Études sur la Parole.4

Études sur la Parole.4

La Genèse chapitre 12 à 15 - Je me propose de vous donner un court résumé des principaux sujets de chaque livre de la Bible, espérant que cela pourra être de quelque secours aux frères dans l’étude du précieux volume que notre Dieu nous a donné.

La Genèse chapitre 12.

Depuis le 12ème chapitre donc, se développe un tout nouvel ordre d’événements, relatifs à l’appel de Dieu, à ses alliances, à ses promesses, à ses conseils, à la manifestation de son peuple, comme peuple particulier sur la terre.

Avant le déluge, c’était l’homme tel qu’il est dans sa chute, devant Dieu ; et, quoi qu’il y eût un témoignage depuis le commencement, il n’y avait pas eu d’intervention dispensationnelle de Dieu dans ses propres voies, mais l’homme, laissé à lui-même ensuite de ce témoignage, se livra à une telle violence et à une telle corruption, que Dieu envoya le déluge en jugement sur le monde. Après le déluge, Dieu étant intervenu en jugement, nous avons le gouvernement du monde et ce qui en advient ; mais les nations une fois formées, s’étant soumises à la puissance du démon, l’appel de Dieu, ses élus et ensuite son peuple, semence du dépositaire des promesses, se présentent à notre vue.

C’est pourquoi nous voyons ces élus appelés à se séparer entièrement de tout ce qui les rattachait à leur position naturelle sur la terre, et, en même temps, à appartenir à Dieu, sur le principe de la promesse et de la confiance en la parole que Dieu avait prononcée : « Va-t’en de ton pays et de ta parenté, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai (Genèse 12 v. 1) ». C’était là un événement bien solennel ; c’était en principe le jugement du monde, quoique ce fût selon la grâce envers ceux qui étaient appelés à en sortir.

Afin de bien comprendre ceci, il faut nous souvenir que le monde avait été constitué par le jugement de Dieu sur l’entreprise de la tour de Babel. Des nations et des pays avaient été formés, comme il en est encore de nos jours. C’était là le monde. Satan le dominait complètement. Or ce monde même, formé providentiellement par Dieu, Abraham était appelé à le quitter. Dieu voulait avoir en dehors du monde une famille, un peuple qui ne fût pas du monde, quoi qu’il en fût tiré. Un autre fait ajoute encore à l’importance d’Abraham : il y avait eu des saints isolés, connus ou inconnus, mais depuis Adam, il n’y avait pas eu de chef de race. Adam tombé était le père d’une race déchue. Abram fut appelé pour être la racine de l’arbre de la promesse, la racine du peuple de Dieu, naturel ou spirituel, le père de la circoncision, et le père de tous ceux qui croient.

Au commencement, Abraham tenait encore à sa famille, ou, du moins, il n’a pas rompu avec elle ; et bien qu’il quitte sa patrie sur l’appel de Dieu, il reste aussi loin qu’auparavant de la terre de la promesse ; car, lorsqu’il est ainsi appelé, l’homme doit être entièrement à Dieu sur un nouveau principe. Enfin, il part, comme Dieu le lui avait dit. Nous voyons donc Abram, appelé par la manifestation de la gloire de Dieu (comparez à Actes 7), pour le voyage de la foi. Il reçoit les promesses, soit d’une postérité nombreuse, soit de la bénédiction de toutes les familles de la terre en lui (1).

1. Cette dernière promesse dans l’histoire d’Abraham n’est répétée qu’au chapitre 22, et là à sa semence seule ; la promesse de la terre et d’une nombreuse postérité est souvent adressée à lui et à sa semence. C’est à cette promesse faite à Abraham au chapitre 12 et confirmée à la semence au chapitre 22, que l’Apôtre fait allusion dans l’épître aux Galates. La postérité terrestre, au contraire, devait être nombreuse.

Il part ; il arrive. Il n’y a pas beaucoup d’expériences ; quoi qu’il y ait une connaissance de Dieu plus profonde dans une marche qui est toute de foi ; la puissance de Dieu s’y déploie, et l’homme marche avec Dieu. Dans l’histoire de Jacob, au contraire, on remarque un grand nombre d’expériences. Arrivé en Canaan, Abram n’y possède rien ; car sa vie doit toujours être une vie de foi, et en comparant ce chapitre avec Hébreux 11, nous voyons ce qui résulte pour les croyants, du fait d’être laissés sur la terre comme étrangers et voyageurs, sans être mis en possession de ce qui leur est promis. Par l’obéissance de la foi, Abram entre dans la terre promise, et il n’a pas même où y poser son pied ; mais de ce fait (car Dieu, quoi qu’il puisse mettre à l’épreuve, ne peut laisser la foi sans réponse), le patriarche a devant lui la cité qui a des fondements et une meilleure patrie.

Lorsqu’il ne possède rien encore, l’énergie de la foi, par la grâce, le place dans une position qui le met forcément en rapport avec des choses meilleures et plus élevées, car Dieu l’avait appelé d’un appel personnel pour la bénédiction. De même, en pratique, nous sommes entrés dans l’Église et dans les choses célestes ici-bas ; mais nous avons la marche de la foi, non pas la possession, et la source céleste de tout est devant nous. À Ur, Abram ne pouvait pas voir la patrie céleste : étranger dans le pays de la promesse, cette patrie est l’objet naturel de son âme, selon la grâce. Tel est notre propre cas ; seulement Abram s’élève au-dessus de son appel, et nous entrons par l’Esprit dans les choses auxquelles nous sommes appelés.

Mais le Seigneur se révèle une seconde fois à Abraham dans le pays, dans le lieu auquel il avait été appelé. La première fois, le Dieu de gloire lui était apparu pour le faire sortir du pays qu’il habitait et le faire marcher dans le sentier de la promesse. La seconde fois, l’Éternel se révèle à lui pour l’admettre dans sa communion, s’entretient avec lui, lui développe comment la promesse sera accomplie, et alors Abram lui rend culte. Le fidèle, pèlerin et étranger n’a, sur la terre, que sa tente et son autel.

Nous avons ici la seconde partie de la vie de la foi. La révélation de Dieu, quand nous sommes loin de Lui, nous fait sortir dans le chemin de la foi et dirige notre marche vers le ciel ; quand nous jouissons de notre part céleste, Dieu se révèle à nous pour la communion, le culte et une pleine manifestation de ses voies. Le Cananéen est dans le pays, l’héritier de la promesse ne possède rien de tout ce qui lui est promis. Nous avons à faire avec des méchancetés spirituelles dans les lieux célestes ; mais l’Éternel se révèle, montre l’héritier et l’héritage pour l’époque où le Cananéen sera loin : ainsi Abram adore par la foi, comme ci-devant il marchait par la foi. C’est là la complète et double portion de la foi.

Le reste de ce chapitre est l’historique de son manque de foi. Pressé par les circonstances, Abram ne consulte pas Dieu ; il se trouve en présence du monde où il cherche asile et secours, et renie sa vraie relation avec sa femme, précisément comme cela a eu lieu relativement à l’Église ; il est chéri du monde que Dieu juge enfin, et d’où il le renvoie. Depuis le moment où Abram s’est mis en chemin pour l’Égypte jusqu’à son retour au point de départ, il n’a point eu d’autel élevé à l’Éternel. Quand il quitte l’Égypte et reprend sa position d’étranger en Canaan, il a son autel comme précédemment ; mais il faut d’abord qu’il revienne au même lieu où il avait bâti son autel au commencement et qu’il le retrouve là. Quel avertissement pour les chrétiens, quant aux relations de l’Église avec Christ ! Quoique le monde puisse parfois venir en aide à l’Église, ces relations avec Christ ne peuvent être maintenues dès que nous recherchons cette aide.

Rappelons ici une remarque faite ailleurs, que, dans les types, la femme représente la position où se trouvent ceux qui nous y sont présentés en figure, l’homme, la conduite, soit fidèle, soit infidèle, de ceux qui sont dans cette position.

Chapitre 13.

Puis nous trouvons, dans la conduite d’Abram avec Lot, le désintéressement et le renoncement que produit la vraie foi. Ils font contraste avec la conduite de celui qui, tout en étant croyant, n’avait fait que suivre, quant à sa marche, la foi d’autrui. Lot est mis maintenant à l’épreuve par les circonstances qui surgissent, et cela, remarquez-le, dans le moment même où ils venaient ensemble de rompre leurs rapports d’incrédulité avec le monde chez lequel ils avaient cherché un refuge extérieur. Lot l’avait fait comme Abram ; mais, dans le fond du cœur et dans sa volonté, il aimait les aises de ce monde.

Abram était revenu en esprit et franchement, peut-être avec une plus profonde expérience, à sa part de pèlerin en Canaan. Mais les avantages qu’il possède dans le pays amènent la difficulté, car un trésor sur la terre n’est pas le ciel, même si le possesseur de ce trésor a son cœur aux choses du ciel ; et ceci est une importante leçon ! Cependant la conduite d’Abraham est très belle. Lot choisit le monde qui lui paraît beau ; il ne le choisit pas comme l’Égypte, mais pour ses propres aises et comme ce qui lui semblait être Canaan : le monde qui, bientôt après, fut la scène et l’objet de ce qu’il n’apercevait pas au moment même de son choix, savoir des jugements assurés de Dieu.

Le renoncement d’Abram donne lieu, pour lui, à une connaissance bien plus claire de l’étendue et des détails de l’héritage dans lequel la bénédiction que Dieu a attachée à la promesse trouvera son accomplissement, et à une certitude bien plus ferme encore de l’infaillibilité de la promesse elle-même. C’est lorsqu’il cède à Lot tout ce que celui-ci voudra choisir, que Dieu dit à Abram de regarder, de là où il était, « vers le nord, et vers le midi, et vers l’orient, et vers l’occident », ajoutant qu’il lui donnera, « à lui et à sa semence pour toujours », tout le pays qu’il voyait. En un mot, nous avons devant nous le croyant agissant dans l’esprit de la vocation céleste, le croyant fidèle, et, d’un autre côté, le croyant mondain.

Abram garde maintenant sa nouvelle position ; il demeure en Canaan, il s’y promène en long et en large comme un pèlerin, et y dresse sa tente et y bâtit son autel : c’est la marche de l’homme céleste. Lot avait élevé les yeux, poussé par sa volonté propre et par sa convoitise, et il avait aperçu la plaine du Jourdain bien arrosée. Pourquoi n’en jouirait-il pas ? Dieu fait lever les yeux à Abram, et lui montre toute l’étendue de la promesse, et, avec la promesse, il lui dit de s’y promener dans sa longueur et dans sa largeur, pour réaliser, par expérience, la connaissance de toute l’étendue de la promesse qui lui est faite.

Chapitres 14 et 15.

Bientôt la scène change : ce qui est lié au monde doit en subir les vicissitudes (chapitre 14). L’homme pieux, quoi qu’inconséquent, ne peut être content du mal. Lot souffre (2 Pierre 2 v. 7 et 8) par l’iniquité dont il est environné, et subit les ravages de la puissance du monde, dont Abram est vainqueur et dont il ne veut rien recevoir pour s’enrichir ; telles sont, à la fois, la juste discipline et les fidèles voies de Dieu. C’est ce qui donne lieu à la manifestation du Roi sacrificateur, Roi de justice et Roi de paix (type de Christ, Roi du monde millénaire), bénissant Abram victorieux, et de la part d’Abram bénissant le Dieu Très-Haut qui avait livré ses ennemis entre ses mains.

Ce tableau donc nous représente le triomphe final de la famille de la foi sur le prince du monde, triomphe réalisé en Esprit par l’Église (et finalement dans la gloire), dans ses espérances célestes et dans son union avec Christ, et qui sera réalisé littéralement sur la terre par les Juifs, pour lesquels le Christ sera sacrificateur selon le type de Melchisédec. Ce type sera pleinement accompli dans la position qu’il prendra comme Sacrificateur sur son trône, Médiateur dans ce même caractère, bénissant l’homme de la part de Dieu, et bénissant Dieu de la part de l’homme ; Dieu, lui-même, prenant alors, complètement et réellement, le caractère de possesseur des cieux et de la terre.

Mais le contraste entre ceux qui, ayant leurs pensées aux choses célestes, ne s’établissent pas sur la terre et remportent la victoire complète sur le monde, et ceux qui, s’établissant sur la terre, subissent au contraire la puissance du monde ; puis le règne de Christ comme Roi et Sacrificateur, et Dieu qui prend toutes choses en main par son moyen, tout cela nous est clairement et merveilleusement exposé. Comparez pour les Juifs le Psaumes 91. Ceci clôt l’histoire générale de ces grands traits des voies de Dieu : les choses célestes sont hors de vue, à moins que nous ne portions nos regards au delà de la scène où allait la foi d’Abraham. Cependant le chemin de la foi, les tentations du monde, la victoire morale d’une foi sans égoïsme, qui regarde à Dieu et à ses promesses comme sa portion et sa victoire finale, et enfin Dieu comme possesseur des cieux et de la terre, tout cela nous le trouvons pleinement développé ici et complétant la scène tout entière.

Quand Dieu s’est ainsi révélé selon sa bénédiction établie en puissance sur la terre, par le moyen du Roi-Sacrificateur Melchisédec, il est naturel que la bénédiction actuelle du peuple élu y trouve place, et nous sommes amenés à la scène terrestre ; et, dans le chapitre 15, nous lisons l’instruction précise de l’Éternel à Abram pour ce qui regarde sa postérité terrestre et la terre qu’Il lui donne, le tout confirmé par une alliance où Dieu, lumière qui conduit et fournaise qui éprouve, daigne s’obliger à l’accomplissement de ce qu’Il a promis. La mort rend la chose sûre ; l’Éternel, en passant en grâce à travers ce qui le liait, confirme ainsi l’alliance. Abram, héritier des promesses, en subit la frayeur et l’ombre. Ce n’est pas ici précisément l’expiation qui nous est représentée par le passage du brandon de feu et de la fournaise entre les pièces des victimes, mais une autre efficace du sacrifice, savoir : la confirmation des promesses, par la seule chose qui puisse leur donner cours en faveur de l’homme pécheur.

Il est évident que, quoique l’alliance fût faite en faveur du peuple terrestre, ce développement des voies de Dieu et l’établissement de cette alliance embrassent de nouveaux principes d’une grande importance pour tous. Dieu lui-même était le bouclier et la récompense d’Abram, avantage le plus élevé, si l’on se borne à ce qui peut être donné à l’homme (1). Mais Abram a encore le sentiment de ses relations avec la terre comme une demeure en rapport avec la chair, et il était, en effet, dans les desseins de Dieu de le bénir de cette manière. Or cette bénédiction est, dans sa nature, juive ; aussi avons-nous ensuite la portion juive développée.

Je n’ai point d’héritiers, dit Abram, personne pour continuer ma famille et la possession de mon héritage sur la terre selon la promesse ; car sur la terre où les hommes meurent, il doit y avoir succession ; et c’est ainsi qu’il en devait être. Mais, même quant à la terre, la bénédiction devait avoir lieu sur le principe de la dépendance de l’Éternel, par promesse et par foi. Quoique en rapport avec la terre, cette bénédiction ne devait pas s’accomplir selon la nature ; sur ce pied, tout était forclos pour Abram : il n’avait point de postérité. C’est pourquoi la semence de la foi et de la promesse apparaît ; non pas, il est vrai, la seule semence, mais les Israélites en tant qu’enfants de la promesse. Le principe est exprimé, la foi est comptée à justice, dès qu’Abram a cru Dieu. Ainsi, pour ce monde, Israël était la semence de la promesse, l’héritier ; puis vient l’alliance quant au pays, selon la promesse faite lors de l’appel d’Abram.

Le Seigneur se lie lui-même envers Abram, par l’obligation solennelle de la mort des victimes, comme nous l’avons vu (car, en effet, l’alliance est assurée par la mort du Christ, sans laquelle les Juifs ne pouvaient rien avoir) ; quant à l’accomplissement actuel, cette possession est liée aux souffrances du peuple en Égypte et à sa délivrance subséquente, quand les oppresseurs du peuple et les usurpateurs de l’héritage seront également jugés. Nous avons déjà signalé le caractère de l’acte par lequel fut faite l’alliance. Quant à la forme de cet acte, le lecteur peut comparer Jérémie 34 v. 18 et 19. De plus, ce n’est point ici une promesse qui appelle Abram à sortir par la foi, mais c’est l’héritage assuré à sa postérité par alliance et sans condition. C’est la promesse à Israël, semence de la promesse, héritier en relation avec la terre et avec la chair. Remarquez, en outre, que l’oppression du peuple de Dieu, les souffrances prolongées de ce peuple, héritier promis, sont en connexion avec la patience de Dieu envers ceux qui doivent être jugés (comparez à 2 Pierre 3 v. 9). Remarquez enfin, que les oppresseurs d’Israël sont jugés à cause d’Israël, de même que les usurpateurs de son héritage.

1. Cette déclaration de Dieu au commencement du chapitre 15, se lie, il me semble, au refus d’Abram de prendre quelque chose du monde, qui se trouve mentionné à la fin du 14ème.

Ici se termine l’exposition des plans et des conseils de Dieu. Les voies de l’homme et les voies de Dieu en vue de leur accomplissement commencent à être développées avec le chapitre 15, ainsi que la marche et les obstacles venant de ceux avec lesquels son peuple peut être en rapport, de quelque manière que ce soit. Ces développements vont jusqu’au chapitre 23, où Abraham cesse de représenter la souche de la promesse ; Sara, vase de la semence de promesse, meurt, et l’héritier ressuscité vient en évidence comme celui que Dieu met en avant. Ceux qui sont nés selon la chair (Ismaël) précèdent ceux qui sont nés selon la promesse.

Il nous est impossible de ne pas remarquer combien tous les grands principes des voies de Dieu et de la condition de l’homme, nous sont exposés dans la Genèse, et donnent à ce livre, particulièrement dans les parties que nous venons de parcourir, un caractère frappant et une fraîcheur si remarquable. C’est comme un résumé sommaire de l’état de l’homme et des voies de Dieu envers lui, non pas de la rédemption, ni de ses glorieux résultats, quoique nous y trouvions le sacrifice et le pardon des péchés. La rédemption se trouve dans l’Exode. L’état de l’homme, les voies de Dieu et ses promesses fondamentales sont le sujet de la Genèse.

 

Arthur KatzUn message de John Nelson Darby.
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