait la signification de toutes ces figures, est maintenant ôté en Christ, de sorte que nous avons une pleine liberté par l’Esprit ; mais le voile est resté sur le cœur d’Israël. À la vérité, Christ plaide leur cause au dedans du voile par le sang qu’il présente ; mais ils n’en ont point encore reçu le témoignage au dehors, et leur conscience n’est point affranchie par la connaissance que leurs péchés ont été emportés pour toujours dans une terre inhabitée où ils ne seront jamais retrouvés.

Notre position proprement dite est au dedans du voile, dans la personne d’Aaron, le sang étant sur le propitiatoire. Nous ne sommes pas seulement justifiés par le bouc Azazel, comme étant dehors : cela a été fait, et une seule fois pour toujours, car le voile n’est que sur le cœur d’Israël ; il n’est plus entre nous et Dieu. Mais nous sommes entrés au dedans du voile avec le souverain sacrificateur, en tant que nous lui sommes unis : nous n’attendons pas, pour jouir de l’efficace de cette œuvre, qu’il sorte du tabernacle, et qu’il revienne, tandis que ce ne sera qu’au retour du vrai Aaron, qu’Israël recevra les bénéfices du pardon, quoique ce pardon dont il est l’objet soit le même que celui qui nous est acquis. C’est pourquoi le sacrifice d’Aaron et de ses fils était caractérisé par le sang placé sur le propitiatoire, et par l’entrée d’Aaron en personne au dedans du voile.

Mais l’Église est composée de personnes vivant ici-bas et ayant commis des péchés. Ainsi, vues dans le monde, ces personnes rentrent, quant à leur conscience, dans la catégorie du peuple du dehors, comme Aaron lui-même, en tant qu’individu non typique, et leur conscience est purifiée par la certitude que Christ a porté tous leurs péchés en son corps sur le bois. Mais, en réalité, notre position est au dedans du voile, selon la valeur du sang de Christ et la parfaite acceptation de sa personne.

Il en est de même quant à l’attente de Christ. Si je me considère comme un homme responsable sur la terre, j’attends Jésus pour que toutes choses soient délivrées du joug qui pèse sur elles, et qu’il soit mis fin à toute souffrance comme à toute puissance du mal ; de même personnellement, comme serviteur, j’attends de recevoir, lorsqu’il apparaîtra, le témoignage de son approbation comme Maître, en présence de tous. Mais si je regarde à mes privilèges, comme membre de son corps, je pense à ma réunion avec Lui dans le ciel, et je sais que je l’accompagnerai lorsqu’il reviendra et qu’il apparaîtra dans sa gloire.

Il est bon de faire cette distinction, car il y aurait sans cela confusion dans nos pensées et dans l’emploi de bien des passages.

La même chose est vraie quant à la religion personnelle de chaque jour. Je puis me considérer comme uni à Christ : assis en lui dans les lieux célestes, jouissant de tous les privilèges dont il jouit lui-même devant Dieu son Père, et uni à lui, la Tête du corps. Je puis également reconnaître que je suis une pauvre créature faible, marchant individuellement sur la terre, ayant des besoins, des tentations à surmonter, commettant des fautes, et voir Christ en haut pendant que je suis en bas, Christ qui comparaît tout seul devant le trône pour moi. Je suis heureux dans ce cas d’avoir auprès de Dieu Celui qui est parfait, mais qui a fait l’expérience de mes maux ; qui n’est plus dans les circonstances où je me trouve, mais auprès de Dieu pour moi qui les traverse. Telle est la doctrine de l’épître aux Hébreux (1), tandis que l’union de l’Église avec Christ se trouve plus particulièrement enseignée dans celle aux Éphésiens.

1. La différence entre l’épître aux Hébreux et 1 Jean 2 est celle-ci : dans l’épître de Jean il est question de communion, et Christ est notre Avocat auprès du Père. Le péché interrompt cette communion ; mais l’intercession de Christ comme Avocat est fondée sur la justice et la propitiation. Dans l’épître aux Hébreux, il s’agit d’accès auprès de Dieu : nous sommes rendus parfaits à perpétuité, et nous avons hardiesse pour entrer dans le lieu très saint. Il n’est donc pas question de péché, mais de miséricorde et de grâce pour avoir du secours au moment opportun.

 

Arthur KatzUn message de John Nelson Darby.
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