1. La puissance de la prédication  de la croix

1. La puissance de la prédication de la croix

Chap: 1 - La prédication de la croix est une puissance - Quand on construit une maison, elle doit avoir des fondations solides. Toute notre vie doit être construite sur le fondement qui est Jésus-Christ.

Quand on construit une maison, elle doit avoir des fondations solides. Jésus dit même qu’il faut la bâtir sur le roc. Quand on bâtit une maison sur du sable, elle ne dure pas longtemps. Dès que la pluie tombe ou que le vent souffle, elle s’écroule, parce qu’elle n’avait pas de fondations solides.

Toute notre vie doit être construite sur le fondement qui est Jésus-Christ. Jésus et sa Parole sont « un ». Bâtir notre vie sur Jésus signifie bâtir notre vie sur sa Parole. Si je bâtis ma vie sur la Parole de Dieu, je bâtis ma vie sur Jésus.

Je voudrais donc revenir au fondement, qui est Jésus, pour rappeler certaines vérités importantes qu’on oublie vite. C’est l’œuvre du diable qui vient changer nos pensées et nous faire oublier la Parole du Seigneur. Il nous faut faire constamment ce que disait l’apôtre Pierre : « Voilà pourquoi je prendrai soin de vous rappeler ces choses, bien que vous les sachiez et que vous soyez affermis dans la vérité présente » (2 Pierre 1 v. 12).

Je veux vous donner l’occasion de contrôler si votre maison est bien bâtie. Si elle est bâtie sur du sable, vous êtes en danger. Il faut enlever le sable et construire sur le rocher. Le rocher, c’est Jésus. C’est lui le rocher des siècles !

Nous lisons dans la première épître aux Corinthiens au chapitre 2 et aux versets 1 et 2 : « Pour moi, frères, lorsque je suis allé chez vous, ce n’est pas avec une supériorité de langage ou de sagesse que je suis allé vous annoncer le témoignage de Dieu. Car je n’ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ et Jésus-Christ crucifié ».

L’Apôtre Paul leur dit quelque chose de très précis et de très clair : « Quand je suis allé chez vous, je n’avais qu’une seule pensée ». Il était apôtre, il devait bâtir l’Église de Jésus et enseigner la Parole de Dieu.

Quand il est venu enseigner la Parole aux Corinthiens, il leur a dit : « Je n’avais qu’une seule pensée dans le cœur... ». En réalité, c’était sa pensée fondamentale. Il ne voulait savoir « parmi vous », donc parmi nous, Corinthiens et nous, chrétiens rassemblés, « autre chose que Jésus-Christ ». Mais il ne s’agissait pas de n’importe quel Jésus-Christ. Car, aujourd’hui, on enlève souvent la croix de Jésus, on présente un Jésus différent du Jésus de la Bible : Un Jésus philosophe, humaniste, psychologue, papa poule ou Père Noël. Mais il ne s’agit plus du vrai Jésus.

Paul prend soin de préciser : « Jésus-Christ crucifié ». Jésus n’est venu sur la terre que pour cela : mourir sur une croix. Il n’est pas venu pour guérir des malades, chasser des démons, distribuer des bénédictions, donner de bonnes paroles de consolation. Certes, Il est aussi venu pour faire tout cela. Mais son seul objectif était de mourir sur une croix pour nous. Tout le reste ne nous a été donné que par la croix, grâce à la croix.

En tant que chrétiens, nous devons bâtir notre vie sur Jésus-Christ, mais sur Jésus-Christ crucifié.

Aujourd’hui, on ne veut presque plus entendre parler de la croix. On veut un Jésus gai, souriant, plein de joie et d’amour. La croix, c’était il y a deux mille ans. Jésus y est allé, puis il est ressuscité. Maintenant, on efface la croix et l’on n’en parle plus. On change d’Évangile ! On n’annonce plus l’Évangile de Jésus-Christ ! Même dans l’éternité, il n’y aura de place que pour Jésus crucifié. Jésus a choisi de garder ses marques pour nous rappeler constamment qu’Il a été crucifié pour nous.

Cette pensée ne doit jamais nous quitter. Quand Jésus a dit : « Je suis la porte, je suis le chemin », Il voulait aussi nous dire qu’il n’y a pas de porte en dehors de la croix. Il n’y a pas de chemin en dehors de la croix. Il est lui-même passé par là. Sans la croix, il n’aurait pas pu payer pour nos péchés et nous ouvrir la porte du ciel. Sans la croix, il ne resterait rien de l’œuvre de Jésus.

Il ne resterait rien de la Bible tout entière. Du début à la fin de la Bible, la croix est constamment au centre de la Parole de Dieu. Elle est annoncée dès le début. Elle est encore présente dans l’Apocalypse, puisque sur le trône, Jean a la vision d’un agneau immolé : « Et je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un agneau qui était là comme immolé. Il avait sept cornes et sept yeux, qui sont les sept esprits de Dieu envoyés par toute la terre » (Apocalypse 5 v. 6).

Nous devons rejeter ces doctrines philosophiques ou psychologiques qui essaient de régler nos problèmes par les méthodes ou doctrines humaines, ou, au pire, par des doctrines de démons, en enlevant la croix du message de l’Évangile ! Si l’on enlève la croix, il ne reste rien de l’Évangile ! Alors la puissance du Saint-Esprit ne peut pas se manifester dans nos vies.

« Comme il se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé, leur dit-il ; car Jean a baptisé d’eau, mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisés du Saint-Esprit. Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre » (Actes 1 v. 4 à 8).

Jésus appelle le Saint-Esprit, qui est une personne, une puissance, la puissance personnifiée de Dieu. Paul dit aussi : « Ce n’est pas pour baptiser que Christ m’a envoyé, c’est pour annoncer l’Évangile, et cela, sans la sagesse du langage, afin que la croix de Christ ne soit pas rendue vaine. Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu » (1 Corinthiens 1 v. 17 et 18).

Paul ne dit pas : « la prédication du salut », parce qu’il existe des moyens de salut que les hommes inventent sans la croix. Il ajoute : « la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent, mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu ».

Paul ne dit pas que la croix « était », ou « sera » une puissance de Dieu. Il dit qu'elle « est » une puissance de Dieu, pour nous qui sommes sauvés.

Il nous arrive parfois de prier : « Seigneur, manifeste ta puissance et ta gloire... ! »

Quand Dieu entend cette prière, Il traduit : « Parle-moi de la croix, fais-moi passer par l’expérience de la croix, et fais-moi comprendre ce que signifie Jésus-Christ crucifié parmi nous ! »

Tous nos problèmes sont résolus à la croix. D’une part, parce que c’est là que la chair et le péché ont été crucifiés. D’autre part, c’est par là que la bénédiction du Ciel et la Vie de résurrection passent. Quand Jésus est mort, il a dit : « Tout est accompli ! » (Jean 19 v. 30).

Cela signifie qu’à la croix, Jésus a pleinement satisfait les exigences du Père. Il a ouvert la porte du ciel pour que nous puissions recevoir toutes les bénédictions que le Père gardait en réserve pour nous.

Il ne faut donc jamais éliminer, ni adoucir la croix du message de l’Évangile, en disant : « Puisque Jésus est mort il y a deux mille ans sur la croix, c’est très bien ! Mais c’est du passé ! Merci Jésus, tu nous as ouvert la porte ! Mais maintenant, on ne pense qu’aux bénédictions, et l’on n’a plus besoin de parler de la croix ! »

Il ne faut pas non plus parler de la croix simplement pour nous rappeler ce que Jésus a fait dans le passé. La croix est toujours actuelle. Il faut continuer à parler de la croix, à prêcher la croix, parce qu’elle est pour nous, aujourd’hui encore, une puissance de vie et de résurrection, par la mort de Jésus et sa résurrection.

Savez-vous d’où viennent tous nos problèmes ? Tous nos problèmes viennent du fait qu’on n’est pas encore transformé à l’image de Jésus. On aimerait bien, on prie pour ça, on dit : « Seigneur, je veux que ton amour se manifeste ! Donne-moi la patience, donne-moi l’amour, donne-moi toutes les choses qui me manquent ! » Mais est-ce qu’on réalise que tout ceci est compris dans la croix, et que c’est uniquement par la croix que Jésus peut exaucer cette prière ?

Dieu veut donc me faire comprendre ce que signifie « Jésus-Christ crucifié ». Jésus-Christ a été crucifié pour nos péchés. Il est mort pour servir de rançon pour nos péchés qui nous conduisaient à la mort et à l’enfer. En mourant sur la croix, il nous a acquis un plein pardon de nos péchés, si nous croyons en lui.

Quand nous le confessons comme notre Sauveur et notre Seigneur, quand nous recevons son sang par la foi, tous nos péchés passés sont effacés, et nous recevons la justice de Dieu, qui est parfaite, parce que Dieu donne un plein pardon par Jésus et par la croix.

Tous les chrétiens connaissent normalement cette grande bénédiction du salut par la foi, en l’œuvre expiatoire de Jésus pour eux à la croix. Tous savent, ou doivent savoir, que le sang de Jésus versé à la croix a la puissance d’effacer les péchés, quand nous nous repentons au pied de la croix.

Mais je veux revenir sur le deuxième aspect que beaucoup de chrétiens oublient trop vite et trop souvent : à la croix, nous avons été crucifiés en lui et avec lui.

Tous nos problèmes viennent de notre chair. Elle est notre nature non régénérée par l'Esprit de Dieu. Elle est mauvaise, impatiente, pleine de colère, d’envie, de jalousie, de meurtre, de sorcellerie, de magie, d’excès de table... C’est une plante vénéneuse. La mort est dans la chair. Il n’est pas possible de raccommoder la chair, de la changer pour la transformer à l’image de Jésus. Il faut comprendre que Dieu veut faire mourir notre chair de manière concrète, pour qu’elle ne se manifeste plus en nous : plus de traces d’impatience, de colère, de jalousie, de justification de soi, de satisfaction de notre moi personnel !

On n’a pas toujours conscience de la profondeur du péché. Au début d’une vie chrétienne, on dit : « Seigneur, montre-moi mes péchés ! » Le Seigneur commence à nous montrer les péchés les plus grossiers : le vol, le mensonge, l’adultère... On met ces choses en règle, quand on est honnête avec le Seigneur.

Puis, à mesure qu’on avance avec Dieu, le Seigneur nous montre tous les domaines où va se cacher le péché : dans les plus petites choses, les profondeurs les plus subtiles ; là où il essaie de se manifester sous une apparence religieuse et spirituelle. Même nos qualités humaines sont mauvaises aux yeux de Dieu, nos qualités humaines héritées dans la chair. Elles doivent être placées sur l’autel de la croix pour être crucifiées. Ce n’est pas parce que j’étais bon professeur dans le monde que je vais être un bon enseignant de la Parole de Dieu, en me convertissant.

C’était une qualité humaine, mais cela n’a rien à voir avec ce qui peut se passer dans l’Évangile de Jésus. Il s’est servi de simples pêcheurs, des humbles et des pauvres. Paul, qui était éduqué, et qui avait des diplômes, a dit : « Pour moi, frères, lorsque je suis allé chez vous, ce n’est pas avec une supériorité de langage ou de sagesse que je suis allé vous annoncer le témoignage de Dieu. Car je n’ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ et Jésus-Christ crucifié.

Moi-même j’étais auprès de vous dans un état de faiblesse, de crainte, et de grand tremblement et ma parole et ma prédication ne reposaient pas sur les discours persuasifs de la sagesse, mais sur une démonstration d’esprit et de puissance, afin que votre foi fût fondée, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu » (1 Corinthiens 2 v. 1 à 5).

Le Saint-Esprit qui nous a été donné pour nous conduire dans toute la vérité, nous a été donné pour nous convaincre de péché : « Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice et le jugement » (Jean 16 v. 8).

Il va nous montrer que notre péché a été pardonné sur la croix et que la solution de Dieu pour régler le problème de mon péché, c’est de me saisir par la foi de l’œuvre de Jésus-Christ. Je ne dois pas attendre passivement que cette œuvre se manifeste dans ma vie. Je dois en recevoir la révélation, et m’emparer de cette révélation par la foi.

Je dois avoir soif de recevoir la révélation de Jésus-Christ crucifié. Je dois saisir par la foi ma mort en Jésus-Christ. Je ne dois jamais oublier, à aucun moment de ma vie, que je suis mort en Christ et avec Christ. Je dois vivre de sa mort pour pouvoir recevoir sa vie.

La prédication de la croix est donc une prédication de la mort de notre chair en Jésus. Elle ouvre le chemin à la vie de résurrection en Jésus. La vie de résurrection de Jésus ne peut se manifester, ni traverser l’enveloppe de ma chair, si ma chair n’est pas morte par la foi en l’œuvre de Jésus. Il est inutile d’essayer de crucifier la chair et de faire des efforts pour marcher par l’Esprit. Je n’y parviendrai pas, car je suis alors sur le terrain du salut par les œuvres et non par la foi.

Mais si je reçois par le Saint-Esprit la révélation de ce que cela signifie d'être crucifié en Christ, je comprends alors que le problème a été réglé pour moi par Jésus. C’est le Seigneur qui me donne ce cadeau que je dois prendre par la foi. Je puis alors dire : « Seigneur, maintenant, par ton Esprit, fais descendre dans mon cœur la compréhension de cette réalité  ! »

Cette chair épouvantable, à l’odeur pestilentielle quand elle se manifeste, a été mise à mort quand Jésus est mort à la croix. Quand Il est mort, je suis mort avec lui. Quand Il est mort, Il n’a pas seulement payé pour mes péchés, Il a aussi fait mourir la cause de mes péchés, qui est la chair. Car Il est mort pour tous. Nous sommes donc tous morts avec lui. Il est ressuscité, et nous sommes ressuscités avec lui.

« Or, si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui » (Romains 6 v. 8).

On ne peut donc jamais assez glorifier le Seigneur Jésus pour son œuvre à la croix. Constamment, le Seigneur veut nous révéler la profondeur de l’œuvre de Jésus à la croix, et la puissance de la prédication de la croix. Tout a été accompli à la croix. Jésus m’y offre la solution de tous mes problèmes, que ce soit mon mauvais caractère, les maladies de mon corps, ou les conséquences de tous mes péchés passés et de ceux de mes ancêtres depuis Adam.

Le problème du Saint-Esprit, c’est de me le faire comprendre spirituellement, pour que je puisse le prendre par la foi en disant : « C’est pour moi ! » De la même manière que nous avons pris le pardon de nos péchés par la foi, nous devons prendre notre mort en Christ par la foi. C’est pourquoi la Bible dit : « Ainsi vous-mêmes, regardez-vous comme morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Jésus-Christ » (Romains 6 v. 11).

Je n’y parviendrai pas en m’efforçant de me persuader, en disant : « Je suis mort, je suis mort, je suis mort... ! » Je dois me placer devant Dieu et lui dire : « Seigneur, tu le dis, j’ai besoin de le comprendre par ton Saint-Esprit. Je veux le vivre concrètement dans ma vie, pour que tous puissent voir que je suis effectivement crucifié et que je n’ai plus aucun désir personnel, sinon celui de t’obéir et de te servir.

Je ne veux plus me justifier, prouver aux autres que je suis quelqu’un, me défendre quand je suis attaqué injustement, montrer aux autres mes qualités, mes capacités, ou cacher mes défauts parce que je serai mal jugé... ! »

Le Seigneur veut accomplir en nous une œuvre complète et parfaite. Comme elle a été parfaitement accomplie en Jésus, à l’instant où je reçois, par le Saint-Esprit, la révélation de ma crucifixion en Jésus-Christ, je reçois effectivement une pleine sanctification, qui va durer toute ma vie. Il me faut après marcher par la foi, jour après jour, dans cette révélation, sans jamais l’oublier. Je ne ferai pas comme les Galates, qui avaient commencé de marcher par l’esprit, et qui étaient retombés dans la chair.

« Ô Galates dépourvus de sens ! Qui vous a fascinés, vous, aux yeux de qui Jésus-Christ a été peint comme crucifié ? » (Galates 3 v. 1).

Tout le travail de Paul avait été de parler aux Galates de Jésus-Christ crucifié. Il leur avait expliqué que tous leurs péchés avaient été pardonnés en Jésus. Mais cela ne leur suffisait pas. Il fallait leur faire comprendre que leur chair avait été détruite par la mort de Jésus.

Si nous permettons à la chair de rester vivante, elle va nous pousser à recommencer à pécher, et il nous faudra passer notre temps à demander pardon. Bien sûr, quand on pèche et que le Saint-Esprit nous le montre, nous devons immédiatement demander pardon. Mais il nous faut atteindre une étape supérieure, qui consiste à marcher par l’Esprit dans une vie crucifiée. Cela ne signifie pas qu’on ne va plus jamais pécher. On peut toujours pécher si l’on oublie la Parole de Dieu, si l’on retourne en arrière, si l’on baisse la garde, ou si l’on n’entretient pas la foi dans la Parole.

On peut ainsi parvenir à ne plus jamais pécher. Non parce que nous aurons atteint ce but par nos propres forces, mais parce que le Saint-Esprit nous aura fait comprendre la perfection de l’œuvre de Jésus, que nous y serons entrés dans la foi et, qu’à chaque instant, nous recevrons la grâce de Dieu pour marcher dans cette foi.

Quand le péché et la tentation se présenteront, on aura alors la force d’y résister et de faire ce que dit Paul : « Ne livrez pas vos membres au péché, comme armes pour l’injustice ; mais livrez-vous vous-mêmes à Dieu, comme des vivants revenus de la mort, et offrez à Dieu vos membres, comme armes pour la justice » (Romains 6 v. 13).

Pourquoi vais-je pouvoir le faire à ce moment-là ? Parce que j’ai la foi que je suis crucifié en Christ et que ce n’est plus ma chair qui domine sur moi, mais l’Esprit du Seigneur. Je peux le faire parce que je crois de tout mon cœur ce que Jésus m’a révélé : que je suis crucifié et que ma chair est morte. Je vais marcher dans cette révélation : « Comme vous avez reçu le Seigneur, marchez en lui » (Colossiens 2 v. 6).

La qualité de notre marche pratique dans l’Esprit est proportionnelle à la révélation de la croix que nous avons reçue, et au fait que nous demeurons dans cette révélation, en ayant toujours foi en la Parole.

 

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« Dieu nous montre que notre puissance n'est pas une chose ; c'est simplement Christ. Notre puissance n'est pas la force pour faire des choses ; c’est plutôt une Personne. C'est Christ qui se manifeste en nous, plutôt que d’utiliser Christ pour afficher nos bonnes œuvres... »

- Watchman Nee

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