Le récit de la première partie du règne de Saül, tel qu’il nous est rapporté dans les chapitres 9 à 15 du premier livre de Samuel, est rempli d’instructions pour nous croyants.
On a souvent remarqué que le livre de Josué correspond à l’épître aux Éphésiens et le livre des Juges à la deuxième épître à Timothée.
Ces choses ont été écrites non pas seulement pour le peuple d’Israël mais aussi « pour notre instruction » et « pour nous servir d’avertissement ».
Le culte se « prépare » tout le long de la semaine ; en ce sens, il ne s’improvise pas. Si les cœurs ne sont pas préparés, si les corbeilles sont à peu près vides, l’action de l’Esprit est entravée, le culte sera pauvre.
À quel moment du voyage le cœur du peuple se décourage-t-il en chemin ? Tout à la fin ! En route depuis trente-neuf ans, ils étaient à la veille d’atteindre enfin le pays de la promesse.
Dès le commencement, Dieu a désiré avoir dans ce monde des adorateurs et des témoins. C’est seulement avec Abel que nous voyons un croyant tout à la fois adorer Dieu et rendre témoignage.
Paul exhorte les Corinthiens à tenir ferme l’enseignement qu’il leur a présenté, à demeurer inébranlables afin qu’ils puissent, sans aucune faiblesse, abonder toujours dans l’œuvre du Seigneur.