Le culte se « prépare » tout le long de la semaine ; en ce sens, il ne s’improvise pas. Si les cœurs ne sont pas préparés, si les corbeilles sont à peu près vides, l’action de l’Esprit est entravée, le culte sera pauvre.
À quel moment du voyage le cœur du peuple se décourage-t-il en chemin ? Tout à la fin ! En route depuis trente-neuf ans, ils étaient à la veille d’atteindre enfin le pays de la promesse.
Dès le commencement, Dieu a désiré avoir dans ce monde des adorateurs et des témoins. C’est seulement avec Abel que nous voyons un croyant tout à la fois adorer Dieu et rendre témoignage.
Paul exhorte les Corinthiens à tenir ferme l’enseignement qu’il leur a présenté, à demeurer inébranlables afin qu’ils puissent, sans aucune faiblesse, abonder toujours dans l’œuvre du Seigneur.
Le commencement de l’histoire de l’Église a été marqué par l’amour, par l’amour pour le Seigneur et l’amour des frères.
Dieu est amour, c’est sa nature même. Et Il a aimé des êtres perdus et coupables, qui ne méritaient pas d’être aimés.
Que de tels « ardents désirs » remplissent nos cœurs ! Ce sont les désirs de l’homme renouvelé aspirant à tout ce qui le rapproche de Christ, l’occupe de Lui, l’amenant ainsi à rechercher ici-bas sa gloire et ses intérêts.