Les auteurs anciens disaient qu'il y a deux types de vie chrétienne, la vie active et la vie contemplative. Et leur illustration favorite était l'histoire de Marie et de Marthe. La première se concernait du service pratique, et la deuxième de l'adoration.
Un des plus grands obstacles à la paix intérieure que les chrétiens rencontrent est l'habitude de diviser leurs vies en deux domaines, le sacré et le profane.
Si un saint homme devait descendre du ciel, avec le pouvoir de diagnostiquer les maladies spirituelles des personnes de l'église, je peux déjà être certain de son rapport : Une chronique lassitude spirituelle et un niveau d'enthousiasme moral extrêmement bas.
Dans le monde d’aujourd’hui, nous ne trouvons rien qui se rapproche des vertus dont parlait Jésus dans les premiers mots de son fameux sermon sur la montagne. Au lieu de la pauvreté de l'esprit, nous trouvons la plus grande fierté.
La doctrine de l'amour de Dieu se trouve présenter de gros problèmes lorsqu'elle est examinée attentivement par des chrétiens sérieux. La première difficulté qui risque de perturber leurs âmes c'est leur propre nature pécheresse.
C'est un truisme de dire que l'ordre dans la nature dépend de bonnes relations ; pour atteindre l'harmonie, chaque chose doit être dans sa position propre par rapport à l'autre. Dans la vie humaine ce n'est pas le cas.
Durant les premiers jours de voyage des Israélites dans le désert, il s'est produit une transaction étrange et notable entre Moïse et l'un de ses proches nommé Hobab. Imaginez un peu ! Moïse a embauché un guide pour conduire Israël à travers le désert !
Une voix nous dit : « Considérez ». Et considérer, cela signifie examiner attentivement quelque chose, y réfléchir sérieusement. L'organisation de la société humaine voudrait que nous fassions tout sauf considérer nos voies.
« Gardons les yeux fixés sur Jésus, l'auteur et le finisseur de notre foi (Hébreux 12 v. 2) ». La doctrine de la foi est le plus important de la liste des choses qu’enseigne la Bible. « Sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu ».
« O Majesté inexprimable, mon âme désire Te contempler. Ce que Tu es ne peut être pensé ni exprimé, car ta gloire est indicible. Pourtant, l’apôtre et le saint m’ont encouragé à croire que je peux, dans une certaine mesure, Te connaître ».